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Mon gladiateur sexy (02)

Chapitre 1

Gay
Mercredi après-midi. Quatorze heures. Je suis au bureau. Mon cellulaire se fait entendre. Je regarde l’écran; appelant inconnu. Je réponds — Tu es où présentement?  — Au bureau, dis-je, reconnaissant la voix de ce mec dont je ne sais rien d’autre qu’il s’était trouvé au même endroit que moi la semaine précédente, soit chez le designer qui m’a confectionné mon costume pour la Saint-Valentin. — Parfait. Donne-moi l’adresse. — Pourquoi? — Ne pose pas de questions et donne-moi l’adresse             Je dois avouer que ce mec ne m’était pas sorti de la tête depuis notre rencontre. Je lui donne donc l’adresse du bureau, ne sachant absolument pas de ce qu’il en ferait et raccroche. Je suis surpris qu’il ait appelé, certain que je n’aurais jamais de ses nouvelles.              Je poursuis donc mon travail, avec difficulté, je l’avoue. Mes pensées ne vont que vers lui, sexy dans sa combinaison. Ce souvenir de le sentir en moi, dans mon cul, son boudin me labourant bien à fond et à grands coups. Toute cette masculinité qui le définissait si bien. Il s’était servi, se payant du chouette à même mon caisson. Je crois que ce fut le fait qu’il se serve sans me le demander qui m’excitait à ce point. C’était comme s’il s’était permis de prendre ce qu’il désirait et cette fois là, ce fut de s’introduire entre mes brioches parce qu’il en avait tout simplement envie.              Soit près d’une heure plus tard, ma secrétaire me signale qu’un certain Alexandre Ouanas demande à me voir, me signifiant que je n’ai pas de rendez-vous à ce nom. Intrigué, je lui dis que j’arrive à la réception. Je me lève donc et prends le pas de marche, quittant mon bureau en me demandant qui est ce monsieur Ouanas. Et je le vois, là, debout, qui me regarde sans même sourire. Je fronce les sourcils, m’interrogeant sur sa présence. — Je peux vous aider? Dis-je, désirant cacher ma surprise devant ma secrétaire — Je dirais plus que c’est moi qui peux t’aider, répond-il de sa grosse voix bondée de testostérone. On va dans ton bureau?             Je le fixe quelques instants, plus certain que sa présence est une bonne idée. Je lui fais signe de me suivre, sachant parfaitement que ma secrétaire se pose mille questions sur ce mec vêtu comme un gars de la voirie.              Je l’invite donc à entrer dans mon bureau, refermant la porte derrière lui. Je lui fais signe de prendre place sur la causeuse
 — C’est donc ici que tu passes tes journées, me dit-il en restant debout. Alors, as-tu pensé à moi? — Et pourquoi aurais-je pensé à toi? Lui dis-je, espérant qu’il croirait ce mensonge presque éhonté.  — Parce que je sais parfaitement que je suis ton type de mec et que tu as adoré que je te plante ma queue dans le cul l’autre jour, répond-il en fermant le store de la fenêtre. J’ai pensé que tu aimerais me revoir, c’est tout, dit-il en se rapprochant de moi. Va t’asseoir sur la causeuse, tu seras mieux.             Ne disant rien, je me lève et m’exécute, sans rouspéter. Je le regarde, vêtu de son jeans serré et de son blouson jaune de voirie mais surtout, de ses bottes de travail qui ont toujours agi sur moi comme un aimant. Il s’est rasé les cheveux et sa barbe de quelques jours le rend encore plus sexy. C’est le mâle brut à sa plus pure expression.  — Tu ne bouges pas et me laisse faire, dit-il en sortant son cellulaire de sa poche pour y mettre une musique lancinante.              Lentement, il s’approche de moi, se déhanchant en suivant le rythme de la musique. Doucement, tout doucement, il baisse la fermeture éclair de son blouson, laissant entrevoir sa poitrine musclée et velue. Je peux voir son mamelon percé d’un anneau et comme s’il lisait en moi, il humecte son index et le palpe, me fixant dans les yeux, sa langue glissant sur ses lèvres charnues.  — Je t’excite? Demande-t-il en plaquant sa main sur ma queue. Oh oui que je t’excite. Tu ne peux pas le cacher.              Je garde toujours le silence, me délectant de ce spectacle. Il se débarrasse de son blouson, le laissant tomber à ses pieds. Il accentue son déhanchement, caressant son boudin bien dur sous son jeans. Un à un, il pose ses pieds sur la causeuse, de chaque côté de moi, les jambes bien écartées et il effectue un mouvement de va-et-vient. Son jeans touche ma bouche et je n’ai qu’une envie, c’est de voir sa bite et de la sucer bien à fond mais je n’ai aucun contrôle. Ce mec aime trop le pouvoir qu’il a sur moi pour me laisser faire ce que je désire. C’est lui qui décide et il sait que j’adore cela. Il n’ignore point non plus que je suis nerveux, craignant que quelqu’un puisse entrer dans le bureau et ça, c’est le point culminant de son excitation.              Il descend de la causeuse, ses grosses bottes sur le plancher. Lentement, il déboutonne son jeans, un bouton à la fois, gardant le rythme de ses hanches qui balancent d’avant en arrière. Je regarde le début de sa queue qui est toujours emprisonnée, pendant qu’il enfouit sa main sous son jeans. Il me tourne le dos et lentement, avec volupté, il baisse son jeans, juste un peu. Juste assez pour titiller, pour me donner l’envie d’en voir plus. Soudain, il se laisse tomber sur le plancher, face contre terre, pour exécuter une danse où son cul devient la plus belle chose qu’il m’ait été de voir sur la Terre.  — Je sais que tu veux voir mon cul, dit-il en poursuivant sa danse. Tu peux baisser mon jeans si tu le veux.             Ne me faisant pas prier, je le rejoins et aussitôt, tire sur son jeans. Quel cul bombé et musclé. Sans attendre, j’approche mon visage et planque mon nez entre ses brioches pour renifler son odeur suave. J’aspire à pleins poumons, tirant un énorme plaisir à sentir ce parfum enivrant. Il ne sent pas le savon mais bien une peau humide, emprisonnée sous la chaleur d’un jeans depuis quelques heures. Incapable de me retenir, je sors la langue et la planque sur son as de trèfle, me délectant de son goût si délicieux tandis qu’il poursuit toujours son déhanchement.              Soudain, il cesse sa danse et se relève, me laissant là, sur le plancher. De sa grosse botte, il m’incite à me coucher sur le dos, la plaçant sur mon torse. Je le regarde et de par ma position, la vue est des plus jolies. J’observe la bosse sous son jeans qui me saute aux yeux et sa main qui s’y glisse tandis qu’il promène sa botte sur moi. Je ne sais plus si c’est la bosse ou la botte qui m’excite à ce point mais je suis sur le bord de la crise de nerf.  Et il sort sa bite de son jeans, bien grosse, bien dure et se met à se masturber, glissant toujours sa botte sur mon corps, jusqu’à ce qu’il atteigne mon anchois, exerçant une pression pour la compresser sous mon pantalon.              Un à un, il reboutonne son jeans, un large sourire aux lèvres. Il délivre ma bite de sa botte et empoigne son blouson. — Tu sais que tu es vraiment une salope, me dit-il en remettant son blouson. N’oublie pas de répondre quand je t’appellerai.             Il sort, me laissant là, sur le plancher, seul dans mon bureau.                 Dix-sept heures quinze. Je suis toujours au bureau. La plupart des employés ont tous quitté. Honnêtement, je n’ai pas été en mesure de travailler du reste de l’après-midi, mes pensées ne parvenant pas à s’éloigner de ce qui s’est passé avec Alexandre. J’ai même dû me masturber pour me débarrasser de cette excitation qui englobait tout mon être. Et même avec cela, je n’ai cessé de me remémorer ce cul si bon à manger.              Mon cellulaire se laisse entendre. Encore un appel inconnu mais je réponds. — Rejoins-moi à cette adresse, tout de suite, entends-je et il raccroche             Je regarde mon cellulaire qui vient de sonner, lisant une adresse proche du bureau. J’enfile immédiatement mon manteau et mes bottes, février étant plutôt froid cette année. Je prends l’ascenseur, curieux de savoir ce qui m’attend cette fois-ci. Être à la merci d’un mec comme Alexandre m’aguiche énormément et c’est pourquoi je me dépêche de le rejoindre à l’adresse indiquée.             La Sainte-Catherine est plutôt déserte à cette heure, en plein mercredi. Je marche d’un pas hâtif, désirant revoir ce mec au plus vite. J’arrive à la rue mentionnée, l’emprunte, jetant un œil aux adresses. Je me rapproche mais ne voit pas Alexandre. Je suis seule dans cette ruelle. Se moque-t-il de moi? Est-il présentement bien au chaud chez lui pendant que moi, je me les gèle? J’avance toujours mais j’ai ralentit le pas, étant arrivé à l’adresse. Mon cellulaire sonnant, je réponds. — Avance encore un peu et prend l’entrée à ta droite.              Il raccroche. Je fais donc ce qu’il me dit, avançant encore jusqu’à ce que je vois la fameuse entrée. Je l’emprunte, pas trop certain de savoir où elle me mènera. Plus j’avance et plus il fait noir. Soudain, je l’entrevois, au fond d’une cour. La lumière d’un appartement l’éclaire assez pour que je le reconnaisse. Il a toujours son blouson de voirie, son jeans serré et ses bottes de travail.  — Maintenant, c’est le temps de passer aux choses sérieuses, me dit-il en déboutonnant son jeans pour y sortir sa queue déjà bien bandée. Allez, suce-moi comme une salope comme toi sait si bien le faire.              Je m’agenouille et prend aussitôt sa queue en bouche, glissant ma langue sur toute la longueur. Ses mains derrière ma tête, il m’oblige à la prendre en entier, me la roulant au fond de la gorge. Je goûte chaque parcelle de ce boudin, oubliant le froid qui nous entoure.  — Tu aimes ma queue petite chienne en chaleur. Allez, suce-la bien à fond, goûtes-y comme du monde, dit-il en accélérant mes mouvements de tête. Je suis certain que tu rêves présentement que je te la rentre bien à fond dans le cul. Tu es de ce genre de pétasse qui ouvre son cul à qui le veut bien. Ton cul est un tunnel routier petite salope. Je vais te donner satisfaction, parce que tu le mérites, dit-il en m’obligeant à me lever. Allez, baisse-moi ce pantalon et montre-moi ton arrière-train que je le défonce comme tu l’espères.             Je  baisse donc mon pantalon, heureux de savoir que j’aurai sa bite en moi dans quelques instants. Je n’ai pas à attendre qu’il me l’enfile d’un seul coup, frappant ma prostate avec force. Il est en feu, me défonçant comme si c’était la dernière fois qu’il enculait un mec. Je capote au cube, espérant juste qu’il ne jouira pas trop vite. Je veux le sentir en moi encore et encore.  — Tu jouis ma chienne, me dit-il en augmentant le son de sa voix. Dis-moi que tu jouis pendant que je te laboure le cul, allez, dis-le moi. — Oui je jouis. Continue, n’arrête pas, dis-je pour le contenter.  — Tu peux être certain que je vais continuer. Je vais te défoncer comme jamais personne ne t’a défoncé et tu en redemanderas encore car tu es une vraie salope qui aime se faire prendre par un vrai mec. Je sais que tu adores cela, comme le mec qui nous mate présentement. Tu as vu ce mec qui se crosse en te regardant te faire fourrer? Regarde là, dit-il en dirigeant mon visage vers la fenêtre d’où venait la lumière. Lui aussi c’est une salope comme toi mais lui, il aime regarder. Tu vois comme il aime te voir te faire embrocher? J’imagine que ça t’excite encore plus de savoir qu’un mec nous regarde?             Il a bien raison, ça m’excite de savoir que ce mec se branle en nous fixant, en me fixant en train de me faire enfourailler par un mec du genre d’Alexandre. Ça m’excite de me dire que c’est moi qui aie la grosse queue d’Alex dans le cul et pas lui. Ça m’excite de regarder ce mec derrière la fenêtre qui joue au billard anglais et ça m’excite de voir sa queue qu’il plaque à la fenêtre. Mais ça m’excite encore plus de sentir ce gladiateur derrière moi qui joue au bilboquet avec mon cul, de sentir sa gaule entrer et sortir pour me défoncer la boutonnière. Oui je suis excité de tout cela et oui, je suis une salope mais une salope qui excite ce mâle magnifique qui se plaît à me labourer car je sais que je lui plais et ça, ça m’excite. — Allez, il est temps de se réchauffer. Viens, dit-il en quittant mon cul.  — On va où? — Pauvre mec, tu vois bien qu’il ne se peut plus. Il a hâte de prendre, lui aussi, l’escalier de service.             Et c’est alors que je le suis, entrant dans l’appartement du mec qui se masturbe toujours, me regardant, un large sourire aux lèvres. — Allez, débarrasse-toi de tes vêtements, nous sommes au chaud, me dit Alexandre en m’aidant à retirer mes vêtements. Et vite, ma queue veut encore te fourrer. Couche-toi sur la table et écarte tes jambes.             Et c’est ainsi que je me ramasse couché sur la table, la queue d’Alexandre bien en moi tandis que l’autre mec se rapproche pour nous observer de plus près. Pour la première fois, je peux regarder le visage de mon gladiateur pendant qu’il m’enfourne et dieu qu’il est beau et sexy. Cette expression qu’il montre en me bourrant le pot est presque de l’art.  — Je peux? Demande le mec de l’appartement.  — Bien entendu, répond Alexandre en se retirant. Sers-toi, il y en a pour tout le monde.             Il se rapproche, lentement. On dirait que ça l’intimide. — Allez, il faut la rentrer, dit Alexandre en prenant la queue en main pour la diriger vers mon calice. Ne sois pas gêné, il est habitué. Tous les mecs de Montréal lui ont passé dessus.             Lentement, le mec pousse sa queue en moi. Je la sens glisser mais sans plus. J’espère qu’il prendra du gallon car après avoir eu le gladiateur dans le cul… Il commence des mouvements de va-et-vient pendant que moi, je regarde Alexandre avec, dans les yeux, une supplication de reprendre le travail car présentement, ce n’est pas le Nirvana. C’est à se demander si le mec a vraiment envie de me fourrer.  — Écoute Jean-Pierre, il faut que tu accélères la cadence. Ce cul que tu es en train de fourrer est un vieux de la vieille alors, donne-lui en pour son argent. Je sais bien que c’est ta première fois mais profites-en au max.             Sa première fois. Ce mec d’au-moins soixante ans n’a jamais fourré un cul de mec? Je sais bien que le fait de nous être retrouvés devant sa fenêtre n’est pas une coïncidence mais là, me faire fourrer par un mec qui n’a jamais fait cela est un peu décevant. C’est à peine si je le sens à l’intérieur de moi tellement il n’y met pas d’entrain. A-t-il peur que je lui coupe la queue ou quoi?  — Vas-y comme cela, dit Alexandre en l’aidant en prenant ses hanches pour les balancer d’avant en arrière. C’est ça, accélère le tempo. Tu vois bien que cette salope veut que tu le défonces, pas que tu le chatouilles.  — Je ne veux plus, dit-il en se retirant. J’ai essayé mais je m’aperçois que je préfère regarder. — Comme tu veux. Je vais poursuivre alors car cette chienne est réellement en chaleur, dit-il en reprenant sa place pour reprendre le travail. Regarde Jean-Pierre, c’est comme ça qu’on donne satisfaction à ce genre de salope, poursuit-il en me tranchant le cardinal à grands coups secs.              Là, je retrouve mon plaisir. C’est bon de sentir une queue dure qui sait y faire et je vois bien qu’Alexandre apprécie s’enfoncer en moi. Ses grimaces démontrent tout le plaisir qu’il y prend et son grand cri ainsi que la chaleur dans mon cul me dictent qu’il est en train de jouir. Il me remplit le popotin de sa crème fraîche pendant que moi, je me crosse, espérant venir le plus vite possible pour quitter ce lieu.  — Laisse-moi faire, me dit Alexandre en prenant ma queue dans sa main. Je vais te faire cracher ton foutre, tu vas voir.             Sa grosse main entourant ma queue, sentant toujours sa bite dans mon cul, je crache mon yaourt qui termine sa trajectoire sur la poitrine de on gladiateur. — Wow… Tu as de la puissance ma petite salope, dit-il en léchant mon sperme sur sa main. Tu as bon goût. Je dois avouer que tu es un sacré bon coup mais là, il est temps de quitter. Jean-Pierre a eu ce qu’il voulait.              Je me lève, quittant la table et me rhabille pendant qu’Alexandre se rapproche de l’hôte. Je le vois accepter des billets de banque. Je le regarde en fronçant les sourcils. — Bien quoi? Dit-il sur un ton autoritaire. Chacun son plaisir. Toi, ce fut de sentir ma queue dans ton cul et moi, c’est de faire un peu d’argent. On n’est pas tous directeur d’une boîte comme la tienne. Alors, on trouve chacun notre compte. Dis-moi petite chienne que tu n’as pas aimé ta journée? Je le savais, tu en as raffolé. Alors, la prochaine fois que je t’appelle, tu réponds.
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