Le mercredi 27 septembre, Nicolas sonne à la porte de notre appartement. Hugo n’est pas encore rentré, mais je fais de mon mieux pour accueillir notre hôte. Je lui fais visiter notre petit nid douillet, lui montre sa chambre. — Et voici ta chambre ! Dis-je d’un ton enjoué. — C’est ton ancienne chambre ? Demande-t-il. — Non, c’est celle de Hugo. On a gardé la plus grande pour nous ! — En-tout-cas, merci de m’accueillir pendant quelques jours. J’avoue que ça m’enlève une épine du pied. — Je t’ai déjà dit, tu es ici chez toi. Pendant ton séjour, on va te laisser une clé, comme ça, tu pourras aller et venir comme tu veux. — C’est parfait. Vous êtes adorables ! Hugo doit rentrer tard ? — Non, il ne devrait plus tarder. Il m’avait dit qu’il arriverait vers dix-neuf heures. Tu veux boire un verre ? — Je veux bien une bière, si tu en as une ?— Bien sûr ! Installe-toi dans le salon, j’arrive dans deux minutes. Lorsque je serre les verres, j’entends la clé tourner dans la porte d’entrée. Hugo salue son cousin et se dirige vers la cuisine pour m’embrasser à mon tour. Le début de la soirée est plutôt calme. Nous racontons le déroulé des évènements récents à Nicolas, qui ne se prive pas de commenter ici et là notre récit. L’ambiance est légère et détendue. Il est vrai que l’alcool aide à cette atmosphère décontractée. Les allusions sur ce qui s’est passé à Pâques sont nombreuses. — Je me répète, mais je suis ravi pour vous ! Vous faites un très beau couple et ça sautait aux yeux qu’il y avait quelque chose entre vous, dit Nicolas.— Merci à toi, répond Hugo. Si je ne t’avais pas surpris au lit avec ma sœur, ce qui s’est passé ensuite ne serait sans doute jamais arrivé ! — Donc tu peux remercier ta sœur de m’avoir sauté dessus à la piscine, rigole Nicolas. — C’est vrai, je t’ai sauté dessus, souris-je. T’es plutôt craquant comme garçon ! Si j’étais encore célibataire… Dis-je en regardant les garçons à tour de rôle. — Oui, mais tu ne l’es plus, dit Nicolas. — Elle ne te plaît plus ta cousine, maintenant qu’elle est en couple ? Sourit Hugo. — Arrête, Hugo ! Dis-je. Il est peut-être casé lui aussi…— Non, je ne suis pas en couple, reprend-il. Et pour te répondre cousin, bien sûr qu’Océane est toujours aussi belle et désirable… Mais je ne pourrais rien faire pour briser votre jolie histoire.— Merci cousin pour le compliment, réponds-je. Mais tu fais aussi partie de cette histoire. Tu y as même une place particulière… Ajoute-je en regardant mon jumeau.
Je vois Hugo qui me sourit et me fait un signe de tête. A-t-il lu dans mes pensées ? Sait-il ce que je m’apprête à faire ? Je prends cela comme une approbation de sa part et me lève. Je me rapproche de Nicolas, me penche et l’embrasse. Mes lèvres se posent doucement sur les siennes. Le baiser ne dure que quelques infimes secondes, mais je me sens comme transporté dans la piscine bordelaise, la première fois que ma bouche a frôlé la sienne. Lorsque je me redresse, je vois le regard de Nicolas alterné entre Hugo et moi. Il semble un peu perdu. Nicolas, comme je te l’ai dit, tu as une place à part dans notre vie, à Hugo et moi. Tu es le seul à connaître la vérité, à nous accepter, à nous aimer malgré tout… On en a beaucoup discuté avec Hugo avant ton arrivée. Si tu le désires comme nous, si tu en as envie, on pourrait s’amuser ensemble, profiter de notre attirance mutuelle, pendant que tu es ici ? Après un long silence de réflexion, Nicolas prend la parole : — Je vous adore tous les deux, vous le savez ! Bien sûr, une part de moi a envie d’accepter, mais une autre partie se pose des questions…— Quelles questions ? Demande-je.— Voilà, je n’ai pas envie de briser votre couple, je… — Je t’adore cousin, il y a une attirance indéniable entre nous… Mais mon amour pour Hugo n’a rien de comparable, explique-je. Je l’aime passionnément et sans vouloir être désagréable, avec toi, c’est… purement sexuel, ah ah !— Tu n’es pas désobligeante, ne t’inquiètes pas, sourit-il. Je suis d’accord pour dire que notre attirance est purement sexuelle… Dans ce cas, amusons-nous ce soir !! Nous rigolons et Nicolas m’attire vers lui et m’embrasse. Cette fois, le baiser est plus long, sa langue frôle mes lèvres, puis s’insinue dans ma bouche. Nos langues se cherchent et se trouvent enfin. Je m’installe à califourchon sur mon cousin et je sens ses mains parcourir mon corps et se diriger naturellement vers mes seins, qu’il malaxe avec envie par-dessus le tissu. Ma petite culotte ne tarde pas à s’humidifier, en sentant les caresses de mon cousin, qui fait glisser les bretelles de ma robe sur mes bras, dévoilant ainsi ma poitrine. Ses doigts viennent instantanément titiller mes tétons déjà durcis par l’excitation. J’imagine le sexe de Nicolas durcir sous mes fesses et ça m’excite encore plus. Je me relève et me penche pour dégrafer le pantalon de mon cousin. Il se soulève légèrement, me permettant de faire tomber son pantalon à ses pieds, puis je tire sur son caleçon, dévoilant, comme espéré, un sexe bandé. Il est déjà au garde-à-vous. Je suis en transe. Je ne vois rien d’autre que cette queue bien dure. Je m’agenouille devant Nicolas et ma main caresse son chibre. Je le masturbe et me penche pour le lécher. Ma langue joue avec son sexe, parcourant cette tige de chair, de ses couilles à son gland, avant d’ouvrir la bouche et d’en absorber une partie. Je suis vorace, je suce mon cousin comme si je n’avais pas pris une queue en bouche depuis des semaines. — Ça ne te dérange pas de voir ta copine sucer un autre mec ? Demande Nicolas à son cousin.— Avec un inconnu, je ne sais pas si j’accepterai, mais avec toi, c’est différent. Tu n’es pas n’importe qui, répond Hugo. — C’est très clair entre Hugo et moi ! Tu es et seras le seul homme avec qui j’accepterais de coucher, dis-je avant de reprendre ma fellation.— Tu m’en vois comblé, dit Nicolas en rigolant. Mais dis-moi, ça te fais quoi de la voir me sucer ?— Ce n’est pas déplaisant… Et c’est même plutôt excitant, ajoute Hugo ! — C’est vrai que moi aussi ça m’excite ! Elle suce bien la cousine, dit Nicolas. Enivrée par les mots de mon cousin, j’accélère le rythme de mes va-et-vient sur sa queue. Ses doigts viennent se caler dans mes cheveux et Nicolas semble vouloir ralentir la cadence et s’enfoncer davantage dans ma bouche. Je fais de mon mieux pour satisfaire mon cousin. Je veux le faire jouir, je veux sentir son sperme inonder ma bouche. Focalisée sur le plaisir de mon cousin, je suis comme hypnotisée par ma tâche, en oubliant même mon frère chéri, derrière moi, qui observe la scène. Las d’observer, il se lève et se place derrière moi et je sens ses doigts glisser sur ma culotte mouillée. Je gémis en sentant ses caresses, avant qu’une main ne vienne s’écraser sur ma fesse, me faisant gémir de nouveau. Hugo fait glisser ma culotte le long de mes cuisses et ses doigts glissent de nouveau sur mon sexe nu. Sans attendre, je sens deux doigts s’enfoncer en moi, avant de laisser place à la langue de mon chéri, qui caresse mon sexe et mon anus à tour de rôle. Bien que le sexe de mon cousin me remplisse la bouche, je ne peux m’empêcher de gémir à chaque coup de langue fraternel. Nicolas assure toujours le rythme de mes va-et-vient sur sa bite, quand il relève le regard vers mon frère. — Elle suce encore mieux que la dernière fois ! Dit-il. — Oui, on s’est bien entraînés, plaisante Hugo entre deux coups de langue.— Je ne sais pas si je vais tenir longtemps, elle m’excite trop !— Elle adore qu’on lui gicle dans la bouche et avaler le sperme chaud, Lâche toi et fais toi plaisir, la soirée n’est pas finie, ajoute Hugo. Entendre Hugo prononcer ces mots me surprend et m’excite en même temps, car il a totalement raison. Je veux avaler la semence de mon cousin. Nicolas acquiesce et accélère un peu plus le rythme. C’est à ce moment que je sens le sexe de mon frère me pénétrer et coulisser dans ma chatte. Prise devant et derrière, je suis bloquée. Je ne peux pas m’échapper… Tant mieux, je n’en avais pas le désir. Je veux que mon cousin me baise la bouche et c’est ce qu’il fait. Les coups de reins de Nicolas conjugués aux coups de boutoirs de Hugo m’excitent et soudain, j’obtiens ma récompense, le sexe de Nicolas palpite sur ma langue et plusieurs jets de sperme chaud se déversent dans ma gorge. J’avale les premiers jets et garde les suivants en bouche, jusqu’à ce que la source soit tarie. Je retire alors le sexe de ma bouche et tire la langue pour montrer à mon cousin son offrande, que je finis par avaler avant de dire : — Merci cousin, c’était délicieux ! — Je vois ça, tu n’en as pas laissé une goutte, rigole-t-il. — Je ne voulais pas gâcher, dis-je avec un clin d’œil. Je te laisse quelques minutes de repos, mais je te préviens, j’ai encore envie de plus de sexe ! Nicolas regarde Hugo, toujours en train de me prendre en levrette. — Tu as réveillé une bête de sexe à Bordeaux, rigole mon frère.— Je vois ça… Répond Nicolas. Je ne voudrais pas te décevoir Océane. Quelques minutes de repos et je serais de nouveau en forme…— En attendant, mon chéri, continuuuuueeee…
