C’était en août dernier. Malgré un été plutôt maussade, il faisait assez chaud ce jour-là, et le beau temps était au rendez-vous. Ce jour-là, j’avais rendez-vous avec mon amie d’enfance, Camille, pour nous remettre aux révisions avant notre rentrée en 4e année de médecine. C’était si difficile de s’y remettre seul, alors on se motivait l’un et l’autre. Et puis, je dois l’admettre, c’était pour moi l’occasion pour moi de passer du temps avec Camille. Je n’avais pas de réels sentiments amoureux pour elle, mais j’avais, d’aussi longtemps que je me souvienne, toujours ressenti pour elle une attirance que je n’avais pour aucune autre fille. Mais étant plutôt timide de nature, je ne lui avais jamais rien dit de tout cela. Il faut dire aussi qu’elle était pour moi le type même de la fille jolie, intelligente mais aussi très sage, sans histoire, et de celles qui attendent le bon garçon pour se mettre en couple, plutôt que d’avoir des aventures multiples. Je la rejoignis donc à 15h chez elle et saluai sa mère, que je connaissais très bien, en entrant. Camille m’accueillit avec son habituel sourire puis elle me servit un verre de sirop frais. Elle m’invita ensuite à monter dans sa chambre pour nous mettre au travail. Par galanterie, je lui avais laissé sa chaise de bureau, plus confortable, et je m’étais assis sur une chaise toute simple en bois, peu confortable. Au bout d’une heure, Camille se leva et alla se resservir boire. Je profitai donc de cette petite pause pour m’étirer le dos, un peu endoloris par ma chaise. En revenant, elle me vit m’étirer. — Tu es sûr que tu es bien installé sur cette chaise ?— Oui oui ne t’en fais pas ! répondis-je— Je vois quand même que ce n’est pas l’idéal pour toi .. Elle s’approcha alors de moi par derrière et se mit à me masser les épaules. — Allez tu as bien mérité une petite pause détente ! Surpris par son initiative, je n’osai pas bouger et je me raidis. Je n’étais pas particulièrement timide de nature mais ce genre d’initiative me faisait facilement perdre mes moyens, surtout avec une si belle fille. Elle sentit tout de suite que je m’étais raidi. — Détends-toi, on est en vacances ! Il faut encore en profiter. Camille avait toujours eu ce don pour être à l’aise, même physiquement, avec tout le monde. Cela m’avait d’ailleurs rendu jaloux à de nombreuses reprises, même si je n’étais jamais sorti avec elle. Mais surtout, cette aisance de sa part avait souvent nourri mes fantasmes. Je me forçai donc à me détendre. Elle continua à me masser et je pris soudain conscience que le contact de ses mains douces et délicates sur le haut des mes épaules me procurait une grande sensation de bien-être. Mais cette sensation devint bientôt une excitation, que j’avais de plus en plus de mal à contenir. Mon corps mais aussi mon cerveau appréciaient cette douceur, qui devenait de plus en plus sensuelle. Je sentis mon sang descendre et se concentrer dans mon membre inférieur, et je redoutai alors qu’elle s’en rende compte. C’est alors que ses mains se déplacèrent. Du haut de mon dos, elles passèrent par mon cou pour aller vers le haut de mon torse. Je sentis alors mon membre se durcir comme jamais. — Camille, qu’est-ce que tu fais ?
— Ne t’inquiète pas, je prends juste soin de toi. Je n’avais aucune envie de résister, tellement ces sensations étaient agréables, alors je me laissai faire. — Tiens, on dirait que je te fais de l’effet, me chuchota-t-elle alors à l’oreille. Elle avait en effet vu la bosse qui grossissait encore à travers mon short.— O-oui, répondis-je, ne sachant pas quoi dire d’autre.— Quentin, je sais que tu as toujours eu des vues sur moi, depuis toutes ces années, et aujourd’hui j’y suis disposée. Tout se bouscula alors dans ma tête. Mon cerveau bouillonnait entre étonnement, excitation et plaisir. J’arrivais à peine à comprendre ce qui m’arrivait. J’avais l’impression qu’un rêve irréalisable était en train de devenir réalité, comme si un génie sortit d’une lampe venait d’exaucer mon vœu. Elle fit alors descendre ses mains le long de mon ventre jusqu’à arriver à la limite de mon short. Cette fois c’était plus que clair, elle voulait me faire plaisir, et se faire plaisir par la même occasion. Il fallait que je réagisse pour profiter de la situation au maximum. Ce n’était pas le moment de perdre mes moyens ! Je parvins alors à me ressaisir. — Oui c’est vrai, j’ai toujours pris plaisir à te regarder, je te trouve si belle, si attirante. Mais ta mère est en bas !— Oui mais elle est occupée ne t’en fais pas, et puis c’est plus excitant quand il y a un peu de danger, non ? Tout à coup, je fus pleinement conscient de ma chance. Cette Camille que je connaissais depuis que j’étais enfant et que j’avais toujours convoitée voulait se donner à moi. A MOI. Elle qui n’avait jamais cédé à l’avance d’aucun garçon ! — Vas-y, fais ce que tu veux avec moi, lui dis-je, m’abandonnant totalement à elle. Elle glissa alors ses mains sous mon short et se mit à malaxer mon membre. Je ressentis alors une chaleur dans tout mon corps et je l’entendis accélérer son souffle contre mon oreille. Au bout de trente secondes, ne tenant plus, elle me dit de me lever. — Enlève-moi ce short et viens avec moi ! Elle joignit le geste à la parole et se dirigea vers son lit en m’y entrainant avec elle. Je vis alors à travers celui-ci ses tétons qui pointaient : elle n’avait pas de soutien-gorge et était elle aussi très excitée. A SUIVRE ...
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