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Mon jeune valet

Chapitre 1

Gay
Mon jeune valet (1).Depuis l’adolescence, je suis attiré par les hommes. J’ai essayé de lutter contre ce penchant et à vingt ans je me suis jeté dans le mariage comme dans un abri protecteur. J’ai donc épousé une cousine qui n’avait d’yeux que pour moi. Il faut dire que j’étais un beau jeune homme à l’époque, grand, mince, sportif, avec une belle chevelure blonde et bouclée, des yeux d’un bleu profond, le sourire enjôleur et les lèvres pulpeuses. Cinq ans plus tard, j’avais deux garçons. La sixième année, au cours d’un séminaire de travail je tombais amoureux d’un collègue et jetant tous mes scrupules aux orties, devenait son amant. Nous nous sommes revus souvent et un jour, l’inévitable se produisit, ma femme nous surpris, nus, dans le lit conjugal. Ce fut le drame, le divorce et mon amant, lui-même marié, cessa prudemment tout rapport avec moi.Aujourd’hui j’ai 70 ans et je vis seul depuis longtemps, mes fils ayant fait leur vie et habitants l’un le Canada, l’autre l’Australie. Je fréquente les saunas gay, hante les sites de rencontre et les sexe-clubs. Mais je n’ai plus eu de liaison durable. Je suis bien conservé, grâce à la natation, avec un corps musclé et quasiment pas de ventre. Mes cheveux blonds sont devenus gris, mais toujours aussi abondants, ma libido reste ardente et j’ai encore du succès auprès des hommes et parfois même des femmes. Lassé de m’occuper des soins du ménage, j’ai décidé de rechercher un homme pour s’occuper de celui-ci et si nécessaire de mon plaisir. Sur un site familier j’ai donc affiché une annonce ainsi conçue : « Retraité aisé, bien foutu, exhibitionniste et dominateur, recherche valet de chambre pas bégueule ». J’ai reçu des tas de mails en réponse et j’ai entamé la discussion avec trois mecs. L’un d’eux a retenu mon attention. C’est un jeune algérien de 22 ans, prénommé Ahmed, récemment arrivé en France avec un visa étudiant, qui cherche le gite et le couvert pour la durée de ses études de droit et se présente comme bisexuel.Je lui fixe un rendez-vous dans un café. Lorsqu’il se présente, au premier regard je suis séduit. Il est vraiment beau, mieux que sur sa photo. A peu près de ma taille, large d’épaules, bassin étroit, petites fesses bien rondes dans un jean collant, mains fines, visage avenant et rasé de près, chevelure et yeux noirs, peau brune, il a une allure souple et dégagée. Nous tombons vite d’accords. Je lui offre de le loger, le nourrir et le vêtir, avec 200 € par mois pour les transports. En échange il devra s’occuper de la lessive et du ménage. Le soir même il sonnait chez moi, portant un simple sac de voyage et je mis à sa disposition ma chambre d’amis avec douche et toilettes. Il a tout de suite voulu profiter de la douche, pendant que j’achevais de préparer notre dîner.
Lorsqu’il m’a rejoint, les cheveux mouillés, il ne portait qu’un Teeshirt blanc et un boxer noir laissant apparaître une belle bosse sur le devant. Un beau morceau ! Une bouffée de chaleur me monta à la tête tandis que je sentais ma verge se durcir dans mon slip. Pendant le repas nous avons parlé de sa vie en Algérie, de ses projets, de sa famille, de ses amis et aussi un peu de moi. Nous avons poursuivi la soirée au salon, assis côte à côte sur le canapé, devant les informations télévisées, en buvant une bière. Je ne pouvais éviter de fixer son entre-jambe. Il le remarqua et me sourit. « Il fait chaud chez toi, tu permets que je me mette à l’aise ? » me dit-il. Sur mon signe de tête affirmatif, il retira son teeshirt, laissant ainsi voir sa poitrine ornée d’un mince triangle de poils noirs entre les seins aux aréoles bien sombres, ainsi qu’un ventre bien dessiné, coupé par une ligne de petits poils noirs descendant vers le pubis. Voyant qu’il n’était pas farouche, je décidais de précipiter un examen plus complet de ce corps viril.
Je commençais à lui caresser ses belles jambes poilues, toutes proches des miennes, en remontant lentement vers le boxer noir. Sans hésiter, il se pencha vers moi et entreprit de m’embrasser sur la bouche. Nos langues se cherchèrent et nos salives se mêlèrent. Tout excité, je lui caressais le dos, puis les fesses et mes mains, soulevant la ceinture élastique de son boxer, glissèrent sur ses globes bien fermes et soyeux. Je sentais son corps vibrer entre mes bras et sa langue vigoureuse fouiller ma bouche. Je bandais comme un malade et ma bite trop comprimée par le slip me faisait mal.Soudain Ahmed abandonna ma bouche et commença à déboutonner ma chemise. Fiévreusement je l’y aidais et me retrouvais bientôt torse nu, avec ses mains chaudes qui me trituraient les tétons déjà dressés. Puis se relevant devant moi, sans aucune pudeur, baissa son boxer jusqu’aux chevilles, exhibant sa virilité triomphante. Sa verge circoncise, pointait bien droite sous mes yeux fascinés, brune, longue, fine, terminée par un gland violacé, avec une paire de couilles bien rondes couvertes de duvet noir et un bas-ventre garni d’une épaisse toison foncée. Une merveille ! Ne pouvant résister une seconde de plus à la vue de ce membre qui palpitait sur son abdomen, d’une main je m’emparai de ses balloches alors que ma bouche enfournait son gland à la peau si fine et si douce, au méat suintant et à l’odeur de mâle si excitante.Pendant que je le suçai avec gourmandise, il me caressait les cheveux et les épaules de ses mains chaudes et murmurait : « profite bien de ce sexe d’Arabe ; tu en avais envie ; je suis prêt à satisfaire tous tes fantasmes ». Sa voix était grave et envoutante. Lâchant son sucre d’orge, je me redressai, le serrai fougueusement contre moi et commençai une pelle profonde, les mains sur ses fesses, des doigts glissés dans sa raie humide et poilue. Quel pied ! Je le repoussai au bout d’un moment et entrepris de défaire ma ceinture. Aussitôt, de ses mains agiles, il m’aidait à déboutonner mon pantalon, le faisait glisser vers mes genoux et empoignait ma verge toute raide à travers le tissu fin de mon slip en s’exclamant : « on dirait que tu as une belle trique comme je les aime ». Puis se mettant à genoux devant moi, son sexe toujours au garde-à-vous, il commença à tirer sur l’élastique de mon sous-vêtement dégageant d’abord les poils gris de mon pubis, puis ma verge et enfin mes couilles. Mon vit déjà tendu se redressa encore et durcit sous l’afflux de sang, mon gros gland se dégageant du prépuce et je tressaillais de plaisir à me sentir ainsi livré aux désirs de ce jeune mec irrésistible.
Avec fureur il se mit à gober mes bijoux de famille, d’abord les couilles, puis la verge. Je sentais monter la sève en moi et essayai de me retenir le plus possible pour ne pas jouir trop vite.Ahmed le senti sans doute, car il relâcha mon vit et s’étendit sur le canapé, m’attirant à lui. Je me couchais tête-bêche et nous avons entrepris un merveilleux 69. Comme son sexe était bon, chaud et vivant dans ma bouche et le mien à l’aise dans l’antre chaud et mouillé de son palais, pressé par sa langue mouvante ! Le plaisir nous envahit en même temps et nous éjaculâmes presque simultanément. Je reçu cinq jets de sperme chaud et épais dans ma gorge et avalai le tout avec délices tandis-que je lâchai le mien en plein dans sa gorge, avec un hurlement de plaisir.
Après un long baiser et un mélange de nos semences demeurées sur nos langues, je me relevai et décidai de m’arrêter là pour cette soirée.  « Merci Ahmed. » dis-je, en le pressant contre moi, les deux mains sur ses hanches. « Sache que la règle ici est de vivre entièrement nus, jours et nuits, au travail comme au repos. On ne s’habille que pour sortir et la consigne en ce qui te concerne est de ne jamais porter de sous-vêtements. Maintenant, bonne nuit ». Nous nous sommes séparés, chacun rejoignant sa chambre, momentanément apaisés.Patrocle
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