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Mon gynéco... et mon mari

Chapitre 3

Hétéro
J’ai beaucoup réfléchi après ce qui s’est passé... Bien que n’ayant pas de remords, je me demande si je dois vraiment y retourner... ce qui est sûr, c’est qu’il m’a sacrément fait jouir ! En fait, au fond de moi, je sais que je vais y retourner et il me tarde d’être au mardi suivant.
Ce jour-là arrive enfin ! Comme je n’ai rendez-vous qu’à 19h30, je mets un soin tout particulier à me préparer. Thierry, mon mari, doit rentrer tard encore une fois (comme d’habitude en fait !), pas avant 21h30, dans le meilleur des cas.
A ce stade, je vais quand même vous rappeler ma description : j’ai 32 ans, je suis secrétaire de direction. Je suis mariée à Thierry, 35 ans, depuis 6 ans et nous avons un enfant.
Comme il me le dit, je suis une « belle plante » : longs cheveux blonds, visage ovale, yeux verts, poitrine généreuse (90C), hanches minces et joli cul. De par ma fonction, mais aussi par goût, j’aime être bien habillée : en général en tailleur, avec des jupes au-dessus du genou, des jolis dessous et des escarpins qui me hissent un peu plus haut que mon mètre soixante-cinq. Pour finir, il faut vous dire que j’aime bien le sexe et que nous le pratiquons activement avec mon mari, mais moins souvent que ce que je le souhaiterais !
Donc ce jour-là, je me décide pour un top en lycra blanc sous lequel on voit très bien mes bouts de seins car je ne porte pas de soutien-gorge, un string ficelle transparent, des Dim Up blancs, une veste et une jupe à mi-cuisse, avec bien sûr mes escarpins rouges.
A 19h30, je suis dans la salle d’attente vide. Cinq minutes plus tard, la porte du cabinet s’ouvre et Laurent sort derrière une de ses patientes qu’il raccompagne à la porte en me jetant quand même un coup d’œil.
Mon cœur s’accélère à sa vue. Il revient vers moi avec un grand sourire, je me lève. Il m’embrasse tout de suite. Ses lèvres prennent possession des miennes, sa langue tournoie dans ma bouche, la mienne se lie au ballet et ma température monte d’un cran, surtout quand ses mains se posent sur mes fesses. Notre baiser dure bien cinq minutes ! Quand nos bouches se séparent, il a toujours ses mains sur mes fesses et il me les pelote ardemment.
Il dit en souriant :
— Ça me semble prometteur ! Tu entres ?— Oui bien sûr...
Je le suis dans son cabinet. Il referme la porte derrière moi et revient se coller dans mon dos. Je sens son membre déjà imposant contre mon postérieur. Il m’embrasse dans le cou. Ses mains défont ma veste et prennent possession de mes seins. Il me les masse à travers le lycra. J’apprécie beaucoup !
— Tu es vraiment très belle ! Et j’adore comment tu es habillée ! Je suis sûr que dessous c’est encore mieux que dessus !— Je crois que tu vas apprécier... J’ai pensé à toi en m’habillant...— Tes seins sont fantastiques ! Tu es vraiment craquante ! Tu sens comme je bande pour toi ?— Bien sûr que je le sens ! Si tu savais dans quel état je suis ! (et de fait, je suis toute mouillée !!! Je sens mon sexe s’ouvrir et couler... mon string était transparent et est maintenant trempé ! )
— Je vais m’occuper de toi... longuement ! Rien que de toi... je vais te faire jouir Sonia chérie !— J’espère bien, je suis venue pour ça !— Mais avant, tu ne voudrais pas t’occuper un peu de moi ? Je me sens un peu congestionné...
J’ai bien compris le message et pendant qu’il continue de me masser les seins, je glisse une main sur son pantalon afin de caresser son membre au travers de l’étoffe. Il est vraiment de belle taille ! J’ouvre la fermeture éclair pour avoir un contact plus direct, je baisse le tissu de son boxer et mes doigts saisissent sa hampe. Je le caresse doucement.
Il me retourne pour m’embrasser et tout en répondant à son baiser, je défais son pantalon qui tombe à ses pieds. Il enlève prestement ses chaussures pour pouvoir ôter son pantalon (et ses chaussettes par la même occasion) et il est devant moi en boxer noir, le sexe qui dépasse de l’élastique.
Je m’agenouille et prends sa queue entre mes mains, elle est entièrement décalottée et son gland rouge vif pointe vers moi agressivement ! Je le caresse de ma langue tout en enlevant son boxer. Laurent est maintenant en chemise et en blouse. Je le vois les retirer.
— Tu veux bien garder ta blouse...— Bien sûr... pourquoi ?— Ça m’excite !
Il remet donc sa blouse et je me remets à l’ouvrage. Il a vraiment une belle queue ! Bien épaisse, assez longue, toute droite, avec des testicules bien pleins et assez volumineux. Et il est rasé. Je n’avais pas fait attention à ça la dernière fois !
Ma langue joue avec son gland, mes mains caressent ses couilles. Je le lèche sur toute la longueur de la hampe, je lèche ses couilles, les embrasse, remonte jusqu’à son gland que je finis par gober tout en jouant avec ma langue sur son méat où je lape quelques gouttes. Il a mis ses mains sur ma tête, dans mes cheveux, il me caresse en m’encourageant. Je commence à avaler tout son pieu, en plusieurs fois quand même ! Je descends, je monte... je redescends, je remonte... tout en continuant à jouer de ma langue sur son gland.
Mais je le sens qui bouge... il recule... ses mains sur ma tête m’empêchent de me relever et je dois le suivre comme je peux avec son membre en bouche. Heureusement il ne va pas loin. Il s’assied sur un fauteuil qui se trouve à deux mètres de là.
Je me remets à genoux pour continuer ma fellation grâce à laquelle il prend apparemment un plaisir certain... et moi aussi.Il n’a pas quitté ma bouche et tout en malaxant ses couilles, j’accélère le rythme.
Tout à coup, il me dit :
— Que c’est bon ce que tu me fais ! Tu suces comme une reine !
Je continue en m’appliquant.
— Mets-toi accroupie, me dit-il ensuite.
Je comprends qu’il veut admirer mes dessous et j’obtempère. Je me mets accroupie sur mes talons aiguilles en écartant largement mes cuisses. Je sais qu’il a une vue imprenable sur mon string trempé et transparent ! Je sens ma chatte bien ouverte et collée au tissu !
Je continue néanmoins ma pipe... Je m’attarde sur son gland que je suçote amoureusement puis je vais gober ses couilles... Je les prends en bouche l’une après l’autre... Je sens que ça ne le laisse pas indifférent ! Puis je le reprends tout entier dans ma bouche, bien décidée à le faire jouir ! Mais je le sens s’approcher du bord du fauteuil...
— Mets-moi un doigt dans le cul, me demande-t-il.
Et il pose ses cuisses sur les accoudoirs pour me présenter sa rondelle. Je suis obligée de me redresser pour pouvoir continuer de le sucer et tout en caressant ses couilles d’une main, mon autre main glisse entre ses fesses vers son anus... Il faut que je mouille subrepticement un doigt que je présente à son anus palpitant. Je n’ai pas besoin de pousser beaucoup, il rentre tout seul ! Je le pistonne doucement tout en le suçant... sa queue a gonflé... il apprécie mon doigt dans son cul ! Je le retire pour humecter son voisin et présente cette fois mes deux doigts bien groupés devant son anus. L’intromission est plus difficile, mais j’y arrive. Il a deux doigts dans le cul et je le suce de plus en plus vite ! Sa bite grossit encore... il halète et entre deux respirations me dit qu’il va jouir. En général, je n’avale que le sperme de mon mari, mais là, allez savoir pourquoi, j’ai envie de le goûter, de l’avaler totalement !
Sa queue s’est gonflée une fois, deux fois, puis j’ai pris une première salve dans les amygdales que j’ai avalée immédiatement, suivie de cinq autres pour lesquelles j’ai eu plus de mal. Son sperme n’a pas mauvais goût, c’est même assez bon. Je sens qu’il s’en échappe des commissures de mes lèvres et que ça glisse dans mon cou.
Après avoir dégluti, je reprends son sexe encore bandé pour le lécher amoureusement. Je lève les yeux vers Laurent qui les ouvre à ce moment-là.
— Tu es vraiment merveilleuse ! C’est la meilleure pipe de ma vie !— Merci, lui dis-je en continuant de nettoyer sa queue qui ramollit doucement. Tu as une si belle queue !
Il me sourit puis m’attire vers lui pour m’embrasser. Il me dit à l’oreille :
— Ça va être ton tour petite cochonne ! Tu l’as bien mérité ! Je vais te donner autant de plaisir que tu m’en as donné !— J’espère bien !— Tu me laisses te conduire vers le plaisir ?— Oui ! Conduis-moi !— Tu veux bien faire ce que je te demande ?— Oui, lui dis-je dans un souffle en retrouvant sa langue.— Alors, remets-toi accroupie.
Je l’embrasse encore une fois puis glisse contre lui en embrassant au passage sa belle queue. Je me mets dans la position demandée, cuisses écartées. Laurent est toujours assis. Penché en avant, il admire mon entrecuisse. Je regarde rapidement la vision que je lui offre : mon sexe est ouvert, on le voit nettement ainsi que mes quelques poils pubiens. On voit aussi la ficelle de mon string entre mes fesses, franchissant mon anus.
— Sonia, tu m’offres vraiment une vision extraordinaire !
Je lui présente mon plus beau sourire...
— Tire sur ton string... que la ficelle sépare bien ton sexe...
Je le fais bien entendu. La ficelle est maintenant entre mes lèvres, les grandes comme les petites. Ça commence à me faire plaisir !
— Remue la ficelle ! Agace ton clitoris avec !
Je remonte encore la ficelle et trouve mon bourgeon sans mal. Je passe la ficelle d’un côté à l’autre... Ma respiration s’accélère...
— Tu es vraiment belle !!! Continue comme ça !
Mon vagin s’ouvre de plus en plus. La ficelle bouge entre mes lèvres et stimule mon clitoris. Je sens ma mouille couler jusque sur mon anus...
— Ça te plaît hein ? Ça t’excite ? Mets-toi un doigt dans le cul ! Mouille-le bien avant... avec ta bouche...
Je suce mon majeur gauche avidement, ma main droite étant activée entre mes cuisses. Une fois bien humide, je le présente par derrière devant mon petit trou... qui ne fait aucune difficulté pour l’accepter ! Bien au contraire !
Laurent est toujours bien calé dans son fauteuil. Il se caresse négligemment en m’admirant avec intérêt. Il faut dire que voir une femme accroupie, se frotter le clito turgescent avec la ficelle de son string en se mettant un doigt dans le cul n’est quand même pas si courant que ça ! Le gourmand il apprécie ! Il se passe la langue sur les lèvres !
— Continue Sonia ! Que tu es belle ! Masturbe bien ton anus !
Je sens la jouissance monter et quand elle me prend, elle me laisse pantelante, je crie mon plaisir et je me sens partir en avant.Laurent me rattrape par les épaules, ce qui m’empêche de tomber.
Il me prend contre lui et m’embrasse.
— Merci Sonia, c’était vraiment très beau !— Et fort aussi ! Mes jouissances avec toi sont très réussies !— Merci ! Mais ce n’est pas fini. Tu peux te lever ?— Oui, ça va aller.— Bien. Remets ton string et lève-toi.
Je fais ce qu’il me dit et le suis. Il me fait asseoir sur la table d’examen après m’avoir enlevé ma jupe. Il caresse mes jambes gainées de blanc puis remonte sur mes hanches, mon dos, mon ventre, mes seins. Sa bouche est de nouveau sur la mienne, il tète ma langue. Ses mains se posent sur mes seins, les massent à travers l’étoffe. Elles remontent mon top au-dessus de mes seins, les libérant enfin. Laurent commence à me les malaxer franchement, puis il prend mes mamelons entre deux doigts, les fait rouler, les étire avant que sa bouche quitte la mienne et s’empare de mes pointes turgescentes. Il me lèche les seins, me suce les mamelons, me les mordille, les étire avec ses dents... Je gémis, car j’aime beaucoup qu’on s’occupe de mes seins. Je ne déteste pas non plus qu’on les maltraite un peu...
Il a sa bouche sur mon mamelon droit et me le suce alors que ses doigts triturent mon mamelon gauche.
— Hum ! Tire sur mes seins ! J’aime ça ! lui dis-je en gémissant.
Il ne se le fait pas dire deux fois. Sa bouche quitte mon sein pour retrouver la mienne et ses deux mains prennent possession de mes deux mamelons. Il commence à me les tordre vers la gauche, puis vers la droite.
— Tu aimes comme ça ?— Oui... continue !
Il se met alors à me les étirer ! Tout en m’embrassant avidement, il tire mes mamelons qui prennent d’un coup quatre à cinq centimètres. Une grande chaleur se fait dans mon ventre et je gémis un peu plus fort. Il continue ses travaux d’étirement pendant au moins cinq minutes tout en m’embrassant. Je peux juste gémir et jouir !
Quand il s’arrête, il me dit :
— Regarde un peu tes seins ! Ils sont magnifiques !
Je baisse les yeux et vois mes mamelons tout rouges et longs d’au moins quatre centimètres. Je ne les avais jamais vus comme ça ! Il les reprend dans sa bouche l’un après l’autre et me les tète amoureusement, en les tirant bien avec sa langue... C’est vraiment très bon !
— Tu as aimé jusqu’à maintenant ?— Oui Laurent ! J’ai déjà joui deux fois ! Tu es un amant formidable !— Allonge-toi, me dit-il en appuyant sur mes épaules. Et mets tes pieds dans les étriers.
Je lui obéis pour me retrouver dans la position de la semaine dernière, toujours aussi trempée ! J’avance de moi-même les fesses vers le bord de la table. Il passe une main sur mon string trempé, forçant un peu son doigt à l’ouverture de mon vagin.
— Tu es tellement belle comme ça ! Juste en string, avec tes bas et tes talons ! Tu es super bandante ! Des dessous super sexy, j’ai toujours trouvé ça craquant ! Tu aimes les garder en faisant l’amour ?— Oui j’aime ça !— Alors tu vas garder ton mini-string si sexy ! Tu te rends compte qu’on voit ta chatte à travers !— Je sais... c’est fait exprès ! Je savais que tu aimerais !— Et la ficelle ne cache même pas ton anus !— Tu aimes ça, pas vrai ?— Bien sûr !
Et en disant cela il caresse ma chatte à travers le tissu et un de ses doigts descend agacer mon petit trou par-dessus la ficelle.
— Maintenant je vais m’occuper de tes orifices... Ta petite chatte et ton petit cul !— Hum ! Viens !
Il fait le tour de la table pour se retrouver face à moi, puis il écarte mon string laissant apparaître ma chatte béante. Sa langue me transperce en s’introduisant dans mon vagin, puis il me lèche sur toute la longueur de ma fente jusqu’à mon clitoris plusieurs fois avant de replonger dans mon antre chaud. Je commence déjà à gémir en lui disant que c’est bon. Il le refait, mais cette fois il descend jusqu’à mon anus palpitant qu’il découvre en écartant un peu plus la ficelle. Sa langue me pénètre un peu le cul puis repart vers ma vulve.
— Tu es bien ouverte et bien mouillée Sonia !— Oh Laurent, continue !— Tu n’as rien contre un doigt ?— Hum ! Non...
Son doigt rentre dans mon vagin comme dans du beurre !
— Un deuxième ?— Hum ! Vas-y...
Le deuxième ne rencontre pas plus de difficultés !
— Un troisième ?— Hum ! Tu me tentes !
Et je me retrouve avec trois doigts en train de me fouiller la chatte ! Je n’ai rien contre, bien au contraire ! Je gémis un peu plus fort !Comme je suis toujours bien écartée et les deux trous offerts, il pose sa bouche sur mon anus et entreprend de me le lécher savamment en faisant pénétrer sa langue de plus en plus loin. Je suis aux anges !
Je sens ses doigts quitter ma chatte et l’un d’eux, bien mouillé, se présenter devant mon petit trou.
— Si on s’occupait un peu de ce côté Sonia chérie ?— Oui Laurent !— Tu sens mon doigt rentrer dans ton cul ? Tu aimes ?— Oui j’aime ça ! Continue ! Mets-en un deuxième !— Gourmande ! Voilà...ça rentre facilement... petite cochonne !— Oh oui !!! Tu me rends folle !— Et bien ! Qu’est-ce que ça va être après, quand tu auras plus gros dans ton petit cul !!!— Je serai encore plus folle !— Tu veux avoir plus gros ?— Tout ce que tu veux !— Alors c’est parti !
Je le vois tendre le bras et ouvrir un tiroir. Dedans il y a des godes et des vibros de différentes tailles. Il me semble qu’il y a aussi des plugs et des boules de geisha.Il attrape un vibro de belle taille, un peu moins gros que son sexe à lui, et, toujours avec ses deux doigts dans mon anus, il le passe entre mes lèvres pour l’humidifier.
— Je vais commencer par ton anus, tu es d’accord ?— Tu vas m’enculer avec ça ?— J’aime quand tu es grossière ! Oui je vais t’enculer avec ça ! Et tu vas aimer !— J’en suis sûre, mais vas-y doucement !— Ne t’inquiète pas... tu es tellement excitée que tu es trempée même du cul ! C’est dingue ça !
Il présente le vibro devant mon anus... Je détends mes sphincters et il pousse... La tête du vibro pénètre... Il la fait ressortir puis repousse... Le vibro est entièrement dans mon cul. Je me sens bien remplie et complètement chienne, écartelée sur cette table, offerte à mon gynécologue. Il le fait entrer et sortir plusieurs fois du fond de mes entrailles tout en caressant mon clitoris sous mes gémissements appuyés. Puis il le met en marche et mon anus commence à vibrer.
— Tu aimes ça pas vrai ?— Oh oui Laurent !— Tu aimes être enculée...— Oui j’aime être enculée !— Et dilatée aussi...— Oh !! J’aime avoir l’anus ouvert !
A ce moment, il enlève le vibro et souffle sur mon anus béant... je sens un air frais remonter mes intestins... c’est divin ! Puis il glisse sa langue dans mon conduit anal aussi profondément qu’il peut, puis il me remet ses deux doigts.
— J’aime te voir ouverte et offerte comme ça Sonia !— Hum moi aussi !— Quand je retire mes doigts et que je vois ton anus rester ouvert, ça me fait un effet terrible !— Tu as envie de m’enculer ? Viens !— Pas encore ma chérie ! Sois patiente ! Tu vas encore jouir !
Et il me remet le vibro en marche au fond de mon anus. Je le vois en attraper un autre, au moins aussi gros si ce n’est plus.
— Celui-là, c’est pour ta chatte ma chérie !— Oh ! Les deux en même temps Laurent ?— Oui, ne me dis pas que tu ne l’as jamais fait ?— Si, mais ils étaient moins gros !— Tu vas te régaler !
Il le présente devant mon sexe béant et le fait pénétrer progressivement ; bientôt il disparaît entièrement dans ma chatte. Je suis prise des deux côtés ! Les deux vibros distendent mes orifices. Laurent les met en marche en même temps et je jouis une fois de plus, les jambes en l’air, enconnée et enculée comme la chienne que je suis !
Laurent me laisse les deux vibros en place et vient se placer à côté de moi. Ses mains reprennent mes seins pour agacer à nouveau mes pointes. Il surveille les vibros du coin de l’œil et de temps en temps il les enfonce bien à fond, dans le vagin ou l’anus. Je gémis de plus en plus et j’ai bien dû jouir trois fois avec ces objets dans mes orifices !
Ses mains laissent mes pointes tendues et je l’entends fouiller dans un tiroir. J’ouvre les yeux et le vois avec un appareil photo numérique à la main.
— Tu es tellement belle quand tu jouis ! Il faut que j’immortalise cet instant !
Et le flash jaillit ! Je me vois sur cette table, écartelée, deux vibros dans les orifices et je jouis encore une fois. Laurent lui continue à me prendre en photo. Ça doit bien faire dix minutes que j’ai les deux vibros quand il revient se placer entre mes cuisses. Il me masturbe profondément avec les deux objets, les rentrant puis les remettant à fond, alternativement ou simultanément ! Je jouis encore !
Puis il m’enlève celui qui est dans mon cul. Je sens mon anus rester ouvert et Laurent me prend en photo dans cette position. Il le remet et enlève celui qui est dans ma chatte. Elle reste béante et il prend une autre photo. Pour finir, il me le remet dans la chatte et enlève celui qui est dans mon anus.
Tout en me caressant les seins, le clitoris et l’anus, il me dit :
— Ne t’inquiète pas, c’est pour ma collection personnelle et très privée, je te les montrerai la prochaine fois.— Je te fais confiance... embrasse-moi !— J’ai très envie de te prendre !— Moi aussi j’en ai très envie !— J’ai très envie de t’enculer !— Mon cul a très envie de ta bite !— Il est bien ouvert !— Viens ! Prends-moi ! Encule-moi !
Pendant qu’il me dit ça, il a deux doigts dans mon fondement et il me triture les seins.
— Je veux te prendre en levrette...— Oui si tu veux... j’aime bien ça !— Comme une cochonne que tu es ! Comme une chienne !— Je me sens chienne avec toi ! Une chienne qui va se faire enculer !— Descends de la table et mets-toi à quatre pattes par terre. Sans perdre le vibro !
J’enlève mes pieds des étriers et m’assieds sur le bord de la table. Je suis passablement engourdie, mais j’ai tellement envie ! Je me mets vite à quatre pattes, les cuisses bien écartées, le vibro encore bien fiché au fond de ma chatte, l’anus ouvert devant Laurent qui en profite pour me reprendre en photo.
Il me fait rapidement sucer son membre et présente enfin sa belle queue devant mon trou. Il s’enfonce d’un seul coup jusqu’aux couilles, ressort entièrement et rentre à fond ! Je crie mon plaisir ! Par en dessous, sa main caresse mon clito et me branle avec le vibro en marche. Je jouis encore pendant qu’il accélère le rythme de sa bite dans mon anus et du vibro dans ma chatte.
— Tu aimes ça te faire prendre par deux queues hein ?— Oh oui !!! Tu me fais jouir ! Encore !— Je suis sûr que tu aimerais deux vraies queues !— Oohh !! Je sais pas Laurent ! Continue !— Allons ! Dis-le-moi !— Oouuii !!! J’aimerais me faire défoncer par deux belles queues ! Oh je jouis !!!
Je sens sa queue gonfler dans mon anus, il accélère le rythme et jouit en même temps que moi. Je sens son sperme se déverser dans mes entrailles. Je m’effondre par terre, Laurent sur mon dos, terrassée par la jouissance. Quelques minutes plus tard, je sens la bite de Laurent ramollir et quitter doucement mon anus. Il se relève et m’aide à en faire autant. Le vibro tombe sur le sol.
— Allonge-toi pour récupérer un peu !— Avec plaisir !
Je remonte sur la table d’examen et m’allonge. Laurent s’approche, m’embrasse, et, prenant un de mes pieds, le dirige vers l’étrier.
— Que fais-tu ?— Remets les pieds dans les étriers, je veux prendre une dernière photo.
J’obéis. Je me retrouve encore une fois jambes écartées, string sur le côté, laissant voir ma chatte et mon anus béants, du sperme s’écoulant de ce dernier. Laurent me mitraille sous toutes les coutures, surtout en gros plan ! Puis il me lèche la chatte et l’anus, il lèche tout son sperme !
Enfin il remet mon string en place et vient m’embrasser. Il est près de 21h, il faut que je rentre !
— On se revoit la semaine prochaine ? me demanda-t-il, l’œil pétillant.— Avec plaisir, lui dis-je en me rhabillant.— Ah et il faut que tu viennes aussi un jour avec ton mari que je te pose le stérilet !— C’est vrai ! J’allais oublier !— Heureusement j’y ai pensé !— Thierry n’est libre que le samedi matin...— Je ne travaille pas normalement, mais pour toi je ferai une exception ! Donc on dit samedi matin à 11h pour le stérilet et mardi prochain pour le plaisir.— D’accord.
Je l’embrasse une dernière fois puis file rapidement. Je suis un peu en retard.
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