La journée a débuté de la plus belle des façons, aux côtés de l’homme que j’aime, dans une ville que je veux visiter depuis plusieurs mois et surtout où personne ne nous connaît. Bref, le début d’un week-end parfait en amoureux… On profite de ce beau dimanche pour visiter Honfleur, ses ruelles pittoresques, ses maisons à colombages et ses petites boutiques. Je suis sous le charme de cette ville que je découvre au bras de mon frère. Hugo semble apprécier la balade et me gratifie régulièrement de baisers. Après une pause déjeuner bien méritée dans l’un des petits restaurants du vieux bassin, nous reprenons notre promenade touristique, sur les traces des plus grands peintres impressionnistes. Toute la journée est comme un rêve. Le lendemain matin, Hugo me propose une autre surprise en quittant notre hôtel, direction Deauville, pour nous baigner sur une plage mythique. En arrivant sur place, nous rejoignons une cabine louée par Hugo pour la journée. L’idée est de nous changer, mais j’ai d’autres envies. Alors que nous sommes en train de nous déshabiller, je me rapproche de mon frère et commence à le caresser. Il ne tarde pas à faire glisser ses mains sur ma peau et me dit : — Toi, tu n’as pas envie de mettre un maillot de bain, je me trompe ? — Non, tu as raison, j’ai plutôt envie de mettre ton sexe dans ma bouche, dis-je en rigolant.— Hummm, l’idée me plaît ! Répond-il. Je m’agenouille et rapproche ma tête de son entrejambe. Ma langue vient caresser son sexe, rejoint par ma main qui masturbe doucement son pénis dressé. Sans attendre, j’ouvre mes lèvres et j’aspire sa queue. Quelques gémissements se font entendre alors que ma main caresse ses couilles et que ma langue tourne autour de son gland… Je continue quelques minutes mes caresses buccales, avant de me retourner, de m’installer à quatre pattes et de dire : - Maintenant, j’ai envie que tu me prennes en levrette ! Hugo s’agenouille à son tour et se place derrière moi. Ses doigts caressent mes fesses et glissent le long de mes cuisses pour remonter vers ma chatte. Un seul passage permet à mon frère de constater mon excitation. Je suis déjà trempée, prête à recevoir son sexe. Et il ne me fait pas languir. Il se positionne et me pénètre d’un coup. Sa queue s’enfonce entièrement et ses couilles viennent claquer contre mon clitoris. Je me retiens de hurler mon plaisir, de sentir ce sexe bandé me pénétrer.
Les mains agrippées à mes hanches, Hugo me prend avec entrain. Il me semble qu’il accélère sans cesse ses va-et-vient. Sa main vient claquer mes fesses à trois reprises à intervalles réguliers. Je suis de plus en plus excitée, mais je veux mener le rythme. Je l’invite à s’allonger par terre, sur une serviette et m’installe à cheval sur son visage. Ma chatte est à quelques millimètres de ses lèvres et sa langue ne patiente pas plus longtemps pour venir me lécher. J’ondule légèrement le bassin pour accentuer mon plaisir déjà à son paroxysme. Mais j’en veux encore plus. Je me penche et m’empare de sa queue, que je suce pour lui redonner de la vigueur. En quelques secondes, mon frère est au garde-à-vous alors que celui-ci joue avec mon clitoris. Mais j’ai encore envie de sentir son sexe en moi. Je me libère de ses douces caresses et viens me positionner en amazone inversée, je m’empale sur son sexe en lui tournant le dos. Son sexe glisse lentement en moi, je sens chaque centimètre de son pieu perforer mes chairs. Je bouge doucement pour reproduire ces sensations divines. Puis je me penche en avant, je m’allonge sur les jambes de mon frère, lui offrant une vue imprenable sur mon cul. — J’adore ce que je vois, dit-il. — Tu aimes quoi ? Voir ta queue coulisser dans ma chatte ou mon cul ? Demande-je curieuse. — Les deux, rit-il. Mais j’avoue que ton petit cul est très excitant… J’ai très envie de le caresser…— Fais-toi plaisir mon chéri. Je t’autorise même à mettre un doigt… Je continue mes va-et-vient et les mains de Hugo caressent mes fesses et se rapprochent doucement de mon petit trou. Après quelques caresses, je sens un doigt s’enfoncer dans mon anus. Mes mouvements sont lents sur le sexe de mon frère. Je veux profiter de chaque sensation de plaisir que me procurent sa queue et son doigt qui remplissent mes deux orifices. Le doigt de Hugo m’encule au même rythme que sa queue dans ma chatte. Je suis au bord de l’explosion lorsque j’entends des râles étouffés derrière moi. Hugo est en train de jouir et je sens son sperme remplir mon corps. Son orgasme entraîne le mien et mon corps se contracte, emprisonnant le phallus fraternel en moi. Je me relève, libérant mon frère de mon étreinte charnelle. Quelques gouttes coulent le long de mes cuisses. Je m’empresse de mettre ma culotte, pour garder près de moi la semence de mon jumeau. — Je ne pensais pas que se mettre en maillot de bain dans une cabine publique pouvait être aussi agréable, dis-je en mettant le haut de mon maillot de bain.— C’est toi qui rends ces moments aussi charmants ma chérie, répond Hugo. Tu as le don pour rendre les choses banales extraordinaires… — Merci mon chéri. Et si on allait se baigner, j’en meurs d’envie… Nous sortons de la cabine en regardant autour, pour vérifier si nos ébats ont alerté les passants, puis nous courrons vers la mer. Je suis la première à entrer dans l’eau, alors que Hugo semble plus frileux et patiente avec de l’eau à mi-cuisses… Je m’amuse de la situation en lui jetant de l’eau. Finalement, il se lance et me rejoint. — Ah, enfin ! J’ai failli attendre, dis-je en rigolant. Il s’approche de moi et m’embrasse. Notre baiser semble durer une éternité. Mes bras autour de son cou, ses mains sur ma taille, nous restons dans l’eau, profitant du soleil, de la chaleur ambiante et des vagues, comme un vrai couple. Je sens alors une bosse se former contre moi… Je ne résiste pas à l’envie de glisser ma main dans son short de bain et de m’emparer de son sexe. — Dis donc, qu’est ce que je sens là ? Murmure-je. — C’est de sentir ton corps contre le mien, ça m’excite toujours… Répond-il. — Je devrais sans doute m’éloigner dans ce cas… Je fais semblant de reculer, mais Hugo me ramène à lui, en me tirant par le bras, avant de m’embrasser de nouveau. Je glisse de nouveau ma main dans le short de mon frère et reprends mon massage, alors que ses mains sur mes hanches, glissent entre mes fesses et ma culotte, pour malaxer mon fessier… — On a fait l’amour, il y a moins de vingt minutes… Comment peut-on avoir envie de remettre ça ? Demande-je.— Je ne sais pas, répond Hugo. L’amour, la passion, l’envie de te donner du plaisir… Je ne me lasse pas de te voir jouir et prendre du plaisir !— Tu as trouvé les mots justes, mon frère chéri. Je ressens exactement la même chose. Je n’ai jamais été aussi heureuse que ce week-end. J’aimerais tellement que ça ne s’arrête jamais… — N’y pense pas tout de suite, ma belle. Profite de la journée, ajoute-t-il en glissant un doigt sur ma fente. Je me mets instantanément à gémir en sentant son doigt titiller mon clitoris et s’enfoncer en moi. Je continue de le masturber et son sexe durcit sous mes doigts. J’aimerais tellement le prendre dans ma bouche, le sentir coulisser en moi. Finalement, nous décidons de stopper nos caresses pour sortir nous allonger sur la plage. Nous restons une partie de la journée, avant que Hugo ne sonne le glas de ce séjour merveilleux. Il est temps de rentrer à Paris. Nous passons par la cabine de plage pour nous changer. J’enfile une petite robe légère et Hugo remet son short et son polo. Sur la route, nous restons silencieux plusieurs minutes. Lui comme moi, nous savons que le retour à Paris ne nous permettra pas de vivre notre amour au grand jour. C’est Hugo qui brise le silence : — Le week-end t’a plu ? Demande-t-il. — Oui, c’était génial ! J’ai adoré Honfleur et la journée à la plage, mais surtout, j’ai adoré partager ça avec l’homme que j’aime. Ne pouvant l’embrasser, je prends sa main posée sur le levier de vitesse et l’approche de ma bouche pour y déposer un baiser. Je repose ensuite sa main sur ma cuisse, près de mon genou… Tout en conduisant, je sens les doigts de Hugo caresser doucement ma peau. Ses gestes sont doux et attentionnés. Imperceptiblement, ses doigts remontent ma cuisse, butent contre le tissu de ma robe, avant de passer en dessous… Encore quelques centimètres et il sera au niveau de l’aine. Je sens mon sexe brûler de désir. Je me retiens pour ne pas gémir. Encore quelques caresses et Hugo parvient au niveau de mon sexe, nu. Surpris, Hugo me regarde. Je lui souris et l’invite à continuer. La main toujours posée entre mes cuisses, mon frère poursuit ses caresses tendres, tout en restant attentif à la route. Lorsque, enfin, je sens ses doigts frôler mon clitoris, je ne peux retenir un râle de plaisir… Mais Hugo se rapproche du périphérique. Il retire sa main à contrecœur et se concentre sur la route. Plus que quelques minutes avant d’arriver à la maison. Au fond de moi, je sais ce qui nous attend en arrivant… Les minutes me semblent interminables. Enfin garés, nous sortons les bagages, nous rejoignons notre immeuble, nous montons les escaliers, j’ouvre la porte de notre appartement et entre, suivi de Hugo, qui ferme la porte derrière lui…
