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Mon invraisemblable cadeau d'anniversaire !

Chapitre 1

Dernier cadeau surprise dans mon lit

Erotique
Je me présente, je m’appelle Alban, je mesure 1m77 pour 96 kilos, je suis un peu enrobé, eh oui, j’ai les cheveux de couleur châtains et j’ai 24 ans, je suis issu d’une famille de travailleurs, j’ai une sœur plus jeune de 18 mois, Amandine, avec laquelle je m’entends relativement très bien, que je taquine régulièrement et avec laquelle il m’arrive de temps en temps de m’embrouiller pour des futilités, elle est assez désordonnée, souvent tête en l’air et assez écervelée et elle agit sans réfléchir, d’où nos différences d’opinions et nos querelles régulières. Voilà pour ce qui est des présentations, mon histoire se situe dans les années quatre-vingt-cinq, alors que j’avais déjà quitté le foyer familial et que j’habitais une maison en bordure d’une petite ville des banlieues de Lyon, à une vingtaine de kilomètres des parents et de ma sœur.
Je me rappelle très bien encore de cette histoire qui m’est arrivée, cet événement reste à jamais graver dans ma tête, tellement c’était invraisemblable et incroyable. Nous étions donc le 18 mai, jour de mon anniversaire, c’était un samedi.
J’avais quelques courses à faire pour la préparation de mon anniversaire avec ma famille et quelques copains. Ce même samedi, j’avais donné rendez-vous à ma sœur Amandine, pour me donner un coup de main pour la préparation de cette fête, tout s’était bien passé durant les préparatifs et ma sœur m’a énormément aidé ce jour-là. Et puis vers les vingt-deux heures, je ne sais plus exactement pour quelle raison, je me suis embrouillé avec ma sœur et elle nous a subitement quittées, en claquant la porte, alors que nous étions en pleine fête d’anniversaire, tous avaient bien bu et nous étions légèrement amochés, Amandine un peu plus que les autres, elle ne savait pas s’arrêter et elle commençait à devenir vulgaire et trop dévergondée, je crois même que c’était la raison de notre différence d’opinions, ce jour-là, même mes parents étaient du même avis d’ailleurs, tandis que cela plaisait beaucoup à mes copains, car elle devenait intéressante pour eux, contrairement à moi et à mes parents. Ce départ inopiné de ma sœur a jeté un grand froid et l’ambiance de fête et de réjouissance n’était plus là.
Mes parents rentrèrent quelque temps après cette déconvenue avec ma sœur et ensuite ce fut le cas de mes copains. Je me retrouvais donc tout seul à deux heures du matin à ranger et à remettre de l’ordre dans la maison.
Il me fallut une bonne heure pour tout remettre en état. Une fois tout bien rangé et réorganisé, je pris une douche et j’allais me coucher. J’arrive dans ma chambre et j’ouvre mon lit et là je fus incroyablement surpris, dans mon lit se trouvait un paquet enrobé de papier d’emballage, avec une grosse carte, ce paquet ressemblait à une figurine de taille humaine, que je prenais d’abord pour une poupée et dès que je la touchai, ça bougeait et elle poussa un murmure inaudible.
Je pris donc la carte qui était posée sur le cadeau qui m’était destiné, d’après ce qui était marqué sur la carte qui accompagnait le paquet. Dessus il y avait d’écrits : Joyeux Anniversaire Alban, je t’offre ce petit présent bien emballé, que tu devras déballer avec minutie et avec beaucoup d’attention. Tu pourras en disposer à volonté et comme tu le sentiras, ne t’en prive surtout pas et fais en ce que tu veux. Par contre il y a une condition bien précise, INTERDICTION de faire parler la personne qui s’est proposée, comme cadeau pour ton anniversaire et INTERDICTION de chercher à savoir de qui il s’agit, si la personne le désire, elle pourra se dévoiler elle-même, mais uniquement à la fin et uniquement lorsqu’elle l’aura décidée, elle et non pas toi. Est-ce bien assez clair pour toi ? Si tu n’appliques pas ces directives A LA LETTRE, la personne prendra ses clics et ses clacs et s’en ira. Voilà cher Alban le cadeau que je te fais cette année. Signé OXO. Post-scriptum : Profite bien de ton cadeau, use et abuse de celui-ci, à ta volonté, mais sans rien casser. Ne cherche surtout pas à savoir de qui il s’agit sinon tu perdras tout et il ne te restera plus que les yeux pour pleurer.
Me voilà donc avec un paquet de taille humaine pour mon anniversaire, cadeau qui m’a été offert par un certain :OXO et dont je pouvais en disposer à ma guise et comme je l’entendais, avec pour seule interdiction de NE PAS chercher à savoir de qui il s’agissait et avec interdiction de la faire parler. Le plus incroyable dans cette histoire, c’est qu’à AUCUN moment, je n’ai été ou vu la livraison de ce cadeau, pour moi c’était vraiment un véritable mystère, que je n’arrivai pas à expliquer.
Mais bon, on me fait un cadeau, autant en profiter et je dois déjà commencer par le déballer. Je me mis enfin à jouer les curieux et je déballe donc cette poupée vivante, qui m’a été offerte et dont je pouvais en disposer selon ma volonté, je n’allais pas m’en priver d’ailleurs. Je finis par enlever le papier qui la recouvrait, en dessous de celui-ci se trouvait effectivement une jeune fille ou une femme, avec un masque bien fermé sur la tête, avec pour seule ouverture, des trous à la place des yeux, du nez et de la bouche. J’étais vraiment étonné par ce que je voyais devant moi. Cette poupée vivante que j’ai alors nommée Nina. Chez Nina, ce qui me frappait en premier, ce fut son rouge à lèvres, il était d’un rouge très vif et il dessinait parfaitement le contour de ses lèvres, elle était vêtue d’une tenue d’infirmière des années cinquante, tout en noir et blanc, elle portait une robe noire qui lui allait jusqu’aux genoux et elle avait un col blanc. Nina était de taille fine, elle mesurait environ 1m65 et devait peser à tout casser 55 kilos, elle avait des yeux, vert émeraude et ses ongles avaient la couleur rouge vif, une couleur rouge, aussi vive que son rouge à lèvres, je lui demandai donc de sortir du lit et de se mettre debout devant moi, de façon à ce que je puisse là voir correctement et juger ses proportions. Nina, une fois debout devant moi, était vraiment belle à regarder, dans sa tenue d’infirmière, c’est à ce moment que je me suis aperçu qu’elle avait une belle poitrine sous cette robe noire, elle devait avoir du 100 C, tellement sa poitrine me paraissait volumineuse.
Malgré ma fatigue de tout à l’heure, après avoir rangé la maison, en voyant ce beau brin de fille masquée devant moi, ma fatigue comme par enchantement avait totalement disparu. Et je décidais de profiter un maximum de ce dernier cadeau, qui m’avait été offert par un certain OXO et dont je ne voyais absolument pas qui cela pouvait être.
Je demandais donc à Nina de tourner sur elle-même de façon à ce que je puisse voir l’endroit et l’envers du décor. Effectivement d’après ce que je pus constater, Nina avait ce qu’il fallait là où il le fallait. Je me levais du lit et je me positionnais derrière elle, je lui fis quelques bisous dans le cou et je lui soufflais de l’air chaud à l’emplacement des oreilles, je vis alors que Nina avait quelques frissons, elle eut même la chair de poule. Puis avec mes mains, je venais autour de sa taille et j’allais lui toucher le ventre, puis remontant doucement vers sa poitrine, je vins lui soupeser les seins et sentir leurs fermetés.
J’empoignais avec mes deux mains ses seins et je les malaxais, puis je les soulevais et les triturais, pour finir par irriter et pincer les tétons au travers du tissu de sa robe. Ma partenaire laissée échapper quelques gémissements. Me faisant comprendre qu’elle aimait et qu’elle appréciait ce que je lui faisais. Après quelques minutes de cette délicieuse torture, gardant toujours une main sur un de ses seins, avec l’autre main je partais à l’aventure et je descendis vers son nombril, pour m’y attarder quelques instants. Puis je continuais de descendre plus bas vers son entrejambe, toujours par-dessus sa robe, en même temps que je partais à cette aventure de son corps, je faisais à Nina un suçon dans le cou. Une fois que je sentis que j’étais à la hauteur de sa vulve avec ma main, j’augmentais ma pression sur celui-ci avec la paume de ma main, puis je faisais glisser celle-ci plus bas, le long de ses lèvres vaginales, ce qui eut pour effet de faire gémir un peu plus fort ma partenaire. Au bout d’un moment je m’arrêtais de la toucher, je me mis ensuite sur le rebord de mon lit et je demandais à Nina de me faire un strip-tease, en lui mettant une musique entraînante, sur laquelle elle pouvait danser dessus et ceci afin que je puisse allègrement voir en détail ce qui se trouvait réellement sous ses vêtements, je voulais maintenant voir comment elle était sans vêtements.
Nina se mit alors à danser, dans une danse lancinante, elle se tortillait à merveille, m’offrant un spectacle inoubliable, à croire qu’elle faisait ça régulièrement, c’était vraiment beau à voir, c’était surtout très excitant à regarder. Nina enleva d’abord ses souliers, qu’elle jetait dans un coin de la pièce, puis elle se mit à descendre un bas après l’autre qu’elle jeta dans ma direction, ensuite elle dégrafa sa robe noire et elle la fit descendre langoureusement sur ses épaules, puis sur ses seins, en faisant vraiment durer le plaisir, puis allant toujours plus bas avec le tissu, elle me dévoila enfin ses seins, ils étaient soutenus et emprisonnée par un soutien-gorge noir à dentelles. Elle descendit encore très doucement avec sa robe dans les mains, passant maintenant son nombril, puis son entrejambe, laissant apparaître un string en forme de " V " de couleur noire lui aussi à dentelles, puis elle leva une jambe après l’autre pour sortir enfin de ce tissu, qui cachait son beau corps de ma vue. J’étais vraiment impressionné par la beauté de ce corps si parfait et si bien fait, corps qui m’était offert par cette très belle inconnue qui s’offrait à moi en ce moment. Nina fit ensuite tomber une à une les bretelles de son soutien-gorge sur ses épaules, puis elle le tourna et défit les agrafes de celui-ci et elle le jeta vers moi. Je voyais maintenant ses seins libres de tout maintien, ils étaient lourds et pendaient sur le haut du ventre de la fille. Toujours en dansant et en se tortillant, elle alla maintenant vers le seul rempart qui cachait et séparait encore son entrejambe de ma vue. Elle le fit glisser petit à petit, avec des gestes précis et très lents, le long de ses jambes bien galbées et fin. Ensuite Nina fit un tour sur elle-même pour me présenter maintenant son beau corps en entier, je trouvais celui-ci parfait et dont j’en étais tombé amoureux.
Après avoir bien profité du spectacle et des belles choses que cette ravissante créature venait de me présenter, je lui demandais de venir devant moi, de façon à ce que je puisse là voir de près et surtout que je puisse la toucher et la sentir. Une fois qu’elle était à ma portée, je mis mes mains sur ces fesses et je l’attirais un peu plus vers moi, puis je me suis mis à la sucer, d’abord au nombril, ce qui lui donnait des vibrations, que je sentais au travers de sa peau si fine et douce, puis j’aspirais celui-ci, le relâchant de temps en temps pour mieux le reprendre et de mes mains je pétrissais ses fesses bien proportionnées et bien musclées. Ensuite je me suis levé et je vins vers sa généreuse poitrine, que je léchais et que je pétrissais avec mes mains, je lui pris aussi les tétons en bouche, tantôt l’un, tantôt l’autre et je le suçai comme le font les bébés lorsqu’ils tètent, Nina se mit à gémir de plus belle, me signifiant que je le faisais bien et qu’elle éprouvait beaucoup de plaisirs, lors de ce tétage. Ensuite je descendis plus bas et j’allais rendre visite à son entrejambe.
Une fois arrivé à hauteur de sa vulve, je me suis mis à inspecter visuellement cette partie de son anatomie, que je trouvais parfaitement bien réussie. Puis je me suis mis à sentir son odeur corporelle, que je trouvais très attirante. Puis j’approchais mon visage de ses lèvres vaginales et j’ai commencé à les lécher, essayant de pénétrer entre celles-ci, pour aller recueillir son jus d’amour, car je remarquais qu’elle mouillait déjà pas mal et que ça suintait, quelques gouttes étaient même tombées par terre. Nina se tortillait sous mes léchouilles, avec ma langue entre ses lèvres et elle gémissait, lorsque je lui pris son clitoris en bouche et que je l’aspirais, elle ne tenait plus en place et gémissait de plus en plus fort, le comble ce fut lorsque je lui mis un, puis deux doigts dans son intimité et que je les faisais aller et venir en elle, en allant de plus en plus profond dans son minou. J’admirais cette fille, car malgré les supplices que je lui faisais subir, elle ne dit aucun mot, elle ne faisait que gémir de plus en plus fort, elle avait du mal à tenir debout, sous mes caresses, mes léchouilles et mon doigtage dans sa chatte.
Je trouvais que je l’avais maintenant assez tourmentée et je lui ai demandé de se coucher sur le dos, dans mon lit. Là, je me suis mis entre ses jambes et je suis venue me coucher sur elle, pour venir carrément la dévorer, je lui ai roulé un de ces patins, dont j’en étais assez fier et qui me semblait la combler de bonheur. Puis je suis descendu sur sa poitrine et j’ai embouché un de ses seins, que j’ai recommencé à téter, tout en pressant et en malaxant ses seins, avec mes mains. Pauvre Nina, elle transpirait à grosses gouttes et elle devait certainement se demander quand j’arriverais à l’essentiel et quand j’allais enfin la prendre. Mais étant donné qu’elle était à ma disposition et que je n’étais nullement pressé d’en finir avec elle, je fis durer le plus possible mon plaisir, car ça n’arrive pas tous les jours qu’on retrouve une fille dans son lit, qui s’offre à vous et qui ne vous demande rien en contrepartie. Donc au bout d’un moment, je laisse sa poitrine et je continue à descendre plus bas, vers son nombril, que je repris en bouche pour l’aspirer et le relâcher à plusieurs reprises, Nina avait à nouveau des soubresauts dans son ventre que je ressentais au travers de sa peau. Durant ce temps ma main droite était partie à la recherche de son clitoris, que j’irritais entre mon pouce et mon index, de temps en temps j’enfonçais un, deux et même trois doigts dans sa chatte, les faisant rentrer et sortir plus ou moins rapidement. Nina, que je voyais se trémousser et gémir de plus en plus, ne tenait plus en place et elle m’implorait du regard, pour que je la prenne enfin, mais je n’en avais pas encore l’intention et elle dut attendre mon bon vouloir.
L’ayant bien fait jouir jusque-là, je voulais moi aussi jouir à mon tour, alors j’ai demandé à Nina de se relever et de me faire une belle fellation. Ce qu’elle fit sans attendre, elle se mit à genoux devant le lit, prit mon chibre en main et commença à m’emboucher, elle faisait des allers et retours, c’était incroyablement bon et j’aimais beaucoup sentir comme sa langue qui tournait autour de ma bite, de temps en temps, elle avalait mon sexe entièrement et me faisait une gorge profonde, oh mon Dieu que c’était bon... Ce qu’elle me faisait, personne jusque-là, ne m’avait fait atteindre ce degré de volupté et de bonheur. J’étais vraiment aux anges et je le lui ai d’ailleurs dit, sans gêne, la gratifiant de reine des fellations. Je voyais dans ces yeux qu’elle aimait ce que je lui disais et les félicitations que je lui donnais. Nina me limait tellement bien dans sa bouche, que je vins assez rapidement dans sa bouche. Elle n’en perdit pas une goutte de mon jus d’amour. Elle se mit ensuite à m’embrasser sur la bouche, en ayant pris soin de ne pas avaler tout mon sperme, elle en avait gardé en bouche pour le partager avec moi. Au début sentant le sperme dans ma bouche, je voulais le recracher, mais elle ne m’en laissa pas l’occasion, elle avait mis ses bras autour de mon cou et elle nous maintenait bien rapprochés, je n’avais plus que le choix d’avaler mon propre sperme. Finalement je ne trouvais cela pas si mauvais que ça et avec ma langue, je fouillais dans sa bouche pour venir récupérer ce qui lui restait de mon sperme.
Après cela Nina redescendit vers mon entrejambe et se mit à me masser ma bite, de façon à ce qu’elle reprenne de la vigueur, ce qui ne tarda pas. Une fois que mon sexe était à nouveau bien dur, je recouchais Nina sur le dos et je me mis entre ses cuisses, trouvant qu’il était grand temps de la prendre maintenant. Mais avant de m’enfoncer en elle, je m’amusais encore un peu à passer ma bite entre ses lèvres vaginales et à venir irriter avec mon sexe, son clitoris, puis de temps en temps je venais dans son minou et je m’enfonçais de plus en plus loin en elle, toujours en ressortant et en allant irriter son clito. Et puis je pris ses jambes et je les ai mis sur mes épaules et sans qu’elle s’y attende, je me suis enfoncé en elle complètement, la faisant crier lorsque j’arrivais au fond. Elle en avait les larmes aux yeux et maintenant elle ne gémissait plus, mais elle criait carrément son plaisir, j’ai même senti qu’elle venait d’avoir un orgasme. J’étais maintenant complètement en elle, dans sa chatte si chaude et tellement trempée que je ne voulais plus bouger, je voulais savourer ce moment sublime où nos deux sexes étaient l’un dans l’autre et où je sentais ses muscles vaginaux enserrer mon gland. C’est Nina qui me sortit de mon nuage, en bougeant son bassin et en faisant aller et venir mon sexe en elle. Voyant qu’elle cherchait à se trémousser sur ma bite, je me suis alors mis à la pistonner de plus belle, allant de temps en temps vite, puis je ralentissais à nouveau, Nina n’en pouvait plus, elle criait son bonheur, d’être prise de la sorte et de la jouissance que je lui donnais. Chaque fois que je rentrais en elle je claquais contre ses fesses et mes couilles venaient taper contre sa petite rondelle, ça faisait à chaque fois claque, clac. À ce rythme, je ne tins pas longtemps et je me mis à éjaculer en elle, déversant tout ce que j’avais dans mes bourses, je le lui mettais. Nina semblait heureuse de ce que je lui donnai, elle prit ma tête entre ses mains et m’attira sur elle, puis elle m’embrassa avec vigueur et me roula un patin INCROYABLE, c’était absolument époustouflant, j’étais sidéré et je n’en croyais pas mes yeux, ni ce que je venais de vivre avec Nina. Cette jeune fille si parfaite au niveau de son corps de déesse et qui m’a fait connaître des moments inoubliables, elle était totalement en accord avec moi et à part gémir et crier son bonheur, elle n’a durant cette nuit-là, JAMAIS prononcé le moindre mot, à croire qu’elle n’avait pas de voix et qu’elle était muette.
Une fois que je m’étais vidé en elle et qu’elle m’avait attiré sur elle pour m’embrasser, je suis resté en elle savourant le plus longtemps possible ce moment magique et cette union entre nos deux corps, puis je me suis endormi sur Nina. Plusieurs heures plus tard, à mon réveil, je me retrouvais seul dans mon lit, avec des traces de sperme et de cyprine séchés dans mes draps. Je pris ensuite rapidement une douche et je me mettais à réfléchir sur ce qui venait de se passer cette nuit avec Nina. Était-ce bien réel ou ai-je rêvé ? Ça ne se pouvait pas, je ne pouvais pas avoir rêvé, car dans la chambre il restait le papier d’emballage et surtout il restait les traces de sperme et de cyprine. Donc je n’avais pas rêvé et ça m’était bien arrivé. Jusqu’à maintenant, je n’ai pas encore réussi à savoir de qui il s’agissait, mais je veux à tout prix savoir qui c’était, j’ai passé avec cette jeune fille que j’avais prénommée Nina, un trop bon moment, elle m’a apporté tellement de plaisir que j’aimerais bien la revoir et si possible recommencer à lui faire l’amour, c’était trop bien avec elle, j’espère seulement qu’elle ne m’en voudra pas de l’avoir fait languir aussi longtemps, avant de la prendre finalement.
En cherchant bien autour de moi, je devrais bien finir par la reconnaître. Par contre le lendemain lorsque je suis arrivé chez mes parents, ma sœur Amandine était encore couchée et ma mère me dit qu’elle était rentrée tard dans la matinée et qu’elle ne voulait à aucun moment être réveillée et déranger. Je respectais son choix pour une fois et je ne la dérangeais pas, pourtant j’aurai tellement aimé lui raconter ce qui m’était arrivé soi-disant avec cette jeune fille que j’avais prénommée Nina. Et la chance que j’ai eue avec elle cette nuit, avec ce joli brin de fille, dont j’étais devenu amoureux.
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