Je suis à quatre pattes dans le salon, totalement nue, baisée en levrette par mon frère jumeau chéri et notre cousin est assis sur le canapé, la bite à demi-molle après avoir éjaculé dans ma bouche. Je suis entourée par les deux hommes que j’aime le plus, même s’il y en a un que j’aime plus que l’autre… Hugo, mon frère, est l’homme que j’aime, celui avec qui je vis, avec qui je me vois passer ma vie. Nicolas, mon cousin, est plutôt mon sex-friend… Il y a une attirance sexuelle entre nous qui ne s’explique pas et que je n’ai pas envie d’expliquer. Mais revenons dans le salon. Hugo me pénètre depuis plusieurs minutes et mes gémissements réguliers trahissent mon excitation. Nicolas observe la scène, avant de se lever et de venir parler à l’oreille de mon frère. Ils murmurent dans mon dos. Je ne sais pas ce qu’ils manigancent, mais je ne vais pas tarder à le découvrir, lorsque je sens le sexe de Hugo se retirer. — Ma chérie, Nicolas nous propose de poursuivre dans sa chambre, dit Hugo. — D’accord, je vous suivrais où vous irez, réponds-je. Hugo m’aide à me relever et je les suis dans la chambre d’amis. Hugo m’invite à m’allonger sur le dos et il vient s’installer à hauteur de mon visage. Je ne résiste pas à l’envie de prendre son sexe en main pour lui redonner de la vigueur et quelques secondes plus tard, j’enfonce sa queue bien raide dans ma bouche et commence à le sucer. Nicolas n’est plus inactif. Il s’est installé près de moi et ses doigts parcourent mes jambes et remontent doucement vers mon ventre. Délicatement, il écarte mes jambes et s’allonge entre mes cuisses. Il dépose quelques baisers qui me font frissonner, avant de faire glisser sa langue sur mon sexe. Mon cousin est doué pour donner du plaisir, il en fait une nouvelle fois la démonstration. Sa langue s’insinue entre mes lèvres, caresse mon clitoris puis le titille, l’agace, le pince, le suce… Je hurlerais de plaisir si je n’avais pas le sexe de mon petit frère qui coulissait dans ma bouche. Hugo semble prendre du plaisir, à en croire ses gémissements. Je commence à le connaître et je sais qu’il est proche de la jouissance, ce qu’il me confirme quelques secondes plus tard : — Oh, oui ! C’est bon, je vais venir ma chérie, dit-il. D’un regard et d’un geste du doigt, je l’invite à jouir sur mon visage. Quelques secondes après, je reçois les premiers jets chauds sur le nez, les lèvres et le menton. C’est le moment que choisit Nicolas pour enfoncer un doigt dans ma chatte et me doigter doucement. D’un lapement de langue, je récupère le sperme déposé sur mes lèvres, laissant le reste couler et sécher sur ma peau. Nicolas continue de me doigter, avec deux doigts puis un troisième, alors que sa bouche s’active sur mon petit bouton. Il n’en faut pas plus pour déclencher un orgasme. Je me retiens le plus possible, mais finalement, je hurle de plaisir alors que Hugo lèche mon sein.
Mon corps tremble d’excitation et il faut plusieurs secondes avant que mon plaisir intense ne se calme. N’ayant pas vraiment décidé de s’arrêter en si bon chemin, Nicolas s’est relevé et s’est installé à genoux, toujours entre mes cuisses. Son sexe caresse délicatement mes lèvres. Il perçoit en moi l’envie d’accueillir sa queue au fond de moi et d’un coup, me pénètre. Je gémis de plaisir en sentant son membre s’enfoncer au plus profond de mon intimité et commencer des va-et-vient tout aussi énergiques. Après plusieurs minutes, je veux changer, prendre le dessus… — Nico, allonge-toi. J’ai envie d’être au-dessus… Dis-je. Mon cousin se retire et nous échangeons nos places. Il s’allonge et je m’installe à califourchon sur lui. Son sexe ne met pas plus de cinq secondes à reprendre sa place au fond de mon vagin. Contrairement à Nicolas quelques minutes plutôt, j’ai envie d’y aller doucement… Mes ondulations de mon corps sur celui de mon cousin font que mes chairs intimes coulissent lentement autour du sexe de Nicolas. Ce tempo ne semble pas lui déplaire. Il gémit et en profite pour venir poser ses mains sur ma poitrine. Je relève mes fesses pour presque sortir son membre de ma chatte, avant de redescendre délicatement, jusqu’à m’asseoir sur lui. Je perçois chaque millimètre de la queue qui me pénètre, les sensations sont délicieuses. Il ne me manque que Hugo pour parfaire le moment présent. Il est là, près de moi, il observe la scène, il regarde le sexe de son cousin pénétrer celui de sa sœur, son amante, sa copine ! D’un regard, il me semble que nous nous comprenons. Je veux qu’il se joigne à nous, que lui aussi me pénètre… Hugo se lève et se dirige derrière moi. Sous moi, je vois Nicolas suivre son cousin du regard. Hugo commence par me lécher l’anus alors que la queue de son cousin est à quelques millimètres de là, calée dans mon vagin. Mais ses caresses sont précises. Il poursuit ses caresses avec un puis deux doigts qui s’enfoncent dans mon fondement. Finalement, Hugo place son gland à l’entrée de mon petit trou et exerce une pression pour que son sexe brise cette barrière. Sans difficulté, la bite de mon frère m’encule et vient me remplir un peu plus. Je ne peux retenir un halètement de plaisir quand Hugo commence à s’enfoncer. Mon regard croise celui de Nicolas, qui semble excité par ce plan à trois. — Dis-donc, cousine, tu ne t’es pas entraînée que pour la fellation on dirait, sourit-il.— C’est vrai, depuis nos vacances, j’adore la sodomie ! Han… J’ai découvert une nouvelle forme de plaisir… Han, han… Dis-je entre deux va-et-vient. Je continue mes mouvements sur la queue de Nicolas et Hugo m’encule avec envie. Mon jumeau sait comment me faire plaisir, en alternant mouvements lents et pénétration profonde. Lorsqu’il se retire, il me gratifie d’une fessée avant d’enfoncer de nouveau son sexe au fond de mon cul. Je profite de la position pour embrasser mon cousin, qui entre deux baisers me demande : — Je pourrais remplacer Hugo ? Dit-il. — Bien sûr, réponds-je entre deux gémissements. — On échange nos places si tu veux ? Demande Hugo Les garçons ne tardent pas à échanger leurs places et à retrouver la chaleur de mon corps. Hugo est allongé sous moi. Son sexe s’enfonce doucement en moi. Ses mains agrippent et malaxent mes seins pendant que je me penche pour l’embrasser. Le cul tendu vers le haut, j’offre un spectacle des plus érotiques à mon cousin, qui pose ses mains sur mes fesses et place son gland sur ma rondelle, déjà ouverte. Il fait glisser sa queue dessus avant de pousser sa queue en moi. Je sens mes chairs s’écarter pour accueillir son pieu. Nicolas progresse doucement et pousse son sexe jusqu’à sa base, puis revient en arrière... D’abord doux, ses mouvements s’accélèrent, ses coups de reins se font plus vifs, plus forts, plus profonds. Il me sodomise et ça m’excite, d’autant que Hugo poursuit ses va-et-vient en moi et joue avec mes seins. Je gémis de plus en plus fort, prise en sandwich par mon frère et mon cousin. Je suis au bord de l’orgasme, tous mes sens sont en alerte maximum. Je ne peux plus, je ne veux plus me retenir. Je hurle mon plaisir, je jouis en embrassant mon frère. Mon corps se crispe de nouveau, mes muscles se contractent, mon sexe et mon anus se resserrent autour des sexes masculins… Hugo est le premier à me rejoindre dans cette extase. Il gémit et déverse son sperme au fond de moi. Je sens sa queue palpiter à chaque fois qu’un jet jaillit de son sexe. Nicolas poursuit encore quelques secondes ses va-et-vient avant de se retirer et d’éjaculer sur mes fesses et mon dos. Nous mettons, tous les trois, de longues minutes à reprendre nos esprits. Je suis la première à me lever pour filer sous la douche. Je laisse les deux garçons allongés sur le lit. Lorsque je sors de la salle de bain, quelques minutes plus tard, j’entends les garçons discuter et rire dans la chambre. — On s’amuse ici, dis-je en entrant dans la chambre.— Tu ne voudrais pas qu’on soit triste non plus, rétorque Nicolas. — Bien sûr que non, souris-je. Je m’approche d’eux, grimpe sur le lit, embrasse Nicolas puis Hugo. Je tire mon frère par le bras et dis : — Il se fait tard, vous m’avez fatiguée ! Tu ne nous en veux pas Nico, si on t’abandonne ?— Non ! Pas de soucis, répond-il. — Super, j’ai besoin de mon frère chéri pour m’endormir ! Je ne m’en passe plus, rigole-je en me levant.— Bonne nuit Nico, dit Hugo en sortant de la chambre.— Bonne nuit les amoureux, lance notre cousin…
