La fin de journée est assez calme pour cette veille de réveillon du nouvel an. Les parents de Nicolas rentrent du travail vers 19 heures. Avec Aurélie, on propose de préparer le dîner. Après le repas, je discute avec Aurélie et Céline. On parle de nos vies amoureuses respectives. Ma tante est bien loin de s’imaginer que sa nièce et sa belle-sœur couchent avec son fils. Aurélie reste évasive, expliquant préférer rester un peu seule, suite à sa séparation récente. De mon côté, je dis que j’ai un copain depuis quelques semaines, qu’il est très gentil et que j’espère que ça pourra devenir sérieux. Bien sûr, je pense à Hugo, mais je ne vais pas leur dire que j’aime mon frère. Alors j’invente à la hâte un certain Olivier, beau brun de 23 ans… Après un peu plus de deux heures à discuter, je prends congé pour aller me coucher, prétextant la fatigue après la piscine… Je rejoins l’étage et la chambre que je partage avec Hugo. La pièce est silencieuse. J’entends les garçons discuter et rire dans la pièce d’à côté. De temps en temps, des emportements m’indiquent qu’ils jouent à un jeu vidéo. Je préfère les laisser seuls et me reposer. Je me déshabille, file en sous-vêtements dans la salle de bain pour une petite toilette personnelle. Quand je ressors, je suis surprise par Aurélie, qui se dirige vers sa chambre. — Oh ! Tu m’as fait peur !! Dis-je surprise. — Désolée, ce n’est pas volontaire ! Répond-elle. — Je me doute. Excuse-moi aussi, pour ma tenue…— Tu n’as pas à être désolée ! Tu es très jolie, Océane !! Ajoute-t-elle en me détaillant du regard.— Merci ! Bon, je ne vais pas rester à moitié nue dans le couloir… Bonne nuit !— Bonne nuit, conclut-elle. J’entre dans ma chambre et retire mes derniers vêtements. Je me glisse dans le lit et je tombe rapidement dans les bras de Morphée. Lorsque je sens des doigts parcourir doucement ma peau et le parfum de mon frère, j’ouvre doucement les yeux. Il est à côté de moi et me regarde amoureusement. — Il est quelle heure ? Demande-je. — Il est bientôt une heure du matin, répond Hugo. — Vous avez joué longtemps avec Nicolas ! — Oui, on s’est bien marré. On pensait que tu viendrais…— J’étais vraiment fatiguée. La preuve, j’ai dû m’endormir aussitôt allongée ! — Ça m’a fait pareil cet après-midi ! Tu préfères peut-être que je te laisse dormir ?— Non, ça va ! Et puis, j’ai des choses à te raconter, sur Aurélie et Nicolas…
Je me redresse un peu et commence à raconter la discussion que j’ai eue avec Aurélie, un peu plus tôt. Je lui retranscris tout ce que la tante de Nicolas m’a dit, dans les moindres détails. Très attentif, Hugo se déshabille et me rejoint dans le lit. Il écoute et pose quelques questions. Tout en parlant, je vois le sexe de mon frère durcir et se tendre. Et je dois avouer que ça m’excite aussi. Ma main se pose sur la queue de Hugo et doucement, je commence à le caresser, tout en lui racontant comment les deux amants avaient couché ensemble pour la première fois. Les mains de mon frère parcourent mon corps pendant que je conclus l’histoire… — Et voilà, tu sais tout. Dis-je. — Sacré veinard, le cousin, commente-t-il.— Comment ça ? Tu voudrais être à sa place ? Rétorque-je jalouse. — Non, je n’ai aucune raison d’aller voir ailleurs, j’ai la plus belle femme dans mon lit !! — Ouais, rattrape-toi !— Mais, je suis content pour lui. Aurélie a l’air d’être quelqu’un de bien…— Reste à savoir s’ils iront plus loin… Aurélie semblait avoir des scrupules, mais en même temps, je pense qu’elle aimerait recommencer. — Je pense que Nico aussi. On en a discuté un peu en jouant à FIFA… — Tu me raconteras tout ça plus tard… Pour l’instant, j’ai envie de toi, mon amour. Hugo s’allonge sur le dos et je m’installe à califourchon sur lui. Doucement, je glisse pour rejoindre son bassin et ma langue lèche son sexe dur. Son gland coulisse sur ma langue, pénétrant ma bouche délicatement, pendant que d’une main, je caresse ses couilles. Hugo gémit et m’incite à continuer mes caresses. Ses mains viennent caresser mes cheveux… Après plusieurs minutes, je remonte doucement vers le visage de mon jumeau, parsemant son corps de baisers, jusqu’à sentir ses lèvres sur les miennes. Plus bas, mes lèvres intimes caressent le sexe bandé. D’un mouvement, Hugo me pénètre. J’embrasse mon frère pour ne pas hurler mon plaisir, de sentir cette queue s’enfoncer en moi. — Hummm, c’est tellement bon ! J’attends ça depuis cet après-midi… Entre la piscine et les confidences d’Aurélie, j’ai tellement envie…— Moi aussi, j’aurais tellement voulu te rendre le plaisir que tu m’as donné à la piscine… — Ne t’inquiète pas mon chéri, dis-je en l’embrassant. On ne pouvait pas… Et je savais que tu te rattraperais plus tard !— D’ailleurs, si plus tard… C’était maintenant ? Il me retourne et je me retrouve allongée sur le dos. Hugo est entre mes cuisses et ses baisers abandonnent mes lèvres pour descendre vers mes seins, mon ventre et mon sexe. Hugo me lèche avec douceur, sa langue glisse entre mes lèvres, s’attardant sur mon clitoris puis redescendant plus bas, jusqu’à ma rondelle. Alors que je me retiens de gémir pour ne pas réveiller la maison, il me semble entendre des gémissements. Je tends mon oreille pour être sûr que je ne rêve pas. Il me semble que ça vient de la chambre d’à côté, de la chambre de Nicolas. — Mon chéri, je crois qu’on n’est pas les seuls à prendre du plaisir, murmure-je en faisant signe d’écouter. — Ça vient de chez Nicolas, non ? — Oui ! Soit il regarde du porno… Soit Aurélie s’est glissée dans son lit ! Souris-je. — Tu crois ? Répond-il entre deux léchouilles.— Oui, je pense que notre discussion de cet après-midi l’a convaincu. Savoir mon cousin et sa tante en train de prendre du bon temps à côté me ravit, et m’excite aussi. J’incite Hugo à me rejoindre pour me pénétrer. J’écarte les jambes au maximum, je veux sentir son sexe coulisser en moi, sentir ses couilles claquer à chaque va-et-vient, en écoutant nos voisins gémir. Les lèvres de Hugo ne quittent pas les miennes, étouffant nos gémissements réciproques, pendant que mon frère me pilonne. Puis il me demande de me mettre en levrette. J’obéis et m’installe à quatre pattes, les jambes écartées, les épaules posées sur le matelas, je suis offerte à mon frère. Hugo caresse mes fesses, écarte mes deux globes et me pénètre. Malgré moi, un gémissement s’échappe, se mêlant à ceux d’Aurélie et Nicolas, dans la chambre voisine. J’enfouis mon visage dans un oreiller, alors que Hugo me pénètre avec fougue. Je ne tiens pas plus longtemps et le plaisir m’envahit. Je jouis et mon jumeau se libère à son tour. Son sperme inonde mon vagin. Il se retire et s’allonge à côté de moi. Après un long baiser, nous prenons notre position nocturne et écoutons les chants orgasmiques de l’autre côté du mur… “Oh oui, c’est bon Nico”... “Continue ma belle”... “Aurélie, je viens”... Nicolas a ensuite poussé un long râle de jouissance et après plusieurs secondes de calme, c’est au tour d’Aurélie de jouir. J’imagine alors Nicolas entre ses cuisses en train de lécher la chatte de sa tante, le corps recouvert de sperme. Je finis par m’endormir, blottie dans les bras de mon amoureux. Je me réveille au petit matin, à cause d’une envie pressante. Il doit être à peine 5 heures. J’enfile un t-shirt de Hugo et file dans la salle de bain. En ressortant, je vois la porte de la chambre de Nicolas s’ouvrir et Aurélie sort, complètement nue. Dans la pénombre du couloir, ses formes sont suggérées, mais très sensuelles. Nous nous croisons. Je lui souris et elle me fait un clin d’œil en mettant son index devant sa bouche. Avant de rentrer dans ma chambre, je me retourne pour admirer une nouvelle fois les formes parfaites de la tante de mon cousin. Je n’ai jamais eu d’attirance particulière pour une femme, mais Aurélie éveille en moi une curiosité… A SUIVRE
