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Mon jeune valet

Chapitre 2

Gay
Mon jeune valet (2)

Lorsque je me réveillais le lendemain, j’avais une trique pas possible, comme souvent le matin, mais accrue ce jour-là au souvenir de la soirée précédente. Je luttais contre l’envie de me caresser et sautait du lit pour me rendre à la cuisine, préparer le petit déjeuner.J’avais toujours la bite raide lorsqu’Ahmed est arrivé, la mine ensommeillée, le sexe au repos, s’étirant et baillant. Je l’accueilli avec un grand sourire et une tape sur les fesses. Nous avons pris notre collation matinale, assis côte à côte, dans le plus simple appareil, en échangeant quelques attouchements aux endroits sensibles de nos corps. A la fin du repas je bandais toujours et lui également. Lorsqu’il est parti se doucher et se préparer pour se rendre à la faculté, sa verge était au garde-à-vous, le gland touchant presque son nombril et se balançait au rythme de sa démarche nonchalante. Quel spectacle jouissif !Lorsqu’il fut prêt, je l’attendais à la porte et portant ma main à sa braguette lui demandai : « as-tu mis un sous-vêtement » ? Je sentais bien qu’il en portait un et ajoutais : « Respecte la consigne. Retire-moi cela ». Confus il s’exécutait, retirait son Jean, puis son boxer rouge vif dont je m’emparai. « Pourquoi cette consigne me demanda-t-il » tout en enfilant à nouveau son futal. « Parce que cela m’excite de te savoir ainsi exposé aux regards égrillards d’autres hommes » lui répondis-je, tout en lui caressant son petit cul ferme et rebondi. Après qu’il se fut rajusté, je le laissais partir et jetai son boxer à la poubelle. Je fis de même avec ses autres sous-vêtements que j’allais chercher dans ses affaires. Je savais qu’il devait rentrer vers 17h et tout en me livrant à mes occupations habituelles, j’organisais mentalement la petite soirée festive dont je rêvais.A son retour, toujours à poil, je l’accueilli dans l’entrée par une pelle bien baveuse, tout en lui défaisant sa ceinture, déboutonnant son jean et le faisant glisser vers ses pieds. Sa bite brûlante dans la main gauche, la droite massant ses fesses duveteuses, je sentais mon zob se raidir entre ses cuisses tendis-que le sien se durcissait et remontait le long de mon ventre. J’essayais de rester maître de moi, m’écartai de cette chair ô combien attirante et lui dit : « Fous-toi à poil et viens te doucher ».Nous nous sommes retrouvés tous les deux sous la douche, l’eau chaude coulant sur nos corps dénudés, un peu à l’étroit et je lui ai ordonné de ma laver. Avec beaucoup de douceur il m’a savonné de haut en bas, n’évitant aucun repli de mon anatomie et s’attardant longuement sur mes fesses, puis ma raie et enfin mes bijoux de famille. Je me remis à bander ferme. L’arrêtant d’un geste brusque lorsqu’il tenta d’introduire un doigt dans mon œillet, j’entrepris de lui rendre la pareille. Quel plaisir de tenir ce beau corps masculin, de le frictionner de mes mains savonneuses, de caresser ses couilles, tâter ses testicules, branler doucement sa verge circoncise. J’adorais particulièrement les mecs circoncis et poilus. J’étais servi. Résistant au désir qui me faisait bouillonner le sang et battre ma bite, je le rinçai rapidement et il faisait de même pour moi. Après nous être séchés mutuellement avec la même serviette j’annonçais : « nous sortons ce soir prendre l’apéritif dans un sexe-club de ma connaissance. Tout sera permis, sauf de conclure, car tu devras te réserver pour moi ».J’ai enfilé un pantalon de toile, directement sur la peau encore un peu humide, ainsi qu’un pull léger. Ahmed a mis rapidement un survêtement de sport gris clair, escamotant ainsi sa virilité sous la forme vague du pantalon de coton et nous avons quitté mon appartement, pour nous rendre à environ 1 km de chez moi, au bar « Les eaux troubles ». Je sonnais et le patron qui me connaissait m’ouvrit aussitôt. Dès l’entrée, le forfait boissons payé, nous dûmes nous dévêtir entièrement et laisser nos affaires dans un sac, conservé à la caisse. Puis nous entrâmes dans la salle où il y avait déjà une dizaine de clients, d’âges divers, tous entièrement nus comme nous, les uns perchés sur des tabourets de bar, les autres vautrés dans des fauteuils, les jambes écartées et le sexe en évidence, d’autres encore déambulant, le verre à la main. Deux mecs, des habitués comme moi, me saluèrent et j’allais vers eux pour leur présenter Ahmed.« Je vous présente mon jeune valet. Je viens de l’embaucher et je lui fais découvrir Paris ». Ahmed, qui n’était sans doute pas exhibitionniste comme moi, répondit à leurs saluts d’un air un peu gêné. Avec une grande tape sur les fesses, je lui demandai d’aller chercher deux bières au bar. Pendant son absence j’expliquai à mes deux copains qu’ils pouvaient s’amuser avec Ahmed. Aussi, lorsque mon bel Arabe revint, ils le firent asseoir sur le canapé qu’ils occupaient, entre eux deux. Ils étaient ainsi bien serrés. Je m’installais devant eux, sur un pouf, dégustant ma bière tout en les observant.Le plus âgé d’entre eux,Pierre, la quarantaine bien sonnée, massif, poilu, cheveux bruns courts et collier de barbe, débutait une branlette, la main droite sur la verge encore molle d’Ahmed, alors que le second, Gilles, un grand blond aux cheveux bouclés lui descendant dans le cou et à la peau laiteuse, environ trente ans, le corps imberbe et entièrement rasé, caressait la cuisse brune de mon valet de sa main gauche. La tête rejetée en arrière, les jambes maintenant écartées, mon jeune Arabe se mit à bander comme un âne, alors que le grand blond s’emparait de sa bouche avec vigueur. J’allais me joindre à eux, lorsqu’une main ferme se posa sur mon cou, qu’une cuisse tiède se colla à mon dos et qu’un énorme sexe noir et odorant effleura ma joue droite alors qu’une voix basse susurrait : « Voilà mon petit vieux vicieux. Contant de te revoir ». Je retournai la tête et levai les yeux, tout en effleurant de mes lèvres cette verge encore au repos et reconnu un Antillais athlétique, prénommé Fulbert, d’à peine plus de vingt ans, qui m’avait possédé quatre mois auparavant, alors que j’étais accoudé au bar. Sans hésiter, pivotant sur mes fesses et lui faisant face, je décalottais son gland en tirant sur le long prépuce et me mis à le lécher avec ardeur. Rapidement son vit se mit à grandir et j’enfournai cette colonne de chair dans ma bouche. Elle était si grosse et si longue que je ne pus en avaler plus de la moitié et que lorsqu’il avança son ventre pour mieux me pénétrer je faillis vomir et me rejetai en arrière, tombant de mon pouf et déclenchant l’hilarité générale. Magnanime, Fulbert m’aida à me relever et je lui présentai Ahmed qui se faisait sucer par le brun et masturbait le blond. Cela interrompit leurs ébats, tous trois se relevèrent et le grand noir embrassa les trois mecs en les serrant très fort entre ses bras, sa hampe toujours dressée, comme d’ailleurs les nôtres. « Allons boire » dit-il de son timbre profond et nous gagnâmes le comptoir pour une nouvelle tournée. J’avais Ahmed à ma gauche et tout en buvant je lui pelotais le cul, alors que l’Antillais à sa droite lui soupesait les couilles et que les deux autres copains se serraient dans notre dos. C’est alors que je leur proposais de passer dans l’arrière salle, destinées aux ébats virils..Ensemble, nos verres vidés, nous avons donc franchi la porte de séparation.

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