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Mon gladiateur sexy (03)

Chapitre 1

Gay
Lundi après-midi. Seize heures. Je suis au bureau. Mon cellulaire se fait entendre. Je regarde l’écran; appelant inconnu. Je me doute de qui vient l’appel — Tu es où? — Je suis au bureau. Pourquoi? — C’est parfait. Rends-toi au sauna pour dix-sept heures trente. — Au sauna?  — Tu as bien entendu. Je te texterai vers dix-sept quinze, dit-il avant de raccrocher.             Encore une fois, mon gladiateur sexy me fera faire ce qu’il désire car, bien entendu, je me rendrai au sauna, sachant qu’une aventure excitante m’y attend.             A dix-sept heures quinze pile, mon cellulaire vibre sur mon bureau. Alexandre me signale qu’il est temps de me rendre au sauna et une fois là-bas, juste me nommer à la réception et me rendre à la chambre quatorze. J’enfile donc mon manteau et, déjà excité, je quitte le bureau. Le sauna est à quelques minutes d’où je travaille.             Arrivé au sauna, je donne donc mon nom et le réceptionniste me sourit en me disant que je peux entrer, ce que je fais sans attendre. Je longe le corridor, observant les numéros sur les portes jusqu’à ce que j’arrive devant la quatorze. J’ouvre la porte et tout de suite, je remarque une valise sur le lit. Mon gladiateur n’a pas lésiné, ayant choisi une grande chambre avec lit double au lieu d’une chambrette à lit simple. J’entre donc, prenant la peine de refermer la porte derrière moi. Et mon cellulaire se fait entendre à nouveau. — Maintenant, ouvre la valise, me dit-il d’un ton autoritaire. Tu adoreras ce que tu y trouveras.             Immédiatement, je fais ce qu’il me dit et, surpris, j’y découvre plein de dildos, de différentes grosseurs, différentes couleurs.  — Tout cela est pour toi Etienne, juste pour toi. Il suffit de te mettre à poil et de te faire plaisir. — Je ne sais pas pourquoi mais quelque chose me dit que ce ne sera pas tout, lui dis-je, sachant bien que j’étais, encore une fois, sa pute de service.
 — On ne peut rien te cacher mais pour l’instant, je veux que tu te mettes à poil et que tu utilises le plus petit dildo.              Je regarde le dildo qui, soit dit en passant, est plutôt minuscule pour mon cul. Je me déshabille donc, complètement, comme exigé. — Maintenant, agenouille-toi sur le lit et fais-toi plaisir, me dit Alexandre avant de raccrocher.             Je m’agenouille donc, dos à la porte, écartant légèrement les jambes, humectant le petit dildo avant de me l’enfiler complètement dans le cul. Je regarde l’intérieur de la valise, me disant que certains dildos seraient beaucoup plus aptes à me donner du plaisir. Et puis merde, il n’est pas là alors je décide de changer, prenant un dildo plus gros et plus large. Lentement, je me l’enfile, le sentant glisser en moi. Là, je sens quelque chose et ça devient plus intéressant. J’accélère le mouvement. Je dois avouer que je préfère une bonne grosse queue dure pour me labourer le cul mais bon, Alexandre en a décidé autrement. J’accélère donc encore plus le mouvement, m’enfonçant le dildo au complet, bien à fond. Je commence à y trouver du plaisir. Je prends mon poireau en main pour me crosser, augmentant de même mon excitation, jusqu’à ce que je sente une main contre la mienne. Je me retourne immédiatement pour y apercevoir un mec, le jeans ouvert et la bitte bien en vue. Il empoigne le dildo et prend le contrôle. Je ne dis rien, le laissant faire à sa guise. J’écarte encore plus les jambes pour lui donner une plus belle vue. Je vois bien que ça l’excite de regarder le dildo s’enfoncer en moi et je décide de lui en donner pour son argent. Je me mets à me lamenter, feignant de jouir comme un petit fou. Le fait que ce mec soit maître du dildo me donne de grandes sensations, appréciant qu’il s’amuse avec mon cul.  — Tu aimes ça? Me demande-t-il en m’enfonçant le dildo à grands coups. Je suis certain que tu apprécierais quelque chose de plus gros.             Il retire le dildo et en choisit un, dans la valise, beaucoup plus gros, qu’il enduit d’une crème avant de me l’enfoncer bien profond. Il a parfaitement raison, ce format me va très bien. Là, mes gémissements sont vraiment réels et de le voir se branler la queue en même temps me plaît bien. Ce mec n’est pas du tout mon genre mais il parvient tout de même à m’exciter. Sans nul doute est-ce de le voir prendre son pied en me fourrant avec ce gros dildo noir. Son regard est tellement intense, ne quittant pas ma rosette des yeux et sa queue qui se laisse frotter à souhait.  — Couche-toi sur le dos, m’ordonne-t-il, sortant le dildo pour le lécher le temps que je prenne place sur le lit. Il est vraiment cochon ce mec. Allez, écarte tes jambes que je te pousse ce gros bijou dans le cul.             Je ne me fais pas prier et écarte les jambes, le regardant diriger le dildo pour me l’enfoncer à nouveau, d’un seul grand coup que j’apprécie énormément. Il y a va d’une main ferme, le faisant glisser dans mon cul en accélérant la cadence. Son autre main est bien encrée sur sa queue qu’il masturbe et je sens qu’il est sur le point de jouir, sa respiration ne mentant pas sur son excitation. Et vlan, il me lance son yaourt crémeux, laissant entendre de petits cris remplis de testostérone. La chaleur de son foutre sur ma queue me rend fou et j’aimerais jouir à mon tour mais je préfère attendre, espérant que mon gladiateur pourrait venir m’enfourner bien à fond. Le mec se penche pour m’embrasser, me remerciant avant de quitter la chambre en prenant soin de laisser la porte ouverte. Moi, je demeure là, les jambes toujours écartées et le dildo bien en place dans le cul. Je glisse mon index sur ma queue pour y cueillir le foutre et le porter à ma bouche pour le lécher goulument. J’entends mon cellulaire et me dépêche de répondre. — J’imagine que tu as apprécié te faire remplir le ballon par ce gros dildo? Me demande Alexandre en riant. Mais tu ne crois pas que tu es ici que pour cela. Maintenant, tu vas prendre la serviette et te promener dans le sauna. Tu y trouveras sûrement quelque chose de bon quelque part. Il serait sans doute bon que tu prennes une douche, dit-il avant de raccrocher.             Je retire donc le dildo, le replaçant dans la valise et enroule la serviette autour de mes hanches pour quitter la chambre, empruntant le corridor qui me mènerait aux douches. En ce lundi, il n’y avait pas grand monde au sauna, quelques mecs ici et là mais rien de vraiment bandant. Comme toujours, la semaine, les hommes s’y trouvant étaient, pour la plupart, des mecs mariés qui venaient se payer du plaisir avant de retourner rejoindre la famille.              Arrivé aux douches, je me débarrasse de ma serviette et ouvre l’eau, profitant de cette chaleur sur mon corps. Aussitôt, un mec arrive. Un grand black d’environ cinquante ans, les cheveux grisonnants, pas très costaud mais lorsqu’il se débarrasse de sa serviette, je vois que son gourdin est plutôt impressionnant. Sans attendre, je me tourne vers lui, me caressant la poitrine pour lui faire comprendre qu’il pourrait aisément se servir de son canon pour me faire plaisir. Il s’approche et glisse sa main sur mon ventre avant d’empoigner ma queue. Sans trop attendre, je m’agenouille et engloutit sa verge bien épaisse que je suce avidement. — J’aimerais te manger le cul, me dit-il en m’incitant à me relever.             Je lui tourne alors le dos et aussitôt, il écarte mes fesses pour y glisser sa langue, léchant avec entrain ma boutonnière. Je ne sais pas si c’est un hétéro mais il prend grand plaisir à bouger sa langue, tentant de me percer la rosette, jusqu’à ce qu’il se relève pour me gicler sa graisse bien chaude sur les reins. Je me dis que ce mec avait grandement envie d’un semblable pour jouir aussi vite. Pas grave, la soirée ne fait que commencer. Il quitte donc alors que moi je me savonne avant de m’assécher pour reprendre le pas de marche dans le corridor.              J’emprunte un couloir, sachant qu’il me mènerait aux gloryholes. L’ambiance est feutrée, une faible lumière bleutée. J’avance tranquillement, à la recherche d’une queue à sucer. Pas grand-chose pour l’instant, poursuivant ma quête jusqu’à ce que la vois, bien droite, bien dure, sortant du trou. Je m’approche, l’examine avant de la prendre en main. Ça m’excite de ne pas connaître l’identité du mec derrière le mur, pouvant avoir affaire à un laideron comme à un dieu mais ce que je sais, c’est que cette bite est très appétissante. Je me retourne, relevant ma serviette au niveau de mes reins et place mon cul directement sur cette queue. Lentement, je la fais glisser entre mes demi-lunes, juste assez pour exciter le mec au max, juste assez pour qu’il souhaite me défoncer la pastille. De ma main, je place la bite sur ma pastille et lentement,  j’opère un mouvement de recul. Je la sens défoncer ma rondelle, s’enfonçant doucement dans ma tirelire jusqu’à ce qu’elle soit bien profond et, ne pouvant attendre plus longtemps, j’accélère le mouvement. Je peux entendre la respiration du mec qui s’accélère et les gémissements qui prennent vie. Je suis excité au max, tant par cette aubergine en moi que par le fait qu’il y ait un mec derrière le mur qui prend grand plaisir à fourrer un cul en n’ayant aucun contrôle, le tout opéré par mes mouvements. Je l’imagine bon père de famille, époux dévoué venant prendre son pied en jouant à saute-mouton avec des inconnus avant de retourner à la maison, large sourire aux lèvres, heureux de sa performance.              De par les gémissements, je sais que le mec est sur le point de jouir et je décide de le satisfaire entièrement en accélérant mes mouvements. Je l’entends crier et aussitôt, je sens la chaleur de sa crème chantilly qu’il me jute pendant que sa bite donne de brusques coups. Je cesse tout mouvement, lui laissant le temps de terminer à bien sa jouissance, sa queue toujours bien enfoncée dans mon cocotier. Et je décide de lui offrir un plaisir dont il ne s’attend sûrement pas. Je retire sa bite de mon cul et tout de suite, je m’agenouille et prend en bouche son asperge crémeuse, y glissant ma langue pour lécher son nectar délicieux. Je ne pouvais tout de même pas le laisser partir avec une queue pleine de sauce. — Merci mec, lui dis-je en me relevant pour replacer ma serviette. Ta queue est des plus savoureuses.             Je reprends le pas de marche, m’interrogeant sur les objectifs d’Alexandre de me faire venir en cet endroit. Je décide donc de retourner à ma chambre et, comme je le croyais, un texto m’attendait, me signalant de me rendre immédiatement dans le sauna sec. Je rebrousse donc chemin, longeant le corridor qui me mènerait à l’endroit désigné. J’ouvre la porte de bois pour y trouver mon gladiateur, assis sur la banquette de bois, une serviette autour des hanches. Il s’était écarté les jambes, laissant entrevoir ses entrecuisses bien musclées.  — Et puis ma petite salope, tu as apprécié la bite de ce mec dans ton cul tout à l’heure? Je le regarde en fronçant les sourcils, me disant qu’il m’avait espionné. Tu ne croyais tout de même pas que tu je te laisserais comme cela, te promener sans que je sache ce que tu fais? — J’imagine bien que non, lui dis-je en prenant place à ses côtés. Et maintenant, que veux-tu de moi? — Ne sois pas si pressé, me dit-il en riant. Apprends à relaxer. Tu n’es pas bien ici, avec moi?             Bien entendu que j’étais content de le voir mais j’espérais tant qu’il me baiserait comme il savait si bien le faire. Si je m’étais écouté, je lui aurais enlevé sa serviette pour m’asseoir bien à fond sur sa queue mais je savais bien que le contrôle passait par lui.  — Tu vois l’effet que tu me fais, dit-il en soulevant la serviette pour me montrer sa queue bien dure.              Lentement, j’approche ma main mais aussitôt, il replace sa serviette, me signalant que ce n’est pas touche. Il se lève pour aller prendre place sur l’autre banquette, en face de moi, écarte largement ses jambes et relève sa serviette. Doucement, caressant son entrecuisse, sa main empoigne fermement son gourdin et il se met à se masturber en me regardant droit dans les yeux, petit sourire narquois pour me signaler que je dois demeurer tranquille. Il s’amuse avec moi et ça l’excite de constater que je ne veux qu’une chose, qu’il me baise comme une bête. Il est là, devant moi, avec son corps sculpté, des gouttelettes coulant sur sa peau et je ne peux le toucher. Le regarder est un vrai calvaire et il le sait parfaitement. Son poireau d’une main, il se caresse le torse de son autre main, glissant sa langue sur ses lèvres et tout cela, en me fixant de ses yeux moqueurs. Il laisse même entendre de légers gémissements.               Je lève les yeux et aperçoit, par la vitre, un mec qui nous matte. Alexandre se retourne et lui lance un clin d’œil, comme pour l’inviter à nous rejoindre. Sans se faire prier, il ouvre la porte et s’assoie près d’Alexandre. Il est sexy, très sexy même. Latino, dans la trentaine, un corps bien en muscle. Il écarte les jambes, me laissant entrevoir son gland rosé bien gros, bien rond. Alexandre le regarde, lui sourit avant de l’embrasser goulument pendant que moi, je ne peux qu’admirer ce spectacle qui me rend fou d’exaltation.              Alexandre se débarrasse de sa serviette et sans tarder, le latino se penche et se met à le sucer tranquillement. Sa langue lèche le gland pendant qu’Alexandre continue à me regarder en souriant. Lentement, il pose sa main sur la tête du mec et l’incite à le pomper bien profondément, l’obligeant à le prendre en pleine gorge. La bouche bien ouverte, ce dernier se fait un plaisir de goûter bien à fond cette belle queue dont je ne peux user. Aguiché, je touche ma queue mais sitôt, mon gladiateur me fait savoir, par un signe de tête, que je ne peux faire cela. Je dois rester tranquille, là, à regarder, rien de plus.              Alexandre retire sa queue de la bouche du latino et lui chuchote quelque chose dont je ne parviens à entendre. Ce dernier se lève, laisse tomber sa serviette par terre. Quel cul bombé. Une œuvre d’art. Il pose un pied sur la banquette, se penche par en avant et de ses mains, écarte ses fesses. Sans tarder, Alexandre se met à lui manger le cul, à grands coups de langue, laissant entendre que cette pastèque est des plus délicieuses. Je vois qu’il prend grand plaisir à se goinfrer de ce cul mais je sais parfaitement qu’il prend encore plus de joie de me savoir dans tous mes états. Et soudain, il pose ses mains sur les hanches du mec, l’incitant à changer de position. Je connais parfaitement ce qui va se passer et cela, c’est le summum de l’excitation.              Sans se faire prier, le latino me tourne le dos et monte sur Alexandre, plaçant sa chevalière sur le gland bien ferme. Comme si je ne voyais plus rien d’autre, j’examine attentivement le boudin bien droit s’enfoncer dans le troufignon, entendant le mec qui s’éclate en accélérant ses mouvements de haut en bas. Les bras autour du cou d’Alexandre, il s’exécute avec fougue, criant son plaisir avec entrain. Je n’en peux plus, je vais exploser. Mon gladiateur me regarde toujours en souriant, les mains sur les fesses du latino pour les écarter pour que je ne manque rien de cette manifestation d’euphorie. Comment pourrais-je ne pas regarder une si belle bite fourrer un si beau cul?  — Ok mon beau, retire-toi, dit-il en poussant légèrement le mec. Tu en as eu assez pour le moment. Le latino se retire, déçu et replace sa serviette autour de ses hanches avant de quitter la pièce, me laissant seul avec Alexandre qui replace sa serviette. Et puis ma petite salope, tu as apprécié le spectacle? — C’est cruel ce que tu fais là. — Mais non, mais non. Ne sois pas si drama queen. Tu ne peux pas nier que ce mec a un cul du tonnerre. J’ai bien apprécié le labourer mais la soirée n’était pas assez avancée pour que je lui dégorge mon poireau dans le cul. Tu ne penses pas? Je garde le silence, préférant me taire au lieu de dire quelque chose qui lui donnerait satisfaction. Bon, la soirée n’est pas terminée, dit-il en se levant. Qu’aimerais-tu faire maintenant?             Ce que j’aimerais faire? Il est sérieux là? Tout ce dont je rêve, c’est de me faire fourrer par sa belle queue jusqu’à ce qu’il me remplisse le popotin de sa crème bien chaude. Mais non, je ne lui donnerai pas satisfaction.  — Tu vas te rendre au jacuzzi. Je suis certain que ça te détendra un peu. Tu m’as l’air crispé. Allez, on se revoit tout à l’heure, dit-il avant de sortir, me laissant là, seul, bandé comme dix.              Je quitte donc, moi aussi, le sauna sec, marchant dans le corridor avec ma serviette qui laisse très bien entrevoir que je suis en érection. Je rencontre un mec qui, tout de suite, pose les yeux sur mon gonflement avant de se lécher les lèvres en me faisant un clin d’œil. Mais non, je dois me rendre au jacuzzi, comme exigé par mon gladiateur. De toute façon, ce mec ne me plaît nullement.              J’arrive donc au jacuzzi, apercevant un mec, dans la soixantaine, bedonnant, les cheveux gris et une barbe mal rasée. Rien de trop excitant. J’enlève donc à nouveau ma serviette, laissant parfaitement voir ma queue toujours bandée, me disant cependant qu’avec ce mec devant moi, j’allais retrouver une taille normale. J’embarque donc dans l’eau chaude et m’assied, regardant partout sauf le mec mais je sais que lui me matte au max. Je le laisse faire, sans rien dire, profitant de la relaxation de l’eau sur mon corps, espérant qu’un autre mec, plus excitant, décidera de nous rejoindre.              Heureux, je vois Alexandre qui arrive et qui embarque dans le jacuzzi. Il salue le mec avant de prendre place, posant sa tête sur le rebord en fermant les yeux.  — C’est bon cette eau chaude, vous ne trouvez pas? Dit-il, les yeux toujours fermés. C’est bien de pouvoir relaxer dans la vie. Bien entendu, il y a d’autres façons de relaxer, poursuit-il en ouvrant ses yeux pour regarder le mec. J’imagine que toi, tu es ici pour relaxer autrement que par le jacuzzi sinon, tu ne serais pas au sauna. Tu viens souvent ici? — Une à deux fois par semaine, répondit-il — Je mettrais ma main dans le feu que tu es marié. — Effectivement — Donc, tu viens ici pourquoi exactement? Pour mater des mecs ou pour les baiser? — Pour les baiser, bien entendu — Et tu y trouves ton compte? — Parfois oui, parfois non. — Et ce mec devant toi, tu le baiserais? Il est ton genre? Regarde-le, il est superbe. A moins que tu préfères les petits jeunes. Allez Etienne, debout et montre-lui ton cul.              Je lui lance un vif regard et je m’exécute, me levant pour leur tourner le dos, montrant mon cul au mec — Tu ne peux pas dire que ce cul n’est pas excitant. Et tu sais quoi, il adore se faire fourrer à cru, bien profondément. Je suis certain qu’il aimerait grandement sentir ta queue frétiller dans son cul de salope. Tu veux essayer?             Je me retourne la tête pour regarder le mec qui, effectivement, observe mon cul bien à souhait et je décide de jouer le jeu. Lentement, je me mets à me balancer les hanches, me penchant vers l’avant pour tâter ma rosette. Je sais bien que ce sexagénaire est un client d’Alexandre et qu’il a payé pour me sauter. Malheureusement pour lui, même dans un sauna, il ne doit pas avoir la cote. Et j’ai accepté de jouer le jeu alors.             Le mec se lève et s’avance vers moi, la queue en main. Je pose un pied sur le rebord, écartant de même mes jambes pour lui offrir mon œil de bonze à défoncer. Il se place la queue et me l’enfonce, du moins je crois car je ne sens pas grand-chose. Ce mec n’est pas équipé pour fourrer un cul comme le mien, je vous le dis. Je balance les hanches pour tenter de la sentir un peu plus mais rien à faire. Je vais donc attendre qu’il me gicle son jus dans le cul, s’il y parvient, bien entendu. Pauvre homme, je l’entends déjà à bout de souffle à force de me taper dedans. Je sais bien qu’il fait tout son possible pour me donner du plaisir mais rien à faire. C’est comme si on me rentrait un tout petit bâton, genre bâton de pop sicle. Je lance un regard en direction d’Alexandre qui m’incite à faire semblant de jouir. Je laisse donc entendre quelques râlements, riant intérieurement en pensant à ces gens qui évoquent des souvenirs de cul pour tenter de s’exciter. Enfin, le mec me lance son yaourt et s’en est terminé. Il se retire, me remerciant de mes services. Et vive la pute. Il sort du jacuzzi et nous quitte, sûrement heureux d’avoir fourrer un cul avant de retourner à la maison.  — Tu pourrais au-moins trouver des clients plus excitants, dis-je à Alexandre en me rassoyant dans l’eau. — Et on regarde sur la qualité maintenant, me dit-il en riant.  — Un minimum serait apprécié. Bien sûr, toi tu te gardes les mecs comme le latino alors que moi… — C’est moi qui décide, me coupe-t-il la parole. Si ça ne te plaît plus, il y a d’autres mecs tu sais. — Et là, la soirée est terminée ou quoi? Si oui, moi je n’ai pas terminé. Je vais me trouver un mec qui va savoir me fourrer comme du monde. — Il n’y a pas grand monde ce soir, comme tu peux voir. Tu peux tenter ta chance.             Je soupire, sachant bien qu’il a raison mais bon, je ne resterai pas là à faire rire de moi. Je sors du jacuzzi, remet ma serviette et je quitte la pièce en espérant trouver une queue digne de ce nom. Je me dirige vers le salon où il n’y a personne et rebrousse chemin en direction des gloryholes. Je marche tranquillement en observant bien mais personne. Il doit bien y avoir quelqu’un quelque part. Je décide de suivre les corridors, jetant un œil dans les chambrettes. Les portes sont toutes fermées mais je décide quand même de poursuivre ma quête. Je descends au sous-sol, sachant qu’il y a d’autres chambrettes. Encore rien sur mon chemin jusqu’à ce que j’entrevoie une porte entrouverte. Je m’approche et je regarde par l’entrebâillement. Le latino est là, étendu sur le ventre, les jambes bien écartées pour laisser voir son cul bombé. Il a les bras croisés et son visage y est enfouit. On dirait qu’il dort. Je n’attends pas d’être invité et pousse sur la porte pour me rapprocher de lui. Il a vraiment un cul invitant et je décide donc de changer mes projets. Doucement, je me couche sur lui. Il ne bouge pas. J’empoigne ma queue et la dirige directement sur sa rosette avant de pousser pour la défoncer. Il laisse entendre un petit son qui me dit qu’il apprécie ma façon de faire, bougeant même le bassin pour s’assurer d’être labouré bien à fond. J’accélère mes mouvements, excité par la chaleur de son cul. Il ne me regarde pas, gardant son visage sous ses bras, préférant sans doute ne pas connaître l’identité de celui qui le fourre bien à fond.  — Et bien, on se paie du fun sans moi.             Je reconnais la voix d’Alexandre qui vient d’entrer. Je me retourne pour le regarder et je vois qu’il est nu, la queue déjà bien dure. Sans attendre, il se place derrière moi, écartant les jambes de chaque côté de mon cul et m’embroche d’un seul grand coup, y allant avec entrain. Je suis pris en sandwich et j’en profite. Je balance des hanches pour fourrer le latino et surtout, pour sentir enfin la bite de mon gladiateur qui se plaît à me traiter de salope et de chienne. Je sens que je vais jouir et rien ne sert de m’arrêter car j’ai Alexandre dans le cul qui me fourre à plein régime.              Et je crache ma sève gluante dans le vase du latino et en même temps, je sens la chaleur du foutre d’Alexandre qui me remplit le tambour. C’est l’extase totale. Je resterais dans cette position pendant des heures mais Alexandre se retire, approchant sa bite de ma bouche pour que je la lèche au complet.  — C’est bien beau ma salope mais tu ne laisseras pas ce beau mec comme cela. Allez, suce-le pour qu’il jouisse à son tour.             Je me couche donc sur le dos pendant que le latino prend place au-dessus de moi, sa queue bien dure en main, prête à me gicler cela au visage. Je lui lèche les bourses, ma langue goûtant chaque pore de sa peau. Et c’est alors qu’il bouge pour placer sa bite sur mes lèvres que j’entrouvre grandement pour y accueillir sa queue qui me crache sa béchamel bien épaisse que j’avale, la sentant glisser dans ma gorge comme une liqueur exquise. Il se lève, empoigne son jeans et en sort une liasse de billets qu’il donne à Alexandre. Même lui est un client. Je suis abasourdi qu’un mec de sa trempe doive payer pour baiser des mecs. Il se rhabille et nous quitte sans rien dire. Je regarde Alexandre avec un regard interrogateur. — Quoi? — Il t’a payé? — Bien oui. Je savais parfaitement qu’en le fourrant dans le sauna sec, tu deviendrais fou et qu’en le revoyant, tu ne manquerais pas ton coup. — Mais pourquoi un type comme lui doit payer alors qu’il pourrait avoir tous les mecs qu’il désire? — On n’est pas tous des salopes comme toi Etienne. Ce mec est marié et c’est plus sûr pour lui de payer. Je lui ai montré ta photo et tu lui as plu. — Photo? Quelle photo? — Lorsque tu es venu la première fois pour ton costume de Cupidon, je t’ai pris en photo et crois, elle fait son effet dans mon catalogue, répond-il en sortant de la chambrette. J’ai fait le motton ce soir avec toi. A la prochaine ma petite chienne payante.              Je reste là, seul, à me dire qu’il m’utilise pour s’enrichir. Et pourquoi je ne me ferais pas payer à la place? Je connais parfaitement la réponse. Ça m’excite au plus haut point d’être sa chose et en plus, je me fais fourrer sans chercher alors, j’y gagne au final
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