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Mon jumeau, mon amour

Chapitre 8

Inceste
Nous venons de rentrer d’un week-end formidable en amoureux. Hugo vient de refermer la porte de notre appartement derrière lui. La tension sexuelle est à son comble après le voyage retour.
Je me penche légèrement et pose ma valise au sol. Je le sais derrière moi. Je sais qu’il me veut, je le veux aussi…
Je sens ses mains se poser sur mes fesses et faire glisser ma robe, qui remonte sur mon dos, dévoilant mon postérieur dénudé. Ses doigts glissent entre mes cuisses et caressent mon sexe enrobé de cyprine. Je ferme les yeux et profite de ces sensations exquises.
Toujours penchée, dans une position inconfortable, je me redresse et m’appuie, les mains posées sur le mur, la croupe en arrière, je suis offerte, je veux qu’il me prenne, je veux qu’il me baise, je veux qu’il jouisse en moi…
Hugo le sait bien, il me voit m’installer, prête à être fourrée sauvagement. C’est alors que le sexe bandé de mon frère jumeau me pénètre brutalement. Contrairement à ce qui s’est passé plus tôt dans la journée, je ne me prive pas de hurler mon plaisir en sentant son pieu me prendre violemment.
Hugo me prend avec vigueur. Chacun de ses va-et-vient est lent mais puissant. Il prend plaisir à se retirer presque entièrement, puis à s’enfoncer au plus profond de moi, les mains agrippées à mes hanches.
J’aime sentir mon frère jumeau me posséder ainsi, à ce moment précis, je suis à lui, il peut faire ce qu’il veut de moi. Plusieurs fois, la main de Hugo vient claquer ma fesse, me faisant frémir et gémir de plaisir.
Hugo n’oublie pas pour autant mon péché-mignon et sa main libre malaxe mon sein et pince mon téton.
— C’est tellement bon, Hugo ! Prends-moi encore, fais-moi jouir ! Défonce ta petite sœur, dis-je excitée. — Oh oui, c’est bon !! Répond-il. Tu aimes ça quand je te prends par surprise ? — J’adore ça !! J’ai tellement envie de toi…
Une de mes mains glisse entre mes cuisses et je me caresse le clitoris, accompagnant la pénétration de mon frère chéri. Je sens les mouvements de Hugo s’accélérer. Il sort son sexe de mon puis brûlant pour y replonger instantanément.
Une fois, la queue de Hugo ne trouve pas sa cible et glisse sur ma main. Je la guide vers ma chatte et mon frère reprend ses mouvements. Une autre fois, je sens son sexe glisser et remonter entre mes fesses et chatouiller mon anus.
Je suis tellement excitée, j’ai envie qu’il me prenne par derrière, qu’il m’encule avec autant de vigueur qu’il me baise la chatte. Je pousse sur mes bras pour me libérer temporairement de l’emprise de mon frère.

Il me regarde, se demandant ce que je prépare. Je me mets à genoux, me cambre, les épaules au sol, les mains posées sur mes fesses.
— Viens mon amour, encule-moi ! Dis-je avec autorité.— Tu es sûre ? On n’a pas de lubrifiant… Répond-il. — Absolument sûre ! Ta queue est suffisamment lubrifiée avec ma mouille. Viens écarter ma rondelle.
Hugo s’installe derrière moi, je sens son doigt glisser sur mon anus et s’enfoncer aisément. Puis il plonge sa queue dans mon sexe. Quand il ressort, il vient s’appuyer avec force sur mon petit trou, qui s’écarte autour de son pieu en érection.
Je crie en sentant son sexe m’enculer. Après s’être assuré que je n’avais pas mal et que je ne voulais pas arrêter, Hugo a repris sa progression dans mon cul, s’enfonçant entièrement en moi. Après deux va-et-vient lents et attentionnés, je sens la bête se réveiller, Hugo accélère ses coups de reins dans mon cul, désormais habitué à la présence fraternelle.
Je gémis, je crie, je hurle de plaisir à chaque fois que les couilles de mon frère viennent claquer contre mon sexe, signe que sa queue est entièrement dans mon cul. Je reprends mes caresses intimes, pendant que Hugo m’encule et me gratifie de fessées méritées.
Je sens l’orgasme monter quand soudain, mes muscles se contractent et une sensation de plaisir intense me foudroie. Je jouis et mon anus se resserre autour du sexe de Hugo, qui continue de me sodomiser, jusqu’à jouir à son tour, dans un râle de plaisir.
Son sexe déverse son sperme chaud dans mon anus pendant de longues secondes. Nous restons connectés ainsi avant que Hugo ne se retire doucement. Je me relève, l’embrasse et file dans la salle de bain.
Après une petite toilette intime, je rejoins Hugo dans le salon. Il est assis dans le canapé. Je viens m’installer à califourchon sur lui et l’embrasse fougueusement.
— Merci mon chéri pour ce merveilleux week-end, c’était génial, dis-je entre deux baisers. — Je suis ravi que ça t’ait plu. Moi aussi, j’ai beaucoup aimé. Répond-il en m’embrassant de nouveau.
Nos langues se mêlent pendant de longues minutes avant qu’il ne me demande :
— Tu n’as pas trop mal ? Après ce qu’on vient de faire ? Demande-t-il.— Non, ça va, dis-je. Je crois que j’aime de plus en plus la sodomie, rigole-je. — C’est intéressant… Sourit-il.— Oui, tu ne vas pas t’en plaindre, n’est-ce pas ? Rigole-je.
En entendant mon ventre gargouiller, Hugo se propose de préparer à manger et se dirige vers la cuisine. Je m’apprête à le suivre quand la sonnerie de mon téléphone retentit, annonçant un message, c’est Nicolas :
[SMS,Nicolas,Océane]< Coucou les amoureux ! Ça va ? J’espère que vous passez un bel été ? > Coucou Nico, ça va très bien ! On rentre tout juste d’un week-end au bord de la mer…< Oh les veinards ! C’était bien ? > C’était génial, un vrai week-end en amoureux 😍> Et toi ? Ça va ?< Oui, très bien ! L’été a été plutôt agréable… 😊< Je te contacte pour vous demander un petit service… > Je t’écoute !< Je dois venir à Paris pour trois jours, fin septembre, je me demandais si vous pouviez m’héberger ?> Évidemment, on t’accueillera avec plaisir ! On a même une chambre de libre depuis quelques semaines, Ah Ah !< Super ! Merci, vous êtes adorables. J’ai hâte d’y être. > C’est la moindre des choses qu’on puisse faire pour te remercier de nous avoir ouvert les yeux ! Moi aussi, j’ai hâte d’y être. On se rappelle pour s’organiser en détails ?< Oui, bien sûr ! < Je vous dérange pas plus ! Bonne soirée à tous les deux 😘> Bisous cousin !
Je rejoins Hugo dans la cuisine et lui annonce la nouvelle :
— Nicolas vient de me demander si on pouvait l’héberger pour quelques jours, dis-je.— Tu as dit oui ? Répond-il. — Bien sûr ! Maintenant, qu’on a une chambre d’amis, ce serait bête de ne pas l’utiliser, souris-je. — Tu as raison ! Ce sera quand ? — Fin septembre, on doit se rappeler pour l’organisation. Ça ne te dérange pas ? — Non, évidemment. Ça me fait plaisir de l’accueillir chez nous.
Dans les jours qui précèdent l’arrivée de Nicolas, nous nous organisons, pour que tout soit prêt quand il sera là et qu’il se sente comme chez lui. Un soir, Hugo me demande :
— Tu penses qu’il va se passer quelque chose avec Nico ? Je veux dire… Tu voudrais coucher avec lui ? — Je n’y ai pas vraiment pensé, dis-je après plusieurs secondes de réflexion. Les choses ont changé depuis Bordeaux. Je ne suis plus célibataire, nous sommes ensemble maintenant… Pourquoi ? Ça t’inquiète ? — Je… Non, ça ne m’inquiète pas, je me posais simplement la question. Je sais l’attirance qu’il y a entre vous. — Oui, mais c’est toi que j’aime, mon chéri. Il n’y a rien de comparable entre mes sentiments pour toi et mon attirance physique pour Nico… — Je sais ma belle… Répond-il en hésitant.— S’il doit se passer quelque chose, sache que je ne ferais rien sans ton accord et sans que tu sois là ! Dis-je d’un ton assuré.— Tu parles d’un plan à trois ? Pourquoi pas…— Tu voudrais me partager avec notre cousin ?— On l’a déjà fait… Et c’était plutôt bon, dans mes souvenirs… Dit-il.— C’était même très bon, rigole-je. Et avec l’expérience acquise par derrière ces dernières semaines, ça pourrait être encore mieux !— Ça pourrait être sympa…— Donc, si je comprends bien, tu es en train de me proposer un plan à trois avec un autre homme ? — Oui, c’est ça ! Répond-il assuré.— D’accord ! Mais à deux conditions… Dis-je pour reprendre le contrôle de la situation.— Je t’écoute ma chérie…— D’abord, les plans à trois avec un autre mec, ça ne sera qu’avec Nicolas… — OK, je ne sais pas avec qui on ferait ça à part Nico, mais je suis d’accord. — On ne sait jamais ! On est d’accord sur la première condition, la deuxième condition est différente…— Dis-moi !— Si on fait un plan à trois avec un garçon, ce serait bien d’en faire un… avec une fille ! Il me semble que c’est l’un de tes fantasmes, non ?— Je… Oui, non… Enfin… Balbutie-t-il. Je ne peux qu’adhérer à cette seconde condition, mais pour trouver une fille qui coucherait avec un frère et sa sœur, ça risque d’être compliqué… On n’est pas obligé de mentionner nos liens familiaux… Il faut surtout une fille qui te plaise… On est jeunes, on s’amuse et on fait des expériences… Y’a rien de mal à ça ! On garde l’idée dans un coin de notre tête et un jour, on verra… En tout cas, j’ai très envie de partager ta queue avec une autre fille. Ça m’excite déjà !
Mais ce soir, son sexe bandé n’est que pour moi, mes doigts glissent sur son sexe et je le prends en main. Je me lève et l’invite à me suivre dans notre chambre…
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