Je vis depuis cinq mois avec Gilles l’homme que j’aime à la folie quand un samedi matin il s’assoie à côté de moi sur le canapé. Je suis nue, il caresse mon sexe et me dit:"J’aime ta minette, elle est douce sans poils comme j’aime".Je me suis fait faire l’épilation définitive par une esthéticienne."Mon ange je vais te parler d’autre chose, saches d’abord que je suis content de toi. Ton dressage est une réussite, tu fais l’amour comme une professionnelle et avec tes attitudes et tenues à la maison tu es une belle salope"."Merci, je suis contente que tu sois satisfait et tes compliments me touchent, je t’aime tellement mon chéri"."En fait je dois te parler d’autre chose"."Je t’écoute, tu m’inquiètes"."Tu as terminé ta formation et eu ton diplôme alors il te faut une occupation"."Ne t’inquiètes pas je vais chercher un emploi"."Ce n’est pas la peine j’ai besoin de toi, je vais d’autres magasins dans deux villes du département, tu vas t’occuper des communications et de ce que tu pourras en comptabilité. Je vais te salarier"."Je n’ai pas besoin d’être payée, avec toi j’ai ce qu’il faut"."Si, comme ça tu ouvriras un compte bancaire et tu pourras te payer ce que tu voudras"."Comme j’espère avoir bientôt mon permis de conduire je vais acheter une petite voiture. Elle ne sera pas assez grande pour faire l’amour dedans ainsi tu me laisseras tranquille"."Petite salope ça ne m’empêchera pas de t’arroser de sperme autrement et tu n’as pas besoin de ça pour avoir la chatte dégoulinante et la culotte trempée"."Pour commencer je pourrais ranger les papiers dans ton bureau"."Ok, je te fais confiance". J’apprends à bien cuisiner avec les conseils de la mère de Gilles et à son insu.Un soir en dînant il me dit que le plat est aussi bon que ceux de sa mère, bêtement je vends la mèche. Il me promet une punition pour mensonge par omission.Le lendemain matin je dois me coucher nue sur le sol, bras écartés. Il attache mes poignets aux pieds du lit et part en me disant à ce soir.Les heures passent lentement, je ne peut rien faire pour calmer les envies qui torturent mon ventre et une grosse tache de mouillure s’étale sur le sol sous mes fesses.Quand il rentre il me détache et en riant me demande si ma journée a été bonne."Sadique tu devrais avoir honte de m’avoir laissée comme ça".
Il se déshabille pour se mettre en short. Tout en l’embrassant je fais en sorte qu’il s’allonge sur le lit.Je réussis à retirer son short et me mets à califourchon sur lui. Avec une main je saisis son gros pénis qui se dresse fièrement, je me positionne pour qu’il soit en contact de mon sexe et m’empale dessus.Je remue pendant qu’il se laisse faire. tout en gémissant j’essaie de ne pas penser au plaisir que je ressens et continue à monter et descendre sur son sexe qui vient buter dans le fond de mon vagin. Son pénis gonfle et les jets de sperme arrosent mon ventre.Il bande toujours, je continue mon travail avec ardeur tout en gémissant de plus en plus fort car je ressens de plus en plus de plaisir et je finis par atteindre l’orgasme et à arroser son sexe et son bas ventre avec les jets de cyprine qui s’échappent de ma chatte.Une fois calmée je reprends mes mouvements pendant un moment mais je finis par jouir encore et je me couche sur lui.D’un coup de reins il fait en sorte de nous retourner et se retrouve sur moi sans que son pénis ne sorte de mon vagin.Il se met à me défoncer sans ménagements accompagné des clapotis dus au fait que je mouille beaucoup, je commence à crier et à beaucoup bouger, j’essaie quand le plaisir n’est pas trop violent de l’accompagner en bougeant en rythme avec lui.Il s’interrompt de temps en temps et je jouis plusieurs fois avant qu’il n’éjacule dans ma chatte dégoulinante de mouillure.Il se retire et va dans la salle de bains pendant que je récupère avant d’aller me laver. Un jour nous nous promenons nous tenant par la main dans un chemin de campagne, la température est agréable, les blés commencent à murir.Il me dit sourire aux lèvres."j’ai une idée si tu veux souffrir""Comment?""Avec des orties sous tes fesses""Chiche, tu n’oseras pas en arracher" Il va jusqu’à sa voiture après m’avoir demandé de retirer ma culotte et de retrousser ma robe. Il prend des gants dans le coffre puis arrache des poignées d’orties qu’il place en rond sur le sol.Me tenant par les poignets il m’aide à m’assoir sur les plantes et aussitôt je ressens les piqures et démangeaisons. C’est difficilement supportable.J’attends les dents serrées qu’il m’aide à me relever ce qu’il fait après un temps qui m’a paru interminable.Il inspecte mes fesses: elles sont rouge et boursouflées. La douleur a durée un bon moment et ainsi que les difficultés pour m’assoir. Après cet épisode il lui arrivait de rentrer le soir avec des poignées d’ortie dans un sac de sport afin de varier les supplices physiques qu’il m’inflige de temps en temps et dont je raffole. Si chez nous je dois être toujours plus ou moins dévêtue, à l’extérieur il aime bien quand je suis habillée sexy (pas salope) et adore quand je suis en pantalon moulant: les gens doivent voir qu’il a une belle femme bien faite et l’envier.C’est vrai que c’est agréable de voir ou sentir le regard des hommes sur soi.
Nous vivons ensemble depuis près d’un an quand un matin il me dit:"Mon ange fais toi très belle pour ce soir, nous sortons et c’est très important"."Tu peux m’expliquer?""Non, tu verras ce soir"Toute la journée je me pose des questions.Je me maquille avec soin, choisis des dessous sexy, revêts la robe qu’il adore et qui met en relief mes formes, une paire de bas qui auto-adhésifs et une paire de chaussures à hauts talons.Il rentre, me regarde et me sourit en me disant que je suis magnifique.Nous partons en voiture et roulons un bon moment pour finalement arriver dans le centre d’une ville. Gilles se gare, descend de l’auto et avant que j’ai le temps d’en sortir il ouvre ma portière.Il pleut nous enfilons un imper et nous dirigeons vers un restaurant chic.Il ouvre la porte et attend que j’entre, j’hésite c’est trop luxueux pour moi, il me pousse à l’intérieur, entre à son tour et referme la porte.Un homme nous accueille prend nos impers puis nous guide vers une table un peu à l’écart au fond du restaurant, les lieux m’intimident.Nous nous installons. Un serveur arrive. Avec Gilles ils se serrent la main et se tutoient, il me salue.A leur conversation je comprends qu’ils ont fait leurs études ensemble. Après avoir bu un apéritif nous commandons, quand je vois le prix des plats je suis époustouflée. Gilles me dit de ne m’occuper que des plats et de prendre ce qui me plait.La présentation des plats de l’entrée au dessert est super et tout est succulent. Je n’ai pas besoin de me forcer pour boire du vin tant il est bon.Pendant le repas Gilles me parle."Mon ange j’ai décidé de créer une SARL et de te prendre comme associée, les papiers sont prêts tu n’a plus qu’à les signer"."Un super repas pour ça c’est trop et nous étions bien comme ça chéri, moi je veux juste être avec toi"."Non, je veux ce qu’il y a de mieux pour la femme de ma vie alors pas de discussion"."On fera comme tu veux chéri, je t’aime trop"."Ah oui, en plus je veux voir avec toi pour acheter une maison ou faire construire en fonction de ce qui te plaira"."Ce serait génial", faisant sa comptabilité et ayant accès à ses comptes je sais que ce ne sera pas un problème pour le coté financier.Le dessert avalé Gilles se lève pour aller aux toilettes puis revient se rassoir. Le serveur arrive avec un plateau dans chaque main.Sur l’un il y deux coupes de champagne qu’il pose devant nous. Il pose l’autre qui a un couvercle devant moi puis se retire.Gilles vient s’assoir à coté de moi."Mon ange, il semble que je ne puisse pas vivre sans toi alors je te demande solennellement de m’épouser".En même temps il soulève le couvercle du plat sur lequel je vois une petite boite.Je ne sais plus ou je suis. Gilles ouvre la boite et j’écarquille les yeux à la vue de la superbe bague.Il la sort, prend ma main et passe la bague à mon doigt. Je ne réagis pas tétanisée, je ne m’attendais pas à cela."Alors c’est oui ou c’est non".Je me jette à son cou "oui! oui! oui! je suis d’accord pour qu’on se marie" et je l’embrasse fougueusement. Nos lèvres et nos langues ne veulent pas se séparer, le flash de l’appareil photo qui n’arrête pas de crépiter ne nous sort pas de notre moment de bonheur, nous sommes seuls au monde. Ce sont les applaudissements qui émanent des dineurs qui nous font réagir; certains sont debout pour nous applaudir.Je ne sais plus ou me mettre, mon ventre est en feu et ma chatte dégoulinante, l’émotion m’a mise dans un état pas possible. Gilles récupère son appareil photo pendant que nous buvons le champagne collés l’un à l’autre.Au moment de nous lever je dis à Gilles "j’ai un problème, avec l’émotion ma robe est trempée ainsi que la chaise, je ne peux pas traverser le resto comme ça, j’aurai trop honte".Il appelle le serveur et lui demande nos impers. Il m’aide à mettre le mien.Nous quittons le restaurant accompagnés par le sourire des dineurs qui nous félicitent et nous souhaitent beaucoup de bonheur. Je sens que mes joues sont bien empourprées.Arrivés dans l’auto c’est un baiser à n’en plus finir qui nous unis.Pendant le parcours je plane et souris aux anges. Rentrés chez nous c’est la folie. De l’entrée à la chambre nos vêtements jonchent le sol.Nos baisers sont passionnés. Nous nous caressons partout frénétiquement. Il lèche mon sexe dégoulinant de cyprine et sa langue le fouille pendant que je lui administre une fellation comme jamais. Rapidement mon corps se tend et je pousse un cri de bête, j’ai des spasmes violents et je jouis arrosant le visage de Gilles. Gilles continue à fouiller ma chatte avec sa langue et avec une main masturbe mon clitoris. Il éjacule dans ma bouche juste avant que je n’aie un autre orgasme.Il se met sur moi, relève et plie mes jambes puis s’introduit tour à tour dans mon vagin et mon anus tout en caressant mes seins et agaçant les tétons, il arrose mes orifices deux fois sans débander pendant que je n’arrête pas de crier et de jouir déversant de la cyprine en abondance.Pendant la nuit entre deux phases de sommeil nos ébats reprennent, je ne peux pas dire combien de fois Gilles a éjaculé ni combien d’orgasmes j’ai eu mais le matin nous étions dans un triste état.Nous nous sommes péniblement levés en début d’après-midi, nous nous sommes lavés, avons déjeuné pour ensuite aller annoncer la nouvelle à sa famille.La mienne j’hésite soit je ne leur dit rien, soit je leur enverrai un faire part de mariage avec un mot disant que je regrette leur attitude, que les parents doivent soutenir leur enfant qui n’a pas demandé à venir au monde même s’il ne se dirige pas dans la direction qu’ils voudraient et que le devoir d’un père est d’accompagner sa fille à la mairie. que je suis triste de cette situation mais qu’il n’y a pas de retour en arrière possible. L’amour est plus fort que tout...
