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Mon harem se constitue

Chapitre 1

Neuf semaines et demie

Avec plusieurs femmes
Je me présente : Je suis Aymen, Marocain, bien membré 21 cm/6 cm, circoncis (photo du profil réelle). Très endurant, pour ne pas dire infatigable. Tout ce que vous allez lire, est la stricte vérité. Uniquement, tous les noms propres ont été changés… J’attends vos commentaires… Bonne lecture… Bon plaisir, à chacune avant chacun… Passant devant un des plus importantes salles de cinéma de Casablanca, mon regard est attiré par l’affiche du film. «Neuf semaines et demie», avec des scènes érotiques, impliquant Mickey Rourke et Kim Basinger.De l’affiche, mon attention est détournée vers les chahuts de quelques jeunes, se moquant d’une très belle noire, qui ne fait que regarder les photos de promotion du film, dans une vitrine exposée au regard des passants. Elle est de bonne taille, plus de 1,70 m, élancée, bien proportionnée, un beau visage, et surtout des lèvres charnues. Porte un manteau de fourrure gris, et des talons aiguilles.Elle me regarde avec dégoût et me demande dans un ton de lamentation :
-       Une femme ne peut pas voir ce genre de film, toute seule ?-       Tu as tous les droits du monde.-       Si des jeunes ricanent ici, je risque d’être harcelée, et même violée à l’intérieur.-       Je t’accompagne si tu veux ?
Son visage éclate d’un très beau sourire, s’approche de moi, met son bras sous le mien. Comme peut faire une femme accompagnant son mari ou son amoureux, et me dit dans un rire plein de joie :
-       Je t’invite…
Pris par l’instinct de l’homme qui doit inviter la femme, j’exprime mon refus. Elle s’arrête et me dit dans un ton direct :
-       Primo, la proposition est mienne. Secundo, j’aime t’offrir, je te trouve très gentil…. Tertio, je suis très généreuse. 
Elle ouvre son sac avec un beau sourire, et me remet un billet de banque, et me dit d’une voix plus que douce :
-       A toi d’acheter les billets…
En direction de la salle : Tout en étant accrochée à mon bras, elle me chuchote dans l’oreille :
-       Trouve-nous nous un coin discret… J’aime être à l’aise… Avec toi...
Il faut préciser qu’on est un mardi, la salle est presque vide. Devant la salle, on est reçu par une placeuse qui nous accueille avec un sourire plus que généreux. Il faut préciser pour mes lecteurs et lectrices, qui ne connaissent pas le Maroc, que pas mal de couples, ne pouvant disposer d’un lieu intime, n’ont que le noir des salles de cinéma pour s’adonner à des caresses, et plus si possibilité… L’intensité et le plaisir, dépendent de l’emplacement et de la tolérance de la placeuse. Une générosité qui est proportionnelle à la générosité du couple. Dans pas mal de cas, ce pourboire est de loin supérieur au maigre salaire perçu.Pour cette raison, le sourire de la placeuse est grand. Les tickets en main, accompagnés d’un billet de banque, qu’elle regarde discrètement, ont converti ce sourire de façade en un éclat qui laisse apparaitre tous ses dents. Dans la salle, la voie s’ouvre devant nous, grâce à la lampe électrique de la placeuse, qui nous place derrière une colonne à l’arrière. Puis nous chuchote d’une voix pleine de joie :
-       Prenez votre aise… Amusez-vous si l’envie vous prend.-       Sois certaine, le film va nous donner envie,
Telle est la réponse de ma compagne dans un ton malicieux. Un éclat de rire complice éclate entre les deux femmes. Avant de se mettre à l’aose, ma compagne me demande avec tendresse, en me prenant par les hanches, et mettant un très léger baiser sur les lèvres :
-       Chéri, tu peux m’aider à enlever mon manteau.
Je l’aide, et je constate dans la lumière tamisée, un corps bien proportionné, dans une robe noire, moulante. Je l’aide, puis j’enlève mon blouson, et je le jette dans le siège de derrière. J’aime avoir que la simplicité et la spontanéité de cette femme, me font remplissent d’un plaisir que je peux définir. Elle me prend par la main, paye le cinéma, et surtout ose m’embrasser avec une telle sensualité, et même osant avouer son envie de quelques moments d’intimité. Toute ma vie, j’ai eu une sainte horreur des deux extrêmes : Celle qui ose n’importe quoi avec n’importe qui en public, en toute vulgarité. Mais aussi, de celle qui peut ou ne veut assumer sa sexualité, et cache ses complexes derrière une «pudeur»…Assis tous les deux, ma compagne jette son manteau sur nos genoux, puis incline sa tête vers moi comme pour me chuchoter, et m’offre ses lèvres charnues, avec sa langue en éclaireur. Un baiser tendre puis torride. On se suce les lèvres. La langue de l’un a pris sa liberté dans la bouche de l’autre. Aussi envoutant ce baiser, je ne peux négliger sa main qui commence à serpenter sur ma cuisse, vaguement au début, puis des tours autour de mon centre de toutes les gravités. Un moment de très forte excitation, qui a engendré une forte bosse, que sa main commence tendrement à caresser, puis comme prise par la fougue d’un baiser qui prend une dimension brûlante, elle prend mon sexe à travers le pantalon fort, au point de me faire un peu mal, tant l’excitation est forte. Heureusement (et malheureusement à la fois) elle lève sa main et rompt ce baiser, sans oublier de conclure par une bise très rapide et très douce, et me dit d’une voix malicieuse, en caressant ma cuisse :
-       Je suis mouillée…
Le film démarre. Une main cherche la mienne, et ma complice me regarde dans les yeux, suce mes doigts, un à un. Soudain, arrive la placeuse et nous dit d’une voix à la fois basse et douce :
-       Je vais m’assoir à côté de vous, pour vous cacher.
Elle marque un ton d’arrêt et ajoute d’une voix douce :
-       Amusez-vous, sans limites… Mettez-vous à poil, si vous voulez…. Personne ne peut vous voir
Pour toute réponse, ma noire se dégage, et lève sa robe à son ventre. La lumière du film qu’on ne regarde même pas, ne laisse rien voir. Une confusion entre la couleur de la robe et celle de sa peau. L’excitation est au top, mais elle augmente, lorsque je la vois se prendre par les hanches, et bouger comme celle qui enlève son sous-vêtement. Je ne crois pas mes yeux : Une femme, d’une telle beauté, d’une telle liberté, puisse exister. Surtout dans un «espace public», qui – il faut l’avouer – nous a été «privatisé».Soudain, je sens une chose s’agiter devant moi, l’odeur excite plus mon odorat, à la manière d’une proie devant un lion en manque de nourriture. Elle frotte sa chose contre ma bouche et mon nez, puis le cache sous son manteau. Je la regarde dans les yeux, elle se mord la lèvre inférieure, et surtout fait passer sa langue sur ses lèvres avec sensualité. Toute cette sensualité, ne m’a pas privé de l’odeur que je porte encore dans mes narines : Une odeur, à la fois indéfinissable et envoutante. Excitante même. L’odeur d’une «femelle» qui veut s’offrir à son «male».A l’image d’une femme qui veut tenter son chat, elle se regarde entre les cuisses que son manteau cache totalement. Puis lève son regard, et je découvre son string, qu’elle agite encore. Je suis dans les nuages. Pour me faire comprendre, elle se met à l’aise dans son fauteuil, ouvre ses cuisses, en les soulevant un peu, met sa main sur la mienne, et la porte entre ses cuisses et m’implore :
-       Caresse-moi… Fais-moi jouir…
Je réponds à sa demande. Ma main a touché un lac volcanique, dans le vrai sens de la parole : Un liquide presque visqueux, avec une température qu’aucun thermomètre ne peut mesurer. La topologie est plus que tentante : Une fente d’une dimension respectable. La forêt est bien dense, mais pas haute de taille. Les deux rives de ce fleuve qui n’arrête pas de dégager sa richesse, sont assez proches l’une de l’autre, gardées par deux lèvres d’une taille supérieure à la moyenne des statistiques enregistrées par ma mémoire. Première réaction : Un «Euhhh….», très brusque, très court, mais très fort. Tout en explorant les lieux, je lève un regard : Une main caresse tendrement l’un et l’autre de ses seins à travers la robe, et une autre qu’elle mordille tendrement. Avec une tête inclinée, et des yeux fermés, ma tendre et adorable complice parait naviguer dans les cieux du plaisir. En plus de mon regard qui oscille entre sa poitrine qui augmente de volume selon ma vision, et une main qui fait de la transhumance entre un clitoris assez raide, presque en «érection», mais reste sensible, une fente qui inonde la chaise, et fait nager toute ma main, et surtout mes doigts dans un lac, à la fois brulant et envoutant soudain, je sens une «chose» glisser sur mon autre cuisse. Je tourne la tête et je trouve notre chère «ange-gardienne», la placeuse généreuse et protectrice, avancer sa main, et me regarder avec crainte et envie à la fois. Sa blouse ouverte.Je tourne la tête vers le volcan d’ébène qui commence à gémir, mais doucement, et je lui dis : 
-       Notre voisine à mis sa main sur ma cuisse…. Il parait qu’elle veut sa part aussi.-       Tu as deux mains, vas-y… Si tu veux…. On lui doit ce plaisir.
Comme pour chercher la main «intrue», elle glisse la sienne sur ma cuisse. A l’image des deux pôles d’un aimant, les deux mains se rejoignent très vite sur le mont, dont le sommet ne cesse de prendre de hauteur… Résumons la situation, je dirai : Assis au milieu, j’ai une main dans le sexe de chacune. Deux mains entremêlées, caressent ma bosse. Mes mains s’activent séparément dans deux sexes, complétement différends.  Certes, les deux sont poilus, mais différemment : Celui de la noire, de loin plus «volumineux», avec un lac de loin plus brulante. Deux lèvres énormes et un clitoris de bonne taille, à la fois raide et très sensible. La placeuse, a un sexe plus plat, une «chevelure» plus lise, même si sa «forêt» est moins dense. Question de température, on est entre un sauna très chaud d’une part, et une douce journée d’un printemps sur les côtes bretonnes.J’augmente la vitesse, et je passe à une cadence supérieure : Une alternance entre un jeu avec les lèvres et le clitoris, et une pénétration au fond du puit. A l’image de deux «machines» qui répondent à leur utilisateur, la respiration des deux, devient plus forte. Un crescendo se met en place, avec une synchronisation digne des plus professionnels des orchestres harmoniques. Dans une transe, qui diffère d’amplitude entre les deux «musiciennes».Chacune a pu contrôler les gémissements de l’orgasme à sa manière : La noire, en crispant ses cuisses sur ma main, et mordant (assez fort, je dois l’avouer) mon épaule. L’autre, de loin plus silencieuse, n’a fait que s’incliner en silence.Comme réveillée, ma compagne s’incline sur mes cuisses, et tout en tâtant ma bosse, s’adresse à la placeuse :
-       Cet adorable, mérite bien fellation ?
Un «oui» timide lui répond. Je prends mes deux complices par les épaules, et je leur dis :
-       Regardons le film, on ira après s’éclater chez moi.-       Chez toi, tu habites loin ?
La question vient de ma noire.
-       A deux rues derrière ce cinéma….-       On y va de suite, je ne peux plus attendre.
La noire dégage sa main, s’active pour faire descendre sa robe, prend son manteau, et commence à cogiter. La placeuse dit d’un ton timide :
-       Je peux… Je peux venir avec vous.
La noire lui répond :
-       On a commencé ensemble… On va s’éclater ensemble.-       Attendez-moi au coin de la rue, je m’arrange avec ma collègue.

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Au coin de la rue, la noire semble nerveuse. Je dis :
-       On va baiser à trois sans connaitre ni ton prénom ni le sien…-       Moi, je m’appelle Halima.-       Enchanté, je suis Aymen.
Halima semble nerveuse, je lui dis d’une voix douce :
-       A ce point, excitée ?-       Pas uniquement, je suis sans mon slip, et je commence à avoir froid.-       Tu n’as rien à perdre. -       Dis, tu as un beau calibre… Quelle taille ?
Avant de répondre, on voit la placeuse arriver. Je la distingue pour la première fois : Une femme brune, la cinquantaine environ, de taille moyenne, avec un manteau noir qui porte l’usure du temps, et des chaussures plates. Une femme banale... On part ensemble. Une hiérarchie s’installe : La noire, me prend le bras, à la manière d’une femme accompagnant son mari ou son homme, tandis que la placeuse est à deux mètres derrière. 
-       Tu n’as pas répondu : Quelle taille ton calibre ?-       Tu vas le savoir dans une minute...
Sa manière de prendre mon bras, et se coller à moi, m’inspire un certain attachement à ce «volcan» sur deux pieds.
-       Au moins, moi j’ai plongé dans ta source, et je peux connaitre son goût. 
Je lève les doigts qui ont exploré sa grotte à ma bouche, et suce délicatement. Son visage devient nerveux, et elle me lance en crispant son bras sur le mien :
-       On est loin encore ?
Pour toute réponse, je m’arrête devant un immeuble, et je dis :
-       Madame est arrivée.
La placeuse, s’exclame, dénotant une grande surprise :
-       Tu n’es pas le nouveau propriétaire de l’immeuble ?-       Oui-       Quelle coïncidence !!!
Puis, la concierge ajoute :
-       Je suis la sœur de la concierge, on habite ensemble, là…
Elle nous montre la loge de la concierge. Une cour spacieuse, nous sépare de l’ascenseur, devant lequel on trouve une femme. L’ouverture de la porte de mon appartement nécessite trois clefs. Halima semble plus que nerveuse, elle me dit avec impatience :
-       Vite, je n’arrive plus à me tenir. 
La placeuse me demande de lui donner les clefs, et elle ouvre la porte très vite… Halima s’empresse d’enlever son manteau, le jette avec négligence sur un fauteuil, se dirige vers le salon qui apparait devant elle, se penche sur le bord du premier divan qui se présente, et lève sa robe, et écarte ses jambes :
-       Prends-moi, je suis à toi.-       On ne saute pas sur le plat de résistance… Commençons par l’entrée.-       Je suis folle mon amour…
Je vois devant moi un très beau cul, très bien proportionné, bien rond, et surtout très bien musclé. Halima s’incline encore plus, et plante sa tête encore plus. De ses mains, elle dégage les deux lobes de ses fesses, et m’implore d’une voix à la fois forte et excitée :
-       Tu es en train de me torturer…. De me tuer. 
Un spectacle s’offre à ma vue avec plus de détails : Sa touffe apparait ruisselante
-       Tu es mouillée… Très fort ?
Elle fonce encore sa tête, les deux lobes s’écartent encore plus, et elle relance avec plus d’insistance :
-       Je ne mouille pas… j’ai un robinet plutôt…
Pour une fois, elle n’a pas menti, je vois le liquide ruisseler sur les jambes, et même tomber dans ses bottes. Je regarde la placeuse, silencieuse, comme titanisée, et je lui dis :
-       Viens ouvrir mon pantalon. 
Sans répondre, elle se met à genoux, s’active maladroitement, et arrive bien que mal à dégager mon sexe et me regarde en attendre d’autres ordres :
-       Enfonce-le.
Et mon regard se dirige vers ce derrière offert. La placeuse se saisit de mon gourdin, et me regarde avec stupéfaction :
-       Quel trou ? Par devant ou par derrière ?
La réponse vient de Halima, qui avec une rage de folle :
-       Salope de merde, par devant… Je suis vierge de cul…
Le gland mis sur la fente, Halima lance un «ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii», et je fonce en elle, comme on glisse dans un toboggan géant, du genre qu’on voit dans les parcs aquatiques.
-       «ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii »…. «Euhhhhhhhhhhhhhhhhhhh »
Les cris de Halima se suivent et se ressemblent pas, aussi bien par le continu que par l’amplitude de la voix.
-       Enfonce-le…. Enfonce… Enfonce-le…. Enfonce… Ahhhhhhhhhhhhh… A fonnnnnnnnnnnnnnnd….
Je fonce à fond, et je maintiens ma position, et même, je pousse encore :
-       Ouiiiiiiiiiiiiiiiii….
Je regarde la placeuse, encore à genoux, à quelques centimètres de cette rencontre magique.
-       Déshabille-moi totalement.
Elle s’active à m’enlever mes souliers puis mes chaussettes. Me débarrasse de mon pantalon, et m’enlève ma veste et ma chemise, pour être complétement à poil. Je me sens plus libre. Le va-et-vient peut reprendre de plus beau, et surtout de plus fort… Je fais varier la cadence, et je joue sur le rythme. Des moments un mouvement très rapide. Parfois, presque au ralenti. Mais aussi, immobiliser mon sexe au fond de son vagin. Soudain, je sors complétement, je saute sur le divan, et je m’assois. Les deux me regardent. Je tiens mon sexe de toute ma main, et je m’adresse à Halima :
-       Viens t’assoir dessus. 
En silence, elle se presse de se lever, et vient m’enjamber.
-       Non, dans l’autre sens.
Elle m’enjambe, en m’offrant son dos. Pas besoin de guider le coït, le glissement se fait avec la plus grande facilité du monde. Elle descend à fond, s’immobilise un peu, opère des mouvements circulaires avec son bassin :
-       Ta pute te plait… Je suis ta pute. 
J’incline Halima un peu, pour me diriger vers la placeuse :
-       Débarrasse-là de sa robe.
Halima n’avait besoin que de cet ordre, pour enlever d’un coup sa robe, je décroche les agrafes d’un soutien, qui tient mal deux mamelles en quête de liberté. Mes mains s’empressent de tenir les deux tétons, les pincer tendrement, et surtout de les tirer. Je sens pleinement son odeur d’ébène sauvage, et la tendresse de sa peau mieux que les velours du monde. J’embrasse son dos en jouant avec les seins.A l’image d’une voiture qu’on vient d’activer le démarreur, Halima entame son oscillation, entre un plafond limité par la taille de mon sexe qu’elle veut toujours en elle, et un plancher que fixe le contact entre mes hanches et ses fesses.Je l’incline un peu, je vois la placeuse toujours à genoux, comme prise dans un autre monde.
-       Toi…. Oui, toi….
Elle me regarde comme réveillée d’un joli songe. Et parait toute attention.
-       Tu as déjà bouffé le minou d’une femme ?
Elle me fait «non» de la tête.
-       Il est temps de commencer… Viens…
La placeuse arrive à genoux, et met les mains sur les cuisses de Halima, qui n’a pas arrêté une seconde son oscillation. Je glisse mes fesses encore plus au fond sur le divan, et je fais cabrer Halima à fond en arrière, et j’en profite pour frotter son dos avec ma barbe de quelques jours. La bouche de la placeuse a entamé sa mission, et Halima entre dans dimension de folie, au point de s’arracher les cheveux :
-       Très fooooooooooooooooort………… je n’en plus….
Elle se dresse un peu, cherche à se dégager de mes bras. Je la libère. Elle prend la tête qui la suce par les cheveux, et crie très fort :
-       Salope de chienne…….. Ne te concentre pas sur mon clito, je deviens follllllllllllle… Occupe-toi de mes deux lèvres………. Comme ça… Ouiiiiiii…
Elle s’active plus fort à diriger la bouche de la placeuse. Je la tiens par les épaules, et je la bloque au fond un moment. Elle crie très fort :
-       Je n’en peux plus…………. Arrête stp…….. N’arrête pas… C’est très beauuuuuuuuuuuuuu…
Moi aussi, je commence à sentir le divan de cuir, humide, tant la mouille secrétée par Halima a gagné mes fesses…. Soudain, je sens une vibration traverser mon adorable ébène, une vibration contagieuse. Mon moteur interne commence lui à carburer. Et un très fort jet de sperme éclate au fond d’elle. Pour toute réponse, elle chasse, avec violence la tête de la placeuse, crispe ses cuisses, et s’incline. Une version revue, et certainement plus forte, de ce qu’elle a senti au cinéma. Je m’immobilise aussi, tant, je ne connais pas encore ses réflexes.Un temps passe, que je ne peux mesurer, elle reprend vie, et commence à gémir doucement. Je l’embrasse tendrement au dos. A l’image d’une droguée, elle cherche à s’allonger. Sur le dos, elle ouvre ses yeux, et s’adresse à la placeuse :
-       Viens, je veux me vider dans ta bouche…
A suivre….Aux lecteurs, j’attends vos commentaires, pour continuer, et dévoiler comment j’ai pu me constituer un harem, dans le vrai sens du mot.
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