Je rapproche mes lèvres de celles d’Aurélie. Je sens sa langue caresser mes lèvres et se frayer un passage pour chercher la mienne… Pour la première fois, mes mains parcourent le corps d’une autre femme, lentement et sensuellement et les mains d’une femme s’aventurent également sur mes seins et mes fesses. Sans quitter les lèvres d’Aurélie, j’essaie de dégrafer son soutien-gorge, libérant sa belle poitrine, aperçue dans la pénombre de la nuit précédente. Le maintien retiré, j’abandonne les lèvres de mon amante, pour découvrir la douceur de ses seins. Mes lèvres glissent sur sa peau jusqu’à son mamelon. Ma langue entre en scène et s’amuse avec son téton qui se dresse instantanément. Je semble être sur le bon chemin à entendre les petits gémissements qui s’échappent de la bouche d’Aurélie. Je continue et ma partenaire commence à défaire ma robe. En quelques secondes, je me retrouve à moitié nue. Il ne nous reste plus que nos culottes, comme dernière barrière. Tout en léchant ses seins, mes mains s’aventurent vers ses hanches et baissent ce dernier rempart de tissu. J’invite alors Aurélie à s’allonger sur le lit. J’ai l’impression d’être dans un film et de voir la scène au ralenti. La jolie blonde s’allonge nue sur son lit, ses seins se balancent au gré des mouvements de son corps, ses jambes s’écartent naturellement, m’offrant une vue inédite sur l’intimité d’une femme. Après avoir abaissé mon string, je monte sur le lit et doucement rejoint Aurélie. De mes lèvres, je caresse ses cuisses, puis remonte sur son ventre, ses seins, son cou, pour enfin l’embrasser. Ses doigts parcourent mon dos, mes bras, mes seins, m’électrisant à chaque passage. Je descends ensuite sur ses seins dardés d’excitation. Quelques coups de langue et je poursuis mon chemin vers son intimité, l’objet de ma curiosité. Quelques baisers sur son pubis imberbe et me voici face à ce sexe féminin désiré. Je prends quelques secondes pour l’observer. Mes doigts glissent doucement entre ses lèvres déjà humides. Je regarde Aurélie, qui me sourit. Je rapproche mon visage de ses lèvres et d’un coup de langue, je lance l’assaut. Elle ne tarde pas à gémir, alors que ma langue glisse sur sa vulve et joue avec son clitoris. Je reste plusieurs minutes à lécher, embrasser, titiller, caresser le sexe d’Aurélie, avec ma langue, mes lèvres et mes doigts. Aurélie me regarde la caresser, lui procurer un plaisir inédit. Ses mains caressent ses seins, puis passent dans mes cheveux dans un ballet érotique. Lorsque deux doigts la pénètrent en même temps que ma langue tourne autour de son bourgeon, Aurélie ne peut réprimer un gémissement plus fort que les autres. Je pense alors à Hugo et Nicolas, dans la pièce voisine. Ils l’ont sûrement entendu. Je continue mes caresses en doigtant son sexe. Elle mouille de plus en plus, à mesure que son excitation augmente. J’accélère aussi la vitesse de mes va-et-vient en elle. Ma langue joue encore avec son clitoris. Je retire mes doigts et ma langue glisse entre ses lèvres intimes. Je pousse la caresse jusqu’à son périnée et soudain, j’hésite. J’aime que Hugo me caresse mon petit trou avec sa langue, mais comment imposer ça à Aurélie. Je ne sais même pas si elle a déjà expérimenté ce passage…
Je remonte doucement ma langue vers son clitoris. Un doigt reprend ses va-et-vient dans son sexe, accompagné par des mouvements de bassin d’Aurélie. Mon index s’enfonce entre ses chairs et ma langue s’active sur son bouton. Deux minutes plus tard, je sens les cuisses d’Aurélie se contracter et se resserrer autour de moi. Elle jouit, la tête enfouie dans son oreiller. Je la laisser profiter de ce plaisir saphique. Doucement, je remonte vers son visage, l’embrasse et m’allonge à côté d’elle. — Whaooo, c’était génial ! Dit-elle. J’ai la pression maintenant…— Pourquoi ? Dis-je surprise. — Je vais avoir du mal à te donner autant de plaisir que tu viens de m’en offrir.— Je suis sûre du contraire ! Mais le meilleur moyen de le savoir, c’est d’essayer, ajoute-je en l’embrassant. Nos langues se frôlent de nouveau pendant plusieurs secondes, puis Aurélie s’aventure entre mes seins. Un frisson me parcourt en sentant sa langue humide tourner sur mon téton et un gémissement m’échappe. Sait-elle que j’adore cette caresse ? En tout cas, mon petit cri de plaisir a dû la mettre sur la voix, car elle s’attarde sur mon sein, provoquant d’autres gémissements. Je la regarde jouer avec ma poitrine et elle me lance de petits regards plein d’envie. Après plusieurs minutes de plaisir, Aurélie poursuit sa descente vers mon sexe, léchant mon ventre, remontant vers mes seins, parsemant mon ventre de baisers jusqu’à mon pubis, puis retournant vers ma poitrine. La jolie blonde joue avec mon désir et j’aime beaucoup ça. Sa bouche virevolte entre mon ventre et mon buste et sa main caresse délicatement ma cuisse, remontant doucement vers mon sexe. J’entre ouvre les jambes pour laisser libre court à son imagination, mais elle continue de me faire languir. Ses baisers se rapprochent de mon sexe, tournent autour… Enfin, son doigt se pose sur mes lèvres, glisse sur ma vulve humide et sa langue se pose sur mon intimité. Alors que je désire sa langue sur ma chatte, elle remonte une nouvelle fois pour embrasser mes seins, remonte encore et m’embrasse… — Je me débrouille comment pour l’instant ? Demande-t-elle. — Très bien ! Mais…— Tu voudrais… peut-être… que je m’attarde… un peu plus… entre tes cuisses… Dit-elle en déposant des baisers sur mon corps. Lorsqu’elle termine sa phrase, elle est entre mes jambes, le visage à quelques centimètres de mon sexe. — Tu as tout compris !! J’ai tellement envie de… Sans me laisser finir ma phrase, Aurélie lèche ma chatte de bas en haut, sans me lâcher du regard. Elle me sourit, elle plonge en moi. Sa langue s’active, joue et titille mon clitoris, pendant que ses doigts me caressent doucement. Je la sens hésiter avant d’enfoncer un doigt entre mes chairs. Quelques va-et-vient suffisent pour l’inciter à glisser un second doigt dans mon vagin, pendant qu’Aurélie me lèche avec délicatesse. Si j’adore la façon dont Nicolas et Hugo s’occupent de mon intimité habituellement, je dois dire que la douceur d’Aurélie est tout aussi agréable. Mon amante, aussi néophyte soit-elle, a un don pour donner du plaisir à une femme ! Je gémis à chaque coup de langue et à chaque va-et-vient. J’imagine mes deux amants à côté en train de nous écouter. — Hummm… Continue, s’il te plaît ! C’est tellement bon ce que tu me fais ! Dis-je excitée. Aurélie continue ses caresses avec sa langue et ses lèvres. Ses doigts alternent les mouvements. Ils frôlent doucement mes lèvres, puis s’enfoncent en moi. Ses caresses durent plusieurs minutes avant que je ne sente ses doigts caresser mon petit trou. Sans difficulté, ma partenaire enfonce son doigt dans mon cul alors que sa langue accélère le rythme de ses caresses sur mon sexe. Mes gémissements sont plus bruyants, agrémentés de paroles coquines, pour ne pas dire plus. “Lèche-moi encore”... “Oui, j’aime sentir ton doigt coulisser dans mon cul”... “Accélère”... Je guide Aurélie vers mon extase et elle y parvient, alors que tout mon corps tremble de plaisir. Me laissant reprendre doucement mes esprits, Aurélie couvre mon corps de baisers et s’allonge à côté de moi. — Tu vois, tu n’avais pas de craintes à avoir, tu t’es très bien débrouillée ! Souris-je. — Oui, on dirait ! Rigole-t-elle. Tu m’as bien guidé à la fin.— C’était tellement bon, je ne voulais pas que tu t’arrêtes !— Je n’en avais pas l’intention… Tu as aimé ma surprise ? — J’ai adoré ! Tu sais, Nicolas m’a fait découvrir ce plaisir et je dois bien avouer que j’aime ça, confie-je. — Moi aussi, j’apprécie ces caresses… Même si je n’ai pas encore osé essayer la sodomie, avoue-t-elle. — J’aurais su, je n’aurais pas hésité tout à l’heure, rigole-je. Pour ce qui est de la sodomie, choisi quelqu’un de confiance. Ton neveu serait volontaire, je pense. — Nicolas ? Tu as vu son sexe ? Ça ne rentrera jamais ! S’étonne-t-elle. — Je suis sûre qu’il fera bien les choses… Lubrifiants, caresses préliminaires et tout ce qu’il faut pour que tu prennes du plaisir !— Tu as l’air de savoir de quoi tu parles…— Oui, j’ai déjà essayé… Comme je t’ai dit, la sodomie doit être pratiquée avec quelqu’un de confiance, qui ne te forcera pas et ira à ton rythme, surtout la première fois. C’était mon cas et c’était génial. Et je pense que tu pourras faire confiance à Nicolas sur ce point !— Oui, je pense aussi. Mais ça me fait un peu peur… Et je ne sais pas comment aborder le sujet… — Tu voudras que je lui suggère les choses ? Tu sais, il y a fort à parier qu’il nous a entendu ! Je pourrais lui dire que je t’ai doigté et que tu aimerais aller un peu plus loin…— Je ne sais pas, hésite-t-elle. S’il refuse ? Si j’ai mal ? Si je veux arrêter ? — C’est un mec, il acceptera ! Souris-je. Et si c’est bien le garçon que je pense, il s’arrêtera si tu lui dis que tu as mal et si tu veux arrêter, il ne te forcera pas… Nous continuons de parler entre deux baisers. Nos mains courent sur le corps de l’autre et finalement, l’envie est trop forte. Je délaisse une nouvelle fois ses lèvres pour son sexe. Aurélie ouvre ses cuisses pour faciliter l’accès à son intimité. Ma langue et mes doigts ne tardent pas à retrouver leurs habitudes, mais mon objectif est différent cette fois. Bien sûr, je veux donner du plaisir à ma partenaire, mais ses confessions m’ont excité et rapidement, un doigt glisse sur son petit trou. Je lèche son clitoris et ses lèvres, avant de passer une première fois sur son anus. Ma langue humidifie cet œillet fripé. J’alterne entre son cul et son clitoris. Quand je lèche sa chatte trempée, mon index droit s’enfonce dans son sexe, pendant que mon pouce caresse doucement sa rondelle. Mes caresses semblent faire leur effet. Aurélie gémit régulièrement. Comme moi plutôt dans la soirée, elle m’indique la marche à suivre, ponctuant ses cris de “Encore”, “c’est bon”, “continue” ou encore de “Oui, j’aime ça…”, quand ma langue caresse son derrière. Et tandis que ma langue a repris ses caresses sur son clitoris et que mon pouce glisse sur son petit trou, Aurélie bouge le bassin et mon doigt s’enfonce dans son cul. Et quelques instants plus tard, mon amante attrape son cousin pour jouir, étouffant ses cris dans l’oreiller, tandis que je continue de la lécher et de la doigter. Puis je m’allonge de nouveau à ses côtés. Nous nous embrassons de nouveau quand des voix nous parviennent de la pièce voisine. Hugo semble avoir battu Nicolas à son jeu vidéo… Nous rigolons toutes les deux. — Ils ont l’air de s’amuser à côté, dit Aurélie. — Oui, mais pas autant que nous, rigole-je. — Tu crois qu’ils nous ont entendus ? — Honnêtement, ça ne fait aucun doute ! Même si on a essayé d’être discrètes, on n’a pas été muettes… — Qu’est-ce que va dire ton frère ? Demande-t-elle.— Ne t’inquiète pas pour lui. Tu sais, on partage le même appartement et nos chambres sont mitoyennes. Je suis sûre qu’il a déjà dû m’entendre jouir… Je me garde bien de lui dire que c’est grâce à lui que je jouis et qu’il n’est pas dans la chambre voisine, mais dans mon lit !
