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Mon jumeau, mon amour

Chapitre 3

Inceste
Il y a quelques secondes, à peine, j’ai confié mes sentiments à mon frère jumeau… Je suis partagée entre l’envie de connaître son avis sur ce que je viens de lui avouer, et la peur qu’il ne veuille pas de moi et qu’il me rejette.
— Hugo… Parle-moi, s’il te plaît ! Dis-moi quelque chose ! Dis-je pour briser ce silence pesant.— Je… Je… Je ne sais pas quoi dire ! Hésite-t-il. Je ne suis pas sûr de comprendre ce qu’il se passe…— C’est plutôt simple pourtant, souris-je. Je suis amoureuse de toi. J’ai des sentiments pour toi, plus que fraternels. Je suis bien consciente que ce n’est pas commun, j’ai essayé de lutter contre ces sentiments, mais je n’y arrive pas, je n’y arrive plus. — Je… Tu… Depuis quand en es-tu sûre ? Demande-t-il. — Je ne sais pas. Je dirais quelques jours… Depuis que j’ai parlé avec Nicolas…— Tu en as parlé avec notre cousin ? S’étonne-t-il. — Bah oui, tu voulais que j’en parle à qui ? C’est le seul qui sait ce qu’il s’est passé à Bordeaux ! Et il a été de très bon conseil et n’a pas paru étonné par mes confidences…
Je ne veux rien cacher à mon frère. Je prends mon téléphone, ouvre ma messagerie et je tends l’appareil à Hugo pour qu’il lise la conversation avec Nicolas.
Il passe de longues minutes à lire nos échanges, avant d’éteindre et de poser le téléphone à côté de lui.
— Est-ce que Nicolas s’est trompé ? Sur la complicité, la tension physique ?— Je ne sais pas. Dit-il. Je… Océane, je t’aime aussi, tu es ma sœur, ma confidente depuis notre naissance. Je ne veux pas perdre ça !— Moi non plus ! Ajoute-je.— De la complicité entre nous, évidemment, il y en a, entre jumeaux, c’est normal ! Pour la tension sexuelle, il y en avait pendant les vacances, c’est certain ! Je suis sans doute le plus raisonnable des deux et mettre un frein à cette aventure était sans doute le plus convenable et le plus rationnel… — Tu as regretté ? — Je… Je me suis posé la question. Tu m’as beaucoup manqué pendant les vacances. J’ai pensé à toi souvent… Mais ce n’était pas envisageable, ce n’était pas normal de penser à toi ainsi…— Comment ? Tu as pensé à moi…— Je repensais aux vacances, à ta chambre, au vestiaire de la piscine… C’est pour ça que j’ai voulu trouver quelqu’un ! — Cette Léa… Dis-je avec mépris.— Oui, avec Léa, j’ai passé de très bons moments. On s’entendait très bien et au lit, elle était vraiment bien !— Merci, je n’ai pas besoin de détails sur ce point… Je peux te demander un truc ?
— Oui, bien sûr ! Répond-il. — Tout à l’heure, tu m’as fait la description de cette Léa… Blonde, pas très grande, avec une poitrine généreuse… — Oui, je sais ! On dirait que je te décrivais… Et finalement, passer du temps avec Léa me faisait penser davantage à toi ! En sortie ou en soirée, je pensais à toi et quand on couchait ensemble, j’imaginais que c’était toi…
Nous restons un long moment à nous regarder. Ai-je bien compris ce qu’il a dit et sous-entendu ? Hugo partage-t-il mes sentiments ?
— Hugo, tu veux dire que…— Je t’aime aussi ! Bien sûr que je t’aime ! Ajouta-t-il comme si l’entendre dire à voix haute confirmait ses dernières hésitations. Comme toi, j’ai plongé dans les révisions pour oublier ce qu’il s’était passé, mais je n’y arrivais pas, je ne voulais pas oublier, je ne voulais pas t’oublier. Je devais repartir en vacances avec Quentin, mais je voulais te voir…— Qu’est-ce qu’on va faire ? Est-ce qu’on doit le dire aux parents ? — Je ne sais pas, mais on a tout le temps d’y réfléchir. Pour l’instant, j’ai juste envie de t’embrasser !!
Hugo se rapproche de moi, pose sa main sur ma joue et ses lèvres viennent se poser sur les miennes. Après plusieurs baisers, mes lèvres s’écartent et sa langue s’enfonce dans ma bouche pour chercher la mienne. Nous restons une dizaine de minutes à nous embrasser.
Les mains de mon frère se baladent doucement sur mon corps. J’aime cette nouvelle sensation et ma peau frissonne à chaque effleurement de ses doigts. Agrippant d’abord mes seins, Hugo glisse ensuite sur mon ventre et mes cuisses, avant de passer sous ma robe pour malaxer mes fesses.
Je commence à gémir alors que je me joins au jeu, en posant ma main sur son short. Je sens immédiatement une bosse au niveau de son entrejambe. Très excitée, ma culotte s’humidifie en quelques secondes.
— Hugo, je t’aime ! J’ai envie de toi, de te sentir en moi. — Je t’aime aussi, ma belle. Si on allait dans la chambre, on serait plus à l’aise ? — Laquelle, demande-je.— La nôtre ! Sourit-il.
Il se lève et me prend par la main. J’aime cette façon qu’il a de parler de notre chambre. Je le suis et nous entrons dans ce qui hier encore, était ma chambre.
Je suis face à lui et il me dévore des yeux. Sans quitter son regard, je fais glisser les bretelles de mes épaules et ma robe tombe à mes pieds. Je suis en lingerie et je passe mes mains dans le dos pour dégrafer le soutien-gorge, avant de le faire tomber, libérant ma poitrine aux tétons dressés.
Enfin, je fais tomber la culotte, dernier rempart de tissu. Je suis à présent nue devant mon frère. Je me rapproche de lui, l’embrasse et m’agenouille immédiatement.
Face à moi, la bosse dans son pantalon semble avoir pris du volume. Je déboutonne son jean et tire vers le bas pour dévoiler le sexe bandé de mon frère. Il est déjà bien dur. Je pose ma main sur cette tige et commence à le caresser.
Je prends mon temps pour l’exciter. Je dépose d’abord quelques baisers sur son ventre, puis ses couilles et le long de sa queue. Je lèche son sexe doucement, profitant des gémissements de Hugo, que j’attendais depuis si longtemps.
Alors que ma langue remonte son pieu dressé, je tourne autour de son gland puis ouvre la bouche pour accueillir ce sexe tant convoité en moi. Je commence un lent va-et-vient alors que ma langue tourne autour de son sexe.
La queue de mon petit frère s’enfonce dans ma bouche, de plus en plus. En quelques minutes, ce sexe fraternel plonge dans ma gorge, alors que ma langue caresse doucement ses couilles. Hugo gémit encore. Je lève les yeux vers lui et le regarde. Il me sourit et m’avertit qu’il va jouir. Je continue néanmoins à le sucer. J’accélère les mouvements jusqu’à sentir son sexe palpiter et déverser son sperme dans ma gorge.
J’avale les premières gorgées et garde le reste dans ma bouche, jusqu’à la dernière goutte, avant d’avaler sa semence.
— Désolé, je ne voulais pas jouir si vite ! Mais ta fellation était divine, dit-il un peu déçu.— Ne sois pas désolé, j’adore quand tu jouis dans ma bouche ! Et puis, on a toute la soirée… En attendant que tu ne reprennes des forces, tu pourrais t’occuper de ma chatte ! — Oh oui, j’en ai très envie !! Installe toi.
Je m’allonge sur le lit, les jambes écartées. Mon frère s’installe sur le ventre et rapproche son visage de mon intimité. C’est à son tour de me faire languir. Il dépose tendrement des baisers sur mes cuisses, se rapprochant pas à pas de mon sexe. Chaque baiser m’électrise. Je veux sentir sa langue glisser sur mes lèvres.
Soudain, Hugo dépose un baiser sur mon clitoris. Je gémis de surprise et mes doigts glissent dans ses cheveux, comme pour le retenir, qu’il reste là. Et sa langue effleure alors mes lèvres, remonte de mon périnée à mon clitoris.
Sa langue débute un ballet entre mes lèvres intimes, ce qui m’excite de plus en plus. Deux doigts se joignent à la danse et s’enfoncent dans mon vagin. Il va et vient en moi tout en jouant avec mon clitoris, qu’il suce, lèche, titille ou aspire.
Il sait parfaitement comment faire pour me faire plaisir. En quelques minutes, un orgasme me foudroie. Mon corps se crispe et tremble, mais Hugo ne s’arrête pas de me lécher et de me doigter. Je crie mon plaisir.
Lorsque les tremblements diminuent, Hugo se redresse, vient s’allonger à mes côtés et il me prend dans ses bras.
— C’est « notre » chambre alors ? Dis-je en faisant le geste des guillemets.— Tu préférais l’autre ou tu voulais qu’on garde chacun notre chambre ? — Ni l’un, ni l’autre, mon amour ! J’adore quand tu parles de nous comme un couple…
A SUIVRE !
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