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Mon harem

Chapitre 1

Divers
Quel curieux titre... Mais vous allez comprendre pourquoi.

Depuis quelques années, je suis surveillante chef à la maison d’arrêt de X. Vous comprendrez que je ne veux pas développer plus. C’est un établissement mixte qui accueille des hommes et des femmes mais ils ont des quartiers séparés et nos ‘pensionnaires’ ne comprennent qu’environ 10% de femmes. La plupart sont là pour de peines courtes infligées à la suite d’un quelconque trafic de drogue, prostitution et autres méfaits généralement imputables aux femmes. Si quelque fois il y a des crêpages de chignon lors d’activités communes, généralement les ‘pensionnaires’ sont assez calmes. Les seules incartades, et les plus fréquentes, sont de relations lesbiennes qui se nouent dans l’intimité des cellules ou lors des douches collectives. Tant que cela ne perturbe pas trop la vie de tous les jours, nous fermons les yeux...

Mais pour moi, depuis environ deux mois, cela a changé. A la suite de la fouille des cellules, nous avons découvert les habituels téléphones portables passés sous le manteau au cours des parloirs mais aussi des substituts de phallus réalisés de manière artisanale, certains, à n’en pas douter, avec la complicité des hommes travaillant à la menuiserie. Comment avaient-ils pu passer les contrôles ? En principe, le cloisonnement est étanche ! Il fallait absolument éclaircir les choses. Successivement j’ai convoqué dans mon bureau les deux filles chez lesquelles on avait trouvé ces godes de bonne facture.

Voici en gros reproduit les dialogues que j’ai eus...
— Alors S... on a trouvé de quoi occuper son temps libre ?
— Oui M’dame, c’est trop dur de rester sans sexe pendant des semaines !
— Et qui t’a fabriqué cet objet ?
— Je n’sais pas M’dame. C’est Hervé un des gardiens qui me l’a fait passer de la part d’un mec qui est en détention et qui avait flashé sur moi !
— Et alors ?
— Il parait qu’il bande pour moi depuis qu’il m’a croisée à l’infirmerie. Je ne sais même pas qui il est.
— Je te confisque l’objet. Je te le rendrai peut-être bientôt en échange de petits services...

— Oui M’dame. Tout ce que vous voudrez !

La discussion avec S, s’arrête là. Je convoque le fameux « Hervé » avec son chef de division. Il avoue sans crainte que c’est bien lui qui a fait passer les objets à S, et N..., (sa compagne de cellune) que cela ne lui a pas paru bien grave. En soi, il avait raison mais s’il a pu faire passer discrètement ces godes, n’y a-t-il pas le risque de voir passer autre chose. Son chef le réprimande devant moi et ils quittent mon bureau.

Quelques jours plus tard, je convoque S, dans mon bureau. A cette heure là, nous serons tranquilles car les autres détenues sont à la séance de sport à laquelle S, se préparait à aller car elle porte un survêtement informe. Je lui dis sèchement :
— Approche ! Montre-moi ce que tu portes. Allez... à poil et plus vite que ça !

Elle est un peu surprise mais le ton employé ne lui laisse aucune échappatoire : Elle obéit et se retrouve en culotte et soutif devant moi qui lui tend l’objet confisqué:
— Montre-moi comment tu fais pour te satisfaire !
— J’n’ose pas !
— Tu veux une paire de claques ?
— C’est bon. J’suis pas maso !
— Mais dis-moi, qui t’a rasé le pubis ?
— C’est ma compagne de cellule...
— Beau travail, allez ne lambine pas !

S, s’exécute rapidement en prenant la bite factice dans sa main droite. Elle la porte d’abord à sa bouche pour l’humecter de sa salive avant de descendre au niveau de son pubis dont elle écarte les lèvres intimes du bout de l’objet. Ensuite, elle l’introduit dans son sexe où elle le fait aller de plus en plus vite...

Je dois avouer qu’à cet instant, je me sens excitée aussi. Je me souviens des caresses échangées à l’internat et cela me renvoie quelques 20 ans en arrière. Ma copine préférée ressemblait beaucoup à S. Une grande fille dégingandée avec un regard perçant qui tout de suite m’avait dominée et mise dans son lit. Je retrouvais chez S, la même poitrine bien ronde et les hanches étroites, avec en plus quelques tatouages dont un attire particulièrement mon attention. Situé au-dessus du pubis, il indique « pour toi » avec une flèche s’arrêtant au-dessus du capuchon du clitoris. Je savais pourquoi S, avait été condamnée avec son mac’ : une histoire d’entôlage où elle piégeait des gogos pour les dépouiller.

Devant le spectacle, je déboutonnai ma veste d’uniforme et descendis mon pantalon. Je sentais que ma chatte était humide et la pointe de mes seins sortie. Quand S, jouit devant moi, je lui dis :
— Approche, maintenant c’est à toi de me contenter, lèche moi la chatte et après tu me baiseras avec ton gode. Laisse-le au chaud pour l’instant !

Pendant que S, me faisait un cunni savant, je sortis mes seins et je triturai les bouts pour accompagner la jouissance que S, faisait monter dans mon ventre. Désormais, j’étais son jouet, et c’était bon de sentir ce sexe artificiel aller et venir en moi. Je ne pouvais plus retenir ma jouissance et quand S, retira le gode de ma chatte, je libèrai ma cyprine qui ruissèla le long de mes cuisses.

— Bon, maintenant ça suffit. Ne dis rien aux autres sinon je te mets au mitard pour 15 jours !
— Oh non, je ne dirai rien !
— Bon je te rends ton jouet !

Le corps apaisé, je me rhabillai pendant que S, regagnait sa cellule. Il était temps car les autres revenaient du sport !

Quelques jours plus tard, c’est N, qui entra dans mon bureau. Dès que nous avons été seules, je lui tins le même langage qu’à S. Elle comprit qu’elle devaitt se soumettre.N, avait une bonne trentaine d’années, à l’inverse de S..., elle était plutôt petite, environ 1.60m, des formes généreuses, un visage ovale avec de grands yeux sombres. Je remarquai tout de suite que sa poitrine était libre sous le blouson de survêtement et je lui fis la remarque.

— Oh, j’aime bien sentir mes bouts frotter contre le tissu, ça m’excite et quand je reviens dans la cellule, j’ai la chatte qui coule. Avec ma co-dét’, nous nous offrons un beau cunni en 69.
— La bite te manque tant que ça ?
— Oui, avant, je baisais tous les jours avec mon mec et plus d’une fois !
— Bien, je vais te rendre ton jouet mais avant, on va s’envoyer en l’air toutes les deux ! Fais-moi reluire et ensuite ce sera ton tour. OK ?

Comme avec S..., j’ouvris mon uniforme et N, se pencha d’abord sur ma poitrine pour l’embrasser au travers du soutif et sa main droite fouilla dans ma culotte à la recherche de mon bourgeon d’amour. Je ne pouvais m’empêcher d’aller caresser sa poitrine qui ballotait doucement sous mes yeux, et ses tétons sortirent aussitôt de l’aréole pendant que N, poussait des soupirs d’aise

Puis elle passa aux choses sérieuses (si on peut dire). Elle descendit mon tanga sur mes hanches et se pencha sur mon pubis qu’elle embrassa et ouvrit mes lèvres intimes. Tout de suite, je sentis sa langue fouiller les replis avant de s’introduire le plus loin possible dans mon vagin. Ensuite, elle remplaça sa langue par le gode qu’elle enfourna lentement avant de le faire aller et venir, tantôt lentement, tantôt de plus en plus vite, comme si elle était attentive à la montée de ma jouissance.Je me sentais bien, je caressais la pointe de mes seins au travers de mon soutien-gorge puis, pour être plus à mon aise, je les libèrai. Cette jeune femme m’excitait au plus haut point, je voyais mes fraises qui étaient sorties comme jamais et je les maltraitais un peu jusqu’au moment où la jouissance m’emporta dans un tourbillon de sensations.

— A toi maintenant ! à poil sur le dos sur le bureau !

Elle s’empressa d’obéir. J’avais sous les yeux son pubis rasé, c’est le premier que je voyais, et je trouvai cela beau ! J’embrassai ses seins en mordillant les tétons qui s’érigèrent aussitôt, et ils étaient longs comme une phalange d’enfant ! Mais ce que je voulais, c’était lui rendre la même caresse. Après lui avoir bouffé la chatte, j’allais la baiser avec ce phallus qui était si très bien imité : un gland proéminent, un corps semblant veiné et un début des testicules qui facilitaient l’usage. En fait, j’avais rangé ces deux godes sans trop y prêter attention. Celui qui les avait fabriqués était assez doué ! Dès que le gode a été au fond de la chatte de N, celle-ci s’est écriée :
— Oh, que c’est bon ! Baisez-moi bien fort !
— T’inquiète ma poulette, tu vas prendre cher mais MOTUS ET BOUCHE COUSUE !
— Oh oui, pas de prob’ !

Et je l’ai envoyée en l’air de la plus belle des façons, elle ruait littéralement sous ma pénétration manquant à plusieurs reprises de faire sortir le gode de sa chatte.

Le lendemain, je convoquai sa codétenue à l’heure du sport. C’était le meilleur moment pour cela ! Nous serions tranquilles pendant presque une heure. Je l’attaquai d’emblée :
— Alors comme ça, on fait l’amour avec N... ! Vous mériteriez le mitard seules pendant quelques jours mais j’ai mieux à te proposer.
— Je veux bien tout sauf le mitard !
— OK, alors... à poil et complètement !
— -------------
— J’AI DIT : A POIL !. Ne me fais pas attendre !

Aussitôt elle se coucha sur le bureau et je m’approchai de son pubis avant de glisser deux puis trois doigts dans son vagin. Ce dernier ne tarda pas à s’humidifier. Je faisais aller et venir mes doigts et j’entendais le clapotis de sa cyprine qui coulait le long du périnée...
— Dis donc, salope, il ne t’en faut pas beaucoup pour mouiller !
— Mais ce que vous faites est si bon. Il y si longtemps qu’on ne m’a pas fouillé la chatte, que je n’ai pas eu une bite bien raide dans mon con !
— Si je ne me trompe pas, avec N, vous aviez ce qu’il fallait !
— Oh, rien ne vaut une belle bite !
— On verra !

Je continuai à la masturber jusqu’au moment où elle jouit, expulsant des jets humides qui inondèrent ma main.
— Alors, contente ? C’était bon de se faire branler par une matonne ?
— Oh oui, vos doigts m’ont fait du bien !
— Bon, on se reverra ! Rhabille toi et file !

J’en avais assez. Tout ce que je voulais, c’était asseoir ma domination sur ces trois filles. Et je pensais que c’est chose faite. Mais j’en voulais plus ! Je profitai d’une journée libre pour aller dans un sex-shop d’une ville voisine : Je ne voulais pas être reconnue et j’avais une petite idée sur ce que je cherchais :d’abord, un gode ceinture (je n’en n’avais pas encore dans ma panoplie...) et un Plug gonflant. J’imaginais déjà l’usage que j’allais faire des ces deux achats.

Je laissai volontairement passer un peu de temps et sans le vouloir, ce sont N, et S, qui me donnèrent un motif pour les faire venir dans mon bureau : Elles s’étaitent crêpé le chignon dans les douches et il avait fallu les séparer !
— Alors, on se distingue ?

Les explications confuses ne permettant pas de savoir qui avait commencé, elles finirent par reconnaitre qu’elles avaient simulé, sachant très bien qu’elles se retrouveraient dans mon bureau ! Ah, les coquines. Avaient-elles parlé de ce qui était arrivé ? Je voulais leur donner une leçon et les soumettre encore plus. L’ordre est arrivé sèchement :— Troussez-vous et baissez vos culottes. En appui sur le bureau le cul tourné vers moi !

J’avais saisi une badine dans un des tiroirs et j’ai commencé une correction en règle des deux filles, alternant les coups sur les fesses de l’une avant de passer au cul de l’autre. Lorsque les fesses ont été bien rouges, j’ai cessé. Je n’avais pas compté les coups et je m’en moquais !
— Je ne suis pas une adepte de ce genre de punition mais vous l’avez cherchée. Maintenant, je vous donne une mission si vous ne voulez pas goûter à ma badine. Cherchez dans la détention des filles qui sont en manque comme vous. Vous n’y perdrez pas au change. Maintenant filez ! Je vous ai assez vues pour aujourd’hui !

J’avais déjà mon idée en tête ! Je pense que mon amant du moment ne serait pas contre !

Quelques jours plus tard, S, demande à être reçue pour un motif futile. Quand elle arrive à mon bureau, elle est accompagnée par V, une grande bourgeoise d’une trentaine d’années qui est là pour peu de temps : Elle n’a qu’un mois de prison ferme à purger pour un accident en état d’ivresse. C’est S, qui s’explique :
— Madame, nous voudrions être dans la même cellule. Je m’entends bien avec V..., mieux qu’avec la truie que j’ai actuellement, c’est une souillon, elle rote et pète sans arrêt !
— Mais ma belle, ce que tu demandes... ça se paie content !
— Oui, je sais ! On est d’accord. V, est complètement bi et elle veut bien vous satisfaire !
— Alors on va voir ce qu’elle sait faire, quant à toi, voici de quoi t’équiper. Tu vas me baiser le cul pendant de V, me fera reluire !

C’est ainsi que je me retrouvai entre V, qui me mangeait la chatte et glissait plusieurs doigts dans mon vagin et que S, me sodomisait : Oh que c’était bon. J’étaiss satisfaite au-delà de tout ce que je pouvais espérer mais mes deux complices restaient sur leur faim : Aujourd’hui, elles n’avaient pas le droit à la jouissance mais elles avaient gagné le droit de partager la même cellule ! Au moment de quitter le bureau V, me demanda si elle avait le droit d’utiliser le gode de S, car elle avait besoin de sexe.
— Mais, j’ai mieux à te proposer ! Reviens demain à l’heure du sport. Tu verras, ce sera une surprise.

Le lendemain, Ludovic, mon amant du moment est arrivé comme prévu dans mon bureau. C’était un  flic donc il pouvait accéder facilement. En plus il avait des renseignements complémentaires à demander à V... (prétexte pour entrer). Nous bavardâmes un moment pour mettre au point la suite des événements. Je brossai un rapide portrait de V, et sur ses besoins. Il était d’accord pour la satisfaire bien que les lieux ne soient guère propices. Quand V, entra, nous voyons tout de suite qu’elle s’était mise en frais, elle portait ses vêtements de ville (privilège accordé aux courtes peines) et elle s’était maquillée. Elle était très élégante : Une splendide blonde aux formes discrètes mais agréables dans la plénitude de ses 30 ans. Comme ils se s’étaient déjà vus au moment de l’accident, il était inutile de faire les présentations.

— Voilà. Tu m’as dit hier être en manque de vraie bite. Ludovic est OK pour te baiser ! Tu veux bien ?
— Oh oui. J’ai tellement envie que je n’arrête pas de me branler !
— C’est parfait, pendant qu’il va te sauter, je vais regarder et me faire plaisir. J’aime bien voir une autre femme se faire baiser par mes amants !
— Vous ne serez pas jalouse ?
— NON, puisqu’il est là pour ça et que ça me plaît ! Ne perdons pas de temps !

Ludovic fait placer V, les coudes en appui sur mon bureau, il descend le string et je devine déjà comment il va baiser cette fille : je sais qu’il adore la levrette, c’est d’ailleurs comme cela et en amazone qu’il me baisait habituellement ! Les fesses de la blonde étaient offertes et je ne me privai pas de les caresser, d’introduire deux doigts dans sa chatte qui était déjà humide :

— Tu peux y aller. Elle est prête, elle n’attend que ça !
— Oh OUI. Baisez-moi bien... 15 jours sans une bite, c’est trop dur !

Bien évidemment Ludovic enfila une capote et s’introduisit dans le sexe de la belle. Je savais comment il baisait. Il allait faire monter la sauce et la laisser redescendre de façon à ce que la fille soit « en demande » : Il allait et venait dans la chatte, lentement, puis plus vite avec de diminuer de nouveau le rythme. V, l’encourageait, elle voulait être baisée plus fort, plus à fond, finalement ils jouirent presque en même temps dans des soupirs de délivrance. Quand Ludovic sortit du sexe de sa partenaire, il bandait encore ferme. Il prit de la cyprine sur le bout de ses doigts et les place sur l’œillet plissé. Il voulait sodomiser V...
— Oh NON ! Pas là ! Personne n’est passé dans mon cul !
— Bon, alors tu vas me sucer... ça, je pense que tu sais faire !
— Oh oui, et vous pourrez même décharger dans ma bouche ! J’avale facilement !

De mon côté, j’étais excitée si bien que d’une main je caressai mes seins et de l’autre, je faisais aller et venir le gode dans ma chatte pendant qu’ils baisaient. V, était une fameuse pipeuse, en moins de quelques minutes, Ludovic se vidait dans sa bouche !

Avant de la congédier, je lui demandai si elle vouliat que j’ouvre « sa porte arrière ».
— Oh oui. Il parait que c’est si bon de se faire prendre par derrière mais je n’ai jamais osé !
— Tiens prends ce petit rosebud et revient demain à la même heure. Je vais m’occuper de toi !
— D’accord Madame...

Le lendemain, V, arriva dans mon bureau. Elle marchait d’une drôle de manière, un peu comme les mannequins de mode dont on a l’impression qu’elles serrent les fesses...
— Bien... à te voir marcher je pense que tu as conservé le Plug dans ton cul !
— Oui Madame. Je ne l’ai ôté que pour la toilette...
— Montre-moi ça ! Allez. Vite on n’a pas de temps à perdre.

Aussitôt, elle se troussa et descendit sa culotte puis elle allongea son buste sur le plan de travail comme la veille. Ses belles fesses un peu blanches s’offraient à ma vue et au fond de sa raie je voyais ses orifices. Le sphincter était occupé par le petit plug en silicone que j’agitai d’une main avant de le retirer en disant :— Je vais te mettre quelque chose de plus gros, un fois en place, je vais le gonfler et le dégonfler pour que tu t’habitues à avoir quelque chose de plus conséquent dans ton boyau.
— ça ne fait pas mal ?
— NON, je suis sûre que tu vas aimer.

Pendant la demi-heure qui suivit, je gonflai et dégonflai plusieurs fois le dispositif que je faisais aller et venir dans le rectum de la blonde qui y prit tellement goût que soudain elle se mit à jouir !Avant de partir de mon bureau, je lui confiai mon gode ceinture et un tube de gel en lui disant que S, se fera un plaisir de lui défoncer la rondelle pendant quelques jours pour qu’elle s’habitue et que pour son dernier après-midi avant sa libération, Ludovic viendra la sodomiser pour la première fois !

C’est ainsi que j’ai constitué un harem de filles qui ne demandent qu’une chose : me faire plaisir en échange de quelques caresses et de moments de jouissance partagée.
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