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Mon jeune valet

Chapitre 4

Gay
Mon jeune valet (4).
Pendant 3 mois, Ahmed et moi avons vécu une parfaite entente. Docile mais chaud, il alternait ses cours à la Faculté, son service à la maison et la satisfaction de mes désirs. Les week-ends étaient particulièrement débridés, lorsque nous restions à la maison, nus comme convenu, lui faisant le ménage et la cuisine, moi le lorgnant avec gourmandise et profitant de ses passages à proximité pour le caresser sur différentes parties de son corps. Cela nous excitait et nos sexes étaient souvent bandés. A la fin du déjeuner, en guise de dessert, nous nous offrions réciproquement de bonnes pipes et dégustions nos liqueurs. Le samedi soir, je le rejoignais dans son lit, où je le possédais avec fougue. Visiblement il aimait cela et lorsque j’étais en forme je le prenais une seconde fois à l’aube, profitant d’une érection matinale.Ce train-train fut soudain bouleversé par un courriel de mon fils Paul, qui m‘annonçait son passage à Paris entre deux avions. Il devait séjourner une semaine chez moi.Je chargeais Ahmed de préparer et nettoyer la 3ème chambre de mon appartement, qui communiquait avec celle qu’il occupait, via la salle d’eau commune. Mon fils ignorant mon mode de vie actuel et mon goût pour les hommes, nous convenions de renoncer provisoirement à vivre à poil, tout en continuant à bannir les sous-vêtements.Mon fils arriva un samedi soir, vers 19h et Ahmed se comporta en parfait étudiant au pair, discret et serviable. Mon fils Paul est un grand gaillard brun, bien bâti, sportif, la quarantaine avantageuse, portant collier de barbe et moustache, aux yeux noirs et au regard vif. Je vis qu’il observait mon jeune Arabe avec attention et un certain étonnement. Lorsque nous fûmes seuls, il m’interrogea sur ce garçon avec un intérêt visible. Mon fils étant toujours célibataire, je m’interrogeais sur cet intérêt soudain pour mon valet Après un dîner servi par Ahmed qui nous avait préparé un couscous, Paul est allé se coucher tôt, car fatigué par le voyage et Ahmed et moi avons fait de même après avoir tout rangé. Nu dans mon lit, je me retournais en cherchant le sommeil. Le dimanche matin nous nous retrouvions dans la cuisine pour le petit-déjeuner préparé par Ahmed. Celui-ci ne portait qu’un peignoir de bain assez court, laissant ses jambes dégagées jusqu’à mi-cuisses. Paul et moi étions également en peignoirs, mais descendants sous les genoux. Visiblement mon fils était fasciné par les jambes sveltes et poilues de mon jeune valet, dont le peignoir laissait parfois entrevoir furtivement son intimité. J’eus un moment l’impression que Paul, assis à côté de moi, avait une érection qui tendait légèrement le tissu éponge de son peignoir.Mon fils étant parti pour la journée visiter des amis, je profitais du moment où Ahmed et moi prenions notre douche, nous savonnant réciproquement, les bites bien tendues, pour inviter mon jeune valet à tester mon fils et au besoin lui offrir son cul. Je voulais voir si Paul était réellement, lui aussi, attiré par les hommes, malgré les diverses maîtresses que je lui avais connu. J’en eu le cœur net pendant la nuit suivante. Réveillé par une envie de pisser, je me rendais aux toilettes et en passant devant la porte de la chambre de Paul j’entendis des bruits et des soupirs, trahissant les ébats d’un couple. J’en eu une brutale érection. N’y tenant plus, je pénétrais dans la chambre d’Ahmed et comme je le supposais, je trouvais les portes de la salle d’eau communiquant avec la chambre de mon fils entrouvertes. Sur les pas d’Ahmed, je me glissais silencieusement par la première porte et gagnait la seconde. Quel spectacle ! La chambre était éclairée, Ahmed couché à plat ventre sur le lit et mon fils étendu sur son corps, lui ramonait le cul avec vigueur. Je voyais ses fesses blanches, bien pleines et poilues, se lever en cadence. Mon excitation était à son maximum et je commençais à me branler frénétiquement, tout en observant mon fils et mon amant en action. Quand, dans un grand cri, ils ont joui, j’ai éjaculé dans ma main et sur la porte derrière laquelle je me dissimulais. Saisissant une serviette de bain, je nettoyais discrètement mon sperme ainsi répandu, la jetais dans le lave-linge et rejoignis ma chambre.Le lundi matin, après le petit-déjeuner partagé comme si de rien n’était et pendant que Paul faisait sa toilette et s’habillait, je téléphonais à mes amis Fulbert, Gilles et Pierre, pour les inviter à dîner le soir même. Pendant que mon fils vaquait à ses affaires en ville, Ahmed et moi préparions cette soirée que je voulais surprenante et ardente.Lorsque Paul est rentré, je l’ai prévenu que nous aurions des amis à dîner et vers 20h, ces derniers arrivaient. Les présentations faites, nous prenions l’apéritif au salon, servis par Ahmed en costume noir, chemise blanche et nœud papillon. Passés à table, j’avais Fulbert à ma droite, Gilles à ma gauche, mon fils et Pierre côte à côte, face à nous. L’arrivée d’Ahmed avec le premier plat fut comme un coup de tonnerre. Il était entièrement nu, sauf le nœud papillon qu’il avait gardé au cou. Visiblement Paul était stupéfait. Le visage devenu rouge, il dévorait des yeux ce corps de jeune Arabe, tout en souplesse et en élégance, mais dégageant une puissante virilité. Quand il servit mon fils, je vis son sexe pendre à hauteur des yeux de celui-ci. Fulbert plaisantait lourdement sur la gêne visible de Paul, qui ne pouvait détourner son regard de cette verge et de ce gland à portée de sa bouche. A la fin du repas, bien arrosé, je proposais une partie de strip-pocker, avec comme prix pour le vainqueur, c’est-à-dire le premier qui se retrouverait à poil, la possession, du corps de mon valet. Paul n’en revenait pas, me regardant avec étonnement. Mais il n’éleva aucune objection et me sembla même émoustillé par ma proposition. De retour au salon, nous nous lancions dans une partie de cartes acharnée. Nous nous retrouvions bientôt tous en slips ou boxers, alors qu’Ahmed, toujours nu, nous servait encore à boire. Toutes les inhibitions, pour ceux qui en avaient encore, étaient tombées. La dernière partie fut longue et très disputée, mais c’est mon fils, peu chanceux aux cartes, qui perdit et dû retirer son boxer noir, révélant à tous une verge longue et épaisse, des couilles poilues et pendantes et un pubis bien garni d’une toison noire. Son vit était déjà en semi érection, presque à l’horizontale. Ahmed se jeta alors à ses pieds et commença par le sucer avidement, manifestement ravi, alors que mon fils se cramponnait à ses cheveux et lui enfonçait son zob dans la gorge. Tandis-que Paul et Ahmed se déchaînaient sous nos yeux, nous nous étions tous débarrassés de notre ultime sous-vêtement. Je m’intéressais à la superbe virilité brune de mon ami Fulbert qui offrait de son côté son puissant cul au blond Gilles, alors que Pierre s’intéressait à mes fesses. La partouze ainsi engagée, dura une partie de la nuit et mon fils Paul en sorti totalement initié aux plaisirs de l’homosexualité, non seulement avec Ahmed qu’il posséda et dont il fut possédé, mais aussi avec mes trois amis, Fulbert, Gilles et Pierre.Au petit matin, lorsque ces amis furent repartis et Ahmed couché dans sa chambre, je rejoignis Paul dans son lit. Excités tous deux à l’idée de fouler aux pieds le tabou de l’inceste, nous nous sommes abandonnés aux joies du corps, nous pénétrant mutuellement et libérant nos semences, pour finir par nous endormir dans les bras l’un de l’autre, totalement épuisés.Ahmed, toujours nu, nous a trouvés ainsi enlacés, à 9 h du matin, en nous apportant notre petit déjeuner au lit. Nous l’avons partagé avec lui et ayant repris des forces, nous avons encore partagé beaucoup plus.

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