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Mon homme, mon maître

Chapitre 6

Hétéro
Gilles l’homme que j’aime et qui partage ma vie m’a demandée en mariage lors d’un dîner dans un restaurant chic.Au retour, toute la nuit nous avons fait l’amour comme des bêtes.
Les jours qui suivent je suis sur un nuage et la moindre occasion est bonne pour que je provoque un rapport sexuel.J’ai décrété que pendant une semaine il aurait droit à une pipe avant de partir travailler.Dès qu’il a fini son déjeuner, à genoux je m’active avec ma langue sur ses bourses puis sa queue. son membre est très vite réactif.Puis je lui fais une fellation en serrant bien mes lèvres sur sa verge et en faisant des aller retour rapides afin d’arriver à le faire éjaculer rapidement. Pendant ce temps il me caresse les cheveux et surtout les joues car il apprécie de sentir les mouvements de sa queue à travers celles-ci. Je bois son sperme jusqu’à la dernière goutte.Une fois je lui dis: <<encore du nectar que tes maîtresses n’auront pas>>.<<Tu as raison j’ai une maîtresse. C’est une bonne salope doublée d’une pute qui me satisfait pleinement. De plus c’est une femme admirable. Regarde dans un miroir tu la verras>>.
J’aime quand il est assis sur une chaise, comme j’ai toujours les fesses à l’air, venir me mettre à califourchon face à lui. j’extrais son pénis de son pantalon, le tenant avec une main je le positionne à l’entrée de mon vagin et m’assois dessus le faisant pénétrer en moi.Je remue tout en l’embrassant et tenant ses mains pour qu’il ne touche pas. je gémis un peu mais le plaisir reste stable dans mon ventre. Rapidement son corps se cambre, sa queue gonfle et avec des soubresauts envoie des jets de sperme dans le fond de mon vagin.Il continue à bander.Je me relève, me positionne en lui tournant le dos, avec une main j’approche son pénis bien gluant de mon anus et me baisse pour m’empaler dessus.Je me lève et me baisse avec des mouvements rapides. le plaisir que je ressens augmente surtout avec la masturbation qu’il pratique à mon clitoris. Je gémis de plus en plus et commence à crier.J’arrive à l’orgasme avec ses jets de liquide qui sortent de mon vagin et je reste immobile toujours empalée sur son sexe.Il prend l’initiative et je me retrouve à genoux au sol, lui derrière moi toujours planté dans mon cul. Il me défonce à grands coups de reins pendant que je masturbe mon clitoris, le plaisir devient insoutenable et mes cris de plus en plus forts. il me fait jouir plusieurs fois avant de déverser son sperme dans mon fondement.
Le lendemain soir il va se servir un verre de jus de fruit dans la cuisine. Quand il en sort c’est pour me dire: <<tu n’as pas préparé le repas>>.<<Non, je n’avais pas envie>>.<<On va manger quoi>>.<<Je n’en sais rien et je ne me pose pas la question>>.<<Tu vas dérouiller, va chercher les ustensiles et mets toi en position>>.Sans répondre je vais chercher le martinet et la cravache, je mets le bâillon dans ma bouche et me positionne à genoux les bras et la tête posés sur le canapé.Les coups pleuvent sur mes fesses, cuisses et mon dos. Il me frappe en tenant le martinet dans une main et la cravache dans l’autre.
La douleur est forte et je pleure beaucoup.Il finit par des claques sur mon sexe après avoir écarté mes jambes ce qui est le plus douloureux sur le moment.Débarrassée du bâillon je me dirige vers lui à genoux. Je déboutonne son pantalon qui tombe à ses pieds suivi par son caleçon.Son sexe est très gonflé excité par la raclée qu’il vient de m’administrer et mes cuisses son couvertes par la mouillure qui coule de mon vaginJe le lèche avec application puis je le suce avidement comme-ci je voulais l’avaler. Rapidement il arrose ma gorge.Je remonte son caleçon et son pantalon malgré qu’il bande toujours.Il a tout juste fini de se rhabiller quand la sonnette de la porte retentit. Il me dit <<on attend quelqu’un>>.<<Va voir>>. Il va ouvrir et me crie <<c’est un livreur de pizzas>>. <<Prends l’argent sur le meuble de l’entrée>>.Il revient avec les pizzas.<<Tu aurais du me le dire, cela aurait évité ce qui t’est arrivé>>.<<Certainement pas, ou aurait été mon plaisir>>.
Il aime bien mes pantalons moulants, surtout celui en cuir. il les appelle "les appels au viol". Quand j’en porte pour sortir il me flatte les fesses.
Quand je suis indisposée, dans la journée je reste habillée d’une robe ou jupe. Généralement il a droit à ses deux fellations que je lui fais souvent sans m’arrêter après sa première éjaculation.Si mes pertes sont peu abondantes je prépare mon anus à l’aide d’un plug enduit de produit chauffant afin qu’il me sodomise sans mettre ses mains à mon cul car il a horreur du sang de mes règles.
Arrive le jour de notre mariage, mes parents ne daignent pas faire acte de présence, c’est le père de gilles qui me conduit à la mairie et l’église.En route il me dit <<pour nous tu faisais déjà partie de la famille mais maintenant ça va devenir officiel et tu peux te considérer comme notre fille>>.Le cortège ne comprend pourquoi on s’arrête. Je me jette dans ses bras, l’embrasse et pleure en lui disant merci.La journée passe comme dans un rêve, je suis perdue dans tout ce monde et ne sais pas ou donner de la tête pendant le vin d’honneur.Nous quittons le banquet de bonne heure laissant les invités se restaurer et se divertir sans nous. Nous avons un avion à prendre.
Nous passons nous changer et après un rapport sexuel rapide afin de calmer nos corps excités direction l’aéroport.
Je prends l’avion pour la première fois et c’est direction les Antilles.Nous passons quinze jours merveilleux à en prendre plein la vue sans avoir tout vu.La Martinique, Marie Galante et la Guadeloupe en louant des autos et en empruntant des navettes maritimes. Nous dormons souvent dans des hôtels différents.Nous revenons fatigués (nos ébats sexuels tous les soirs n’ont rien arrangé) et heureux.

Deux ans ont passés depuis notre mariage quand je tombe malade. Je consulte un médecin et ce qu’il diagnostique est une grande surprise.Le soir Gilles s’inquiète.<<Alors que t’a dit le docteur>>.<<Qu’il ne peut pas me soigner et qu’il n’y a pas de remède pour cette maladie>>.<<Que peut on faire, tu ne peux pas rester comme ça>>.<<On ne peut que attendre, je vais grossir, être très déformée De la souffrance certainement à un moment jusqu’à ce qu’au terme. <<C’est du à quoi>>.<<A toi, ce que tu m’as inoculé>>.<<Je ne comprends pas, je n’ai jamais été voir ailleurs>>.<<Peut être mais à force de de me remplir le sexe de ton sperme tu as gagné>>.<<Tu es enceinte>>.Il me prend dans ses bras, me soulève, tourne avec moi tout en m’embrassant puis il laisse éclater sa joie.<<Je vais être père! je vais être père! tu ne pouvais pas me faire un plus beau cadeau. Je t’aime! je t’aime>>.
Les jours suivants avant de partir il caresse mon ventre, pose sa joue dessus et parle à l’embryon de projets futurs selon que ce sera un garçon ou une fille.
Une semaine a passée depuis l’annonce de ma grossesse quand un après midi le téléphone sonne.Je ne comprends pas ce qu’on me dit ou plutôt je refuse de comprendre. J’appelle mes beaux parents, nous nous rendons à l’hôpital.Il n’y a plus rien à faire Gilles nous a quitté. Un camion qui a grillé un stop l’a percuté, sa voiture est broyée.Son père qui va reconnaître son corps revient livide et nous empêche sa mère et moi de voir son corps. il veut que nous gardions l’image de l’homme que nous avons connu.J’ai mis longtemps à me remettre, j’ai du être forte pour l’enfant que je portais, j’ai accouché d’un garçon que tout naturellement j’ai appelé Gilles et que ses grands parents appellent Gilou. je lui ai parlé de son père et montré les albums de photos.Nous nous sommes soutenus mutuellement avec la famille de Gilles et je peux dire merci à mon amie Claire qui m’a beaucoup écoutée et sur l’épaule de qui j’ai beaucoup pleuré.J’ai vendue la maison du bonheur et tous les meubles ou tout me ramenait à Gilles.Il ne m’a pas laissée dans le besoin. Il avait souscris une belle assurance vie plus celle que la firme qui l’employait m’a versée. j’ai touché des dommages et intérêts du coté de l’assurance du chauffard.Je continue à gérer la société qu’avait créée Gilles.

Des années ont passées et ma peine s’est peu à peu apaisée. Je revis presque normalement. Il y a huit mois j’ai rencontré un Olivier un homme de mon âge qui s’est occupé de sa mère très malade décédée il y a deux ans. Il est gentil. Nous nous entendons bien Il a une bonne situation.Il a été très patient avec moi et petit à petit mes envies de femme sont revenues.Il a mis un moment avant de m’embrasser malgré que nous sortions souvent ensemble.Puis un jour en regardant un film j’ai posé ma tête sur son épaule et mis ma main dans la sienne.Un soir quand il était sur le point de partir je l’ai retenu et à partir de ce jour nous avons fait régulièrement l’amour, j’ai repris goût aux jouissances multiples et je m’applique à lui donner du plaisir.
Il s’entend bien avec mon fils qui le réclame beaucoup.Il veut se mettre en ménage avec moi et élever mon fils comme si c’était le sien et je vais accepter.J’ai compris maintenant que je l’aime et que j’ai du mal à me passer de lui.Peut être est ce l’occasion de donner le frère ou ma sœur que Gilles junior réclame.Mes beaux parents à qui je confie souvent Gilles junior sont contents pour moi et disent que je mérite de connaître encore le bonheur et que je suis trop jeune pour faire le deuil de ma vie de femme.
Je ne fais pas de comparaison avec Gilles qui a été mon premier et mon grand amour et avec qui j’aurai voulu vieillir. je ne l’oublierai jamais mais mon cœur est maintenant apaisé et je revis après ces longues années.
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