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Mon jumeau, mon amour

Chapitre 17

Inceste
Lorsque je me réveille, la lumière extérieure illumine la chambre et une douce sensation me parvient de mon entrejambe. La langue de Hugo lèche mes lèvres et s’amuse avec mon clitoris.

Je gémis doucement ce qui lui fait relever les yeux vers moi. Il arrête alors ses caresses et me dit :
— Bonjour ma belle, tu as bien dormi ? — Très bien ! Mais, s’il te plait, arrête de parler et continue. Réponds-je en posant mes mains dans ses cheveux et en plaquant son visage sur mon sexe.
Les coups de langue de mon frère reprennent. Il n’omet aucune partie de mon intimité, léchant avec envie de mon clitoris à ma rondelle. Je gémis de plaisir, mais j’essaie de me retenir pour ne pas éveiller les soupçons de nos voisins de chambre.
Et les gémissements deviennent de plus en plus difficiles à contenir, tant Hugo est délicat et doué avec sa langue. Quand il ajoute ses doigts à l’affaire, deux s’occupant de mon vagin et le troisième coulissant dans mon cul, il ne me faut que quelques minutes pour jouir. J’enfonce alors ma tête dans l’oreiller pour retenir au maximum mes cris de jouissance.
Lorsque la pression retombe et que Hugo s’allonge à côté de moi, je l’embrasse fougueusement avant de glisser pour obtenir ma collation matinale. Le sexe déjà bandé, je lèche les couilles de mon jumeau avant de remonter lentement le long de sa queue, jusqu’à son gland. Telle une glace appétissante, je savoure chaque instant.
Son sexe pénètre ma bouche pour la première fois, ma langue tourne autour, puis commence les va-et-vient, entrecoupés de coups de langue. Hugo semble apprécier les caresses, autant que moi, les siennes, quelques minutes plus tôt.
En quelques minutes, mon chéri est au bord de l’orgasme. Comme à chaque fois, il m’indique qu’il va jouir, mais ce matin encore, je ne redresse pas la tête. Je continue de le sucer, jusqu’à sentir son sexe palpiter entre mes lèvres et libérer son flot de sperme chaud sur ma langue, qui s’écoule ensuite dans ma gorge.

Je m’allonge ensuite à côté de mon frère et il me prend dans ses bras. Je profite alors pour raconter ma rencontre nocturne.
— Je me suis levée cette nuit, devine qui j’ai croisé en revenant dans la chambre ? Dis-je. — J’ai bien une idée, sourit Hugo. Je dirais… Aurélie !— Bravo mon chéri ! Elle sortait de la chambre de Nicolas… Entièrement nue ! — Je suppose qu’elle n’était pas en train de faire une crise de somnambulisme ?
— Oh non ! Elle était bien réveillée ! Malgré la pénombre, je l’ai bien vue me faire un clin d’œil et mettre un doigt sur sa bouche, en guise de “C’est un secret”.— Tu viens donc de me confier un secret… Rigole-t-il. — Oui, mais je n’ai aucun secret pour toi, tu le sais bien. D’ailleurs… — D’ailleurs quoi ? S’étonne-t-il. — Je ne sais pas, c’est bizarre… Mais voir Aurélie entièrement nue cette nuit, enfin deviner son corps dénudé dans l’obscurité, disons que ça m’a excité ! — Oh !! Ma sœur aurait-elle des attirances pour le sexe féminin ? Sourit-il en m’embrassant. — Je… Je ne sais pas, dis-je hésitante. Jusqu’à cette nuit, j’aurais dit non sans aucun doute, mais je ne sais pas si c’est la discussion d’hier soir, l’entendre coucher avec notre cousin dans la pièce d’à côté ou de l’avoir vue nue… J’ai comme une envie soudaine d’aventure…— Je vois, répond Hugo. — Enfin, ne crois pas que je veux… Tu me combles de plaisir, mon chéri ! Je t’aime et je n’irais jamais voir ailleurs ! Dis-je choquée par mes propos.— Je sais ma chérie, ne t’inquiète pas. Et je te fais confiance. Si tu as envie d’une expérience avec une fille, je ne vais pas t’en empêcher ! — Merci mon amour ! Du fantasme à la réalité, il y a un pas… — Oui, il faudrait surtout qu’Aurélie soit consentante et le veuille aussi, rigole-t-il. — Tu marques un point, souris-je. Bon, il faudrait se lever…— Oui, debout ! Ordonne-t-il.
Lorsque nous entrons dans la cuisine, il n’y a que Nicolas, qui est en train de se préparer un café.
— Salut les amoureux, vous avez bien dormi ? Demande-t-il.— Oui, très bien, répond Hugo. — Oui, mais on a quand même eu du mal à s’endormir avec vos gémissements, souris-je. — Ah, vous avez entendu ? Dit Nicolas. — Oh oui ! Rigole-je. Et je pense qu’Aurélie a aimé, si j’en juge le sourire qu’elle avait en sortant nue de ta chambre au petit matin !
Nicolas rougit, puis il nous raconte la nuit. Il semble que les deux amants aient remis ça dans la nuit, avant que sa tante ne regagne sa chambre. Nous terminons de boire notre café quand Aurélie se joint à nous. Malgré le froid extérieur, la jolie brune porte une nuisette plutôt estivale, qui a le mérite de mettre ses formes en valeur.
La discussion est plutôt banale, avant que Hugo ne monte prendre sa douche et que Nicolas ne quitte à son tour la pièce pour aller dans sa chambre. Une fois seule avec Aurélie, je ne tourne pas autour du pot :
— Alors, la nuit a été bonne ? Souris-je. — Délicieuse, rigole-t-elle. — Finalement, qu’est-ce qui t’as décidé ? Demande-je curieuse.— Toi, ce que tu as dit hier soir… Et le SMS de Nicolas qui me disait qu’il avait envie de moi… — Oh le coquin !! Rigole-je. — Est-ce que j’aurais sauté le pas sans son message, peut-être pas. Mais si les envies étaient partagées, pourquoi ne pas se laisser tenter ?— Et tu regrettes ce matin ? — Non ! Pas du tout. C’était trop bon. J’ai joui plusieurs fois dans la même nuit, ce qui, entre toi et moi, ne m’étais jamais arrivé. Nicolas a vraiment un don pour trouver le petit truc !— T’as envie de recommencer ? Demande-je.— Je ne sais pas… — Ça, ça veut dire oui ! Rigole-je.— Oui, peut-être, sourit-elle à son tour.
Nous continuons à parler de la nuit passée et finalement, je lui demande :
— Pourquoi tu n’es pas restée dormir avec lui ? — Je ne sais pas… On s’est endormis, mais je ne voulais pas être surprise dans son lit ou que ça soit gênant au réveil, dit-elle. — Pour être surprise, c’est raté ! Te balader nue en pleine nuit n’est pas un gage de discrétion, rigole-je. — Oui, heureusement que c’était toi et pas Hugo !— Oh, je pense qu’il aurait apprécié ce que j’ai vu… Autant que moi ! Tu es vraiment magnifique Aurélie ! — Merci Océane. J’avoue que je n’imaginais pas me retrouver devant toi dans cette tenue, sourit-elle. Heureusement, qu’il faisait sombre !— Oui, heureusement, dis-je d’un ton déçu.
Cette dernière journée de l’année se passe tranquillement. En fin d’après-midi, j’aide Aurélie et Céline en cuisine, pendant que les garçons préparent la table. Puis nous allons nous préparer.
Céline a opté pour une robe plutôt classique, longue et bleu marine, alors que j’opte pour une robe charleston noire, arrivant à mi-cuisses et un décolleté droit, Aurélie sort de sa chambre dans une robe bordeaux, tombant au genou, mais avec une fente remontant sur la cuisse gauche et un décolleté plongeant. La tante de Nicolas est vraiment dans la séduction ce soir.
Ces messieurs se sont mis sur leur 31 (c’est le jour, en même temps !), privilégiant le pantalon de costume noir et la chemise blanche. Jérôme porte une cravate noir et Hugo un nœud papillon assorti à ma robe. Seul Nicolas a privilégié le côté décontracté, sans accessoires.
La soirée est festive et gourmande ! On mange bien, on rigole, on joue et surtout, on boit du champagne ! Aux douze coups de minuit, tout le monde s’embrasse puis reprend ses discussions interrompues quelques secondes plutôt.
Vers 3 heures du matin, Jérôme et Céline abandonnent et vont se coucher. Il faut dire qu’ils travaillaient aujourd’hui, contrairement à nous quatre, qui avons fait la grasse matinée. La soirée se poursuit donc à quatre pendant une petite heure, avant qu’Aurélie n’abdique et ne monte se coucher. J’accompagne les deux garçons qui montent dans la chambre de Nicolas, jouer aux jeux vidéo. Je les regarde jouer, mais après quelques minutes, je m’excuse auprès des garçons et me lève pour aller aux toilettes.
Lorsque je m’apprête à ouvrir la porte de la salle de bain, celle-ci s’ouvre sur Aurélie.
— Décidément, ce couloir est un lieu de rencontre prisé ! Sourit-elle.— Oui, surtout quand on est en petite tenue, dis-je en retour.
Car la belle brune a laissé tomber sa robe pour ne garder que ses sous-vêtements. Un ensemble bordeaux, de la couleur de sa robe.
— Excuse-moi, dit Aurélie. Je te promets, je ne suis pas exhibitionniste. — Ne t’excuse pas, je dois avouer que tu es très belle et que te croiser ainsi dans le couloir est très agréable !
Suis-je allée trop loin ? Au pire, si elle est choquée, je mettrai ça sur le coup de l’alcool ingurgité dans la soirée… Mais Aurélie me surprend presque en se rapprochant de moi et en m’embrassant.
Je reste quelques secondes figée, si bien que la tante de Nicolas se recule, mais je réagis aussitôt pour la retenir et lui rendre son baiser. Comme je m’y attendais, ses lèvres sont très douces, et ses gestes aussi hésitants que les miens.
Lorsque nos lèvres se séparent, Aurélie a comme un geste de recul.
— Je… Je… Balbutie-t-elle.
Sans savoir ce que je fais ou vais faire ensuite, je me contente de lui prendre la main et de la guider vers sa chambre. Je repousse la porte derrière moi et nous reprenons nos baisers.
— Océane, je ne suis pas… — Moi non plus, souris-je. Mais depuis hier, j’ai comme une voix intérieure qui m’attire vers toi… Je ne sais pas l’expliquer, je sais juste que j’ai envie d’essayer avec toi.— Je… — Si tu ne veux pas, on peut arrêter tout de suite !— Non. Comme toi, je ne sais pas l’expliquer, mais j’en ai envie aussi.
Je rapproche mes lèvres de celles d’Aurélie. Je sens sa langue caresser mes lèvres et se frayer un passage pour chercher la mienne…
Pour la première fois, mes mains parcourent le corps d’une autre femme, lentement et sensuellement et les mains d’une femme s’aventurent également sur mes seins et mes fesses.
A SUIVRE
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