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Mon jeune valet

Chapitre 3

Gay
La salle n’était éclairée que par des veilleuses dégageant une lumière bleutée. Au fond un grand écran de télé diffusait un film porno gay. Devant, un large canapé sur lequel un homme âgé était assis et se paluchait frénétiquement. Le lit central était occupé par un couple de jeunes lascivement embrassés. Sur les bancs le long des murs, cinq hommes nus regardaient le spectacle donné par ce couple ou le film passant à l’écran, tout en observant leurs voisins.Après un moment d’hésitation, Fulbert nous a entraînés vers le grand canapé. Nous voyant arriver en nombre, le vieil homme s’est levé pour se diriger vers les toilettes. Nous nous sommes donc installés tous les cinq, cuisses et épaules serrées. L’Antillais s’était placé au milieu, avec à sa droite le blond et son copain baraqué et à sa gauche moi et Ahmed. Très vite nos mains ne sont pas restées inactives. Je caressais de ma main droite le membre noir et dressé de Fulbert, depuis les couilles, jusqu’au gland, une tige épaisse et gonflée de sang, chaude et palpitante, pleine de vie et de sève. A ma gauche Ahmed m’offrait une superbe fellation, alors que ma main gauche lui tâtait les fesses, à la recherche de son trou d’amour. A ce moment Gilles s’est levé et est venu se placer devant moi pour m’offrir son sexe bandé, auréolé de poils blonds, au gland violet et humide. Je l’ai pris en bouche avec délectation. Pendant que je le suçais avec application, j’observais que Pierre se faisait sucer par l’Antillais et que trois mecs en demi-cercle derrière eux, se branlaient vigoureusement devant le spectacle que nous donnions. Mon côté exhibitionniste y trouvait son compte et mon excitation croissait rapidement. Les bruits de succion, les soupirs, les halètements et les râles autour de moi concouraient à la montée du désir. Soudain Gilles s’est contracté, sa bite s’est encore raidie. J’ai juste eu le temps de serrer mes lèvres sur son membre et il a éjaculé avec force dans ma bouche. Comme sa crème était onctueuse ! J’ai tout avalé. Au même moment je déchargeais dans la gorge d’Ahmed, tout en lui enfonçant un doigt dans le cul. Peu après Fulbert s’est vidé dans ma main et sur le ventre de Pierre, tout en dégustant le sperme de ce dernier qui avait joui dans sa gorge. Les trois mecs, placés derrière le blondinet et son copain Pierre s’achevèrent à la suite et inondèrent leurs culs tendus des flots de leur semence.Les deux jeunes vautrés sur le matelas central s’étaient interrompus et redressés pour mieux nous observer. Je me suis brusquement levé et tenant par le cou Ahmed et Fulbert qui avaient suivi mon mouvement, je les entraînais vers le matelas. L’un des deux garçons devaient avoir environ 19 ans, mince, châtain, la peau très blanche, glabre, un peu efféminé, avec un petit sexe dressé en virgule et des fesses bien rondes, l’autre, plus âgé d’environ deux années, brun, légèrement poilu, le corps doré par les expositions au soleil et le cul blanc, avait un sexe épais et court, bandé bien droit. Tous les deux semblaient fascinés par la bite toujours raide de Fulbert. Je poussais ce dernier vers le plus jeune et Ahmed vers le plus âgé. Se mettant à genoux, les deux gars se saisirent des chibres ainsi offerts et entreprirent une savante fellation, alternant d’un sexe à l’autre et parfois goûtant en même temps aux deux vits frémissants. J’en profitais pour m’intéresser à l’arrière-train de Fulbert, dont les deux puissants mamelons d’ébène luisaient devant moi. Ma virilité qui était un peu retombée en position repos, reprit vite de la force et se redressa lentement en dégageant le gland déjà congestionné. Je commençais à le frotter dans le pli interfessier, m’attardant au passage sur l’anus encore bien serré. J’avais vraiment envie de posséder ce grand noir, ici, devant tout le monde et en particulier devant mon valet Ahmed. Ma verge était raide et dure, gonflée de sang. Mon gland posé sur l’œillet, j’appuyais doucement et senti Fulbert pousser son cul vers moi. A ce signal, je ne me retins plus et m’enfonçais d’un trait dans ses entrailles par son sphincter bien distendu et le ramonais vigoureusement. Je voyais à mes côtés Gilles, le grand blond, s’escrimer sur le cul d’Ahmed alors que je sentais son copain Pierre me triturer les fesses et chercher mon petit trou. Je le laissais faire, espérant une bonne sodomisation par ce mec jeune et viril. Je fus encore plus excité lorsque je le sentis s’introduire en moi. Je redoublais de vigueur, défonçant avec violence le cul de mon bel athlète noir, le mien étant profondément travaillé par le sexe long et épais de Pierre. Nous avons finalement trouvé une cadence commune et éjaculé en même temps dans de grands cris de plaisir. Puis les deux jeunes qui avaient bu goulument le sperme de Fulbert et d’Ahmed, se sont activés à nettoyer nos verges et nos culs de leurs langues baveuses.
Satisfaits, nos services trois pièces propres et au repos, nous sommes retournés au bar, boire une dernière bière. Puis Ahmed et moi, laissant les autres poursuivre la soirée, nous sommes rentrés à la maison pour nous coucher, nus et apaisés et nous endormir dans les bras l’un de l’autre.Au petit matin je me réveillais avec, comme souvent, une superbe érection. A mon côté, Ahmed dormait encore, allongé sur le ventre, les fesses à l’air, la tête enfouie dans l’oreiller, un bras pendant hors du lit, l’autre replié vers la tête dont je ne voyais que les cheveux noirs et bouclés. Ce corps de jeune mâle, brun et humide de sueur, abandonné dans mon lit telle une offrande des dieux à ma maturité, accéléra le rythme de mon cœur et fit monter en moi un désir de jouissance immédiate. Me couchant sur Ahmed de tout mon long, ma verge tendue plaquée sur ses fesses chaudes, mes mains sur ses épaules pour le maintenir fermement, je cherchais de mon gland son anus dans le pli fessier. Réveillé, Ahmed tenta de se redresser. Mais de mes deux genoux je maintenais ses jambes écartées et mon membre raide à me faire mal, trouvant son trou du cul, je m’enfonçais en lui d’une brusque poussée de tout mon être. Je le possédais avec rage, avec de grands coups de boutoir. Au bout de quelques minutes, je sentis son corps viril répondre à mon désir et son sphincter se serrer sur mon zob, son cul venant vers moi à mon rythme. Je l’ai inondé de ma semence dans un grand soupir de satisfaction.J’étais prêt pour une nouvelle journée.
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