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Mon histoire avec ma cousine Aurore

Chapitre 2

Inceste
Le reste de la matinée est studieuse pour tout les deux. Après le repas, on décide de partir se promener tous les deux. Les petits ne veulent pas marcher, et les parents se sont répartit le ménage pour les hommes, et le courses pour ma mère et ma tante.
Dans la forêt, le silence est pesant. Je décide de briser la glace.
— Désolé pour tout à l’heure. Elle a glissé pile au mauvais moment.— Pas de problème, c’est pas comme si c’était la première fois que je te voyais comme ça.— Oui, c’est vrai, j’avais oublié ça. Mais on était petit.— T’avais vraiment oublié ?-… Non, pas du tout, dis-je d’un air honteux, le rouge me montant aux joues.— Ah… Moi non plus…
Encore un silence pesant. Et pour couronner le tout on arrive devant la cabane où on passait toutes nos journées étant petit… Et surtout, là où on avait joué au « docteur » pour la première fois.On monte dans la cabane. Cette fois ci, c’est elle qui parle en premier.
— Je peux te demander quelque chose de personnel ?— Euuuh, oui vas-y— T’as déjà vu une fille toute nue ?
Je suis pris au dépourvu… Je ne sais pas quoi dire… Tout simplement la vérité je suppose.
— Non… Enfin à part toi quand on était petit, mais ça compte pas vraiment… Et toi ?— Oui… Toi ce matin… Mais ça compte pas non plus parce que c’était vite fait, et pas volontaire.— Ouais, et puis on est de la même famille aussi.— Ouais, c’est dommage… T’es la seule personne avec qui je serai assez en confiance pour être toute nue.— C’est vrai que moi c’est pareil quand j’y pense, je suis tellement timide… J’ai jamais embrassé une fille sur la bouche.
— Moi non plus… Je parle pas aux garçons de mon âge… Mais toi c’est différent  ! me dit elle avec un sourire radieux.
On regarde le paysage sans rien dire puis on décide de rentrer au chalet. De nouveau, on se cloître dans la chambre pour travailler. Au bout de deux heure, j’arrête et je décide d’aller sur mon ordinateur portable. Je surfe sur internet pendant un petit quart d’heure, quand Aurore se met à coté de moi et me demande ce que je fais.
— Je suis sur Facebook.— T’as des films sur ton ordi ?— Oui, j’en ai téléchargé plein avant de venir, vu que le débit internet est nul ici.— On pourra en regarder un ce soir ?— Oui, tiens je te laisse en choisir un. Moi je vais aller aider pour le repas.
Elle a choisit un film. Après le repas, on le commence.
-Tu la trouve belle ?— Qui ça ?— L’actrice.— Nan, pas trop, elle est trop fine, on dirai qu’elle a que des os. Et toi, tu le trouve beau ?— Non plus… Trop musclé, c’est plus beau du tout à ce niveau là.
Le film continue… et se termine.
— C’est quoi ton type de fille ?— J’ai pas de type vraiment…
Elle marque un temps, semble réfléchir, puis me demande :
— Mais moi par exemple, tu me trouve belle ?— T’es ma cousine Aurore !— Oui mais si je l’était pas ?— … Oui…— Oui quoi ?— Oui je te trouve belle.— Tu me trouve pas grosse ?— Non je crois pas, mais tu as toujours des tenues larges donc…— Moi je te trouve super beau.— Mais je suis pas musclé du tout.— Je sais pas t’as toujours des tenues larges donc… me dit elle avec un air malicieux.
Je ne savais pas où me mettre. Qu’est ce qu’elle me veut ?
— Je suis ton cousin de toute façon.— Justement, on peut se mettre tout nus sans gène… On est de la même famille.— Non je veux pas. Je te trouve belle, et…— Et quoi ?— Nan rien laisse. Je suis fatigué…— Et quoi ?!! Dit moi, où je te laisse pas dormir !
Je ne veux pas lui dire, sinon elle va me prendre pour un pervers. Mais elle soutient mon regard avec insistance, elle ne me laissera pas tranquille. Je cède.
— Et si je te vois toute nue je vais avoir des idées, tu vois ce que je veux dire.— Non pas vraiment…— Des idées qu’on peut pas avoir entre cousins.— Ah, oui ça. Mais tu peux pas savoir, peut être que je te plaît pas.— Bon je peux dormir maintenant ?— Non !— Arrête Aurore !
Elle lâche l’affaire, et va dans son lit. J’essaye de dormir, mais j’arrive pas, je pense à ce que j’ai vu ce matin. Je voudrai voir ça de plus près. Je voudrais tellement… Mais c’est interdit.
— Tu dors ? me demande Aurore.— Nan, j’arrive pas !— On peut jouer à un jeu s’il te plaît ?— Euuuuh…— Oui ou non ?
Je n’arrive pas a dormir de toute façon, et je suis excité maintenant…
— Vas-y… C’est quoi ?— On pose une question et l’autre est obligé de répondre la vérité.— Ok.— Bon je commence ! Comment tu sais que t’aurais des idées qu’il faut pas ?— Parce-que je te trouve belle… En fait je sais parce que ce matin quand tu dormais je t’ai vu en pyjama…— Ok. A toi de poser une question.— Pourquoi ce matin t’as regardé mon…— Parce que j’ai pas pu m ‘en empêcher, et puis parce que ça m’intéresse. A moi ! Est-ce que tu serai capable de te mettre tout nu maintenant ?— On est cousins !!!— On s’en fiche, personne saura !— Baaaah, oui, si toi aussi tu le fais aussi !-  C’est vrai?!!— Oui…
Ma cousine me regarde pendant plusieurs secondes. Ses yeux pétillent d’un « je-ne-sais-quoi » qui la rend à mes yeux, belle et heureuse. Elle brise le silence encore un fois.
— On joue à un autre jeu ?— A quoi ? lui demandais-je— Action ou vérité !
Là je ne pouvais pas refusé, je voulais la voir toute nue, et j’étais terriblement excité !
— Ok, mais cette fois, je commence !— Action ! me répond-elle du tac au tac.— Vas fermer la porte à clef, et allume la lumière !
 Elle s’exécute, allume la lumière, elle est en culotte débardeur, je n’ai pas le temps de voir, elle est déjà sous sa couette !
— A moi ! Action ou vérité ?— Action.— Enlève ton caleçon et donne le moi. Je retire mon caleçon en restant sous mes draps et lui lance à travers la pièce. Elle l’attrape et le cache sous son oreiller.
— Action ! S’exclame-t-elle, sans me laisser poser la question.— Même chose !
Elle m’envoie sa culotte. Elle est mouillée, et ça sent fort, mais j’aime cette odeur. Elle m’enivre, maintenant j’ai une érection ! Mon sexe est dur comme un bâton.
— Action toujours.— Viens faire le docteur sur moi.
Je me lève, la bite gonflée, dressée vers elle. Je lève sa couette et je lui fait comprendre de s’asseoir. Je lui dit de faire « aaaaah », imite le stéthoscope ce qui me permet de poser mes doigts sur son dos et sur sa poitrine à travers son haut, puis je la fait s’allonger sur le dos, remonte son débardeur au niveau des côtes et lui masse le ventre et je vois sa touffe. Je lui écarte les jambes, et commence à palper maladroitement son sexe. C’est trempé !
— Pourquoi c’est mouillé !— Je sais pas c’est quand je la touche longtemps d’habitude, mais là c’est comme ça sans que je la touche. Ça doit vouloir dire la même chose que quand t’es tout dur.
Je lui titille la vulve encore quelques secondes puis je luis demande :
— Bon a moi ! Action ou vérité ?— Action !— Cap d’aller prendre un bain ?— Maintenant ?— Oui, personne n’entendra rien, tout le monde dors !— Ok.
J’enlève mon haut, et je commence à faire couler l’eau. Je bande toujours autant ! Je me retourne et vois Aurore derrière moi qui commence à finir de se déshabiller. Elle enlève son débardeur, mais elle a toujours son soutient gorges. Elle l’enlève et libère ses seins. Ils sont magnifiques, et assez gros, je suis sur que je peux à peine les tenir dans mes mains.Elle me regarde gênée. Elle est craquante !
La baignoire est remplie, je rentre dedans, Aurore me suit.
— On arrête de jouer ? me demande-t-elle,— Tu veux plus jouer !— Si mais on fait se qu’on veut nan ? J’ai envie de t’embrasser ! Tu veux bien ?
Je me penche vers elle, et nos bouches se touchent. C’est délicieux, ses lèvres sont douces. On se bécote comme ça pendant plusieurs secondes quand je sens qu’elle entrouvre ses lèvres. Je me décide, n’étant pas un initié, à y glisser ma langue. Je touche la sienne, la sensation est divine. Elles s’enroulent, s’entremêlent, tantôt dans sa bouche, tantôt dans la mienne. Nos têtes se penchent dans tous les sens pour trouver position la plus confortable. Nous continuons ce manège pendant de longues minutes. Au gré de nos mouvements, elle s’est retrouvée assise sur moi. Nous nous serrons fort en nous caressant la nuque, le dos, les fesses.Je sens alors nos sexes se toucher. La sensation est trop belle. Pour moi, comme pour elle à priori car Aurore se dandine légèrement pour se caresser le sexe sur ma hampe.
— Tu crois pas qu’on va trop loin ?, lui dit-je.— Comment ça ?— Si on continue comme ça on va faire une bêtise tu pense pas ?— Oui, tu as raison… Maiiis…— Quoi ?— Je suis encore plus excitée que tout à l’heure, alors c’est impossible que je m’endorme là…— On peut chacun se caresser de notre coté, et après on pourra dormir…— Mais on viens de rentrer dans le bain !— On peut rester ici, c’est mieux même.
C’est alors qu’on commença à se masturber tout les deux, sans se quitter du regard. On était tellement excités qu’on a jouit en moins d’une minute.Ensuite on est allez se coucher, et j’ai sombré dans un sommeil de plomb très vite, bercé par les image du corps de ma cousine.
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