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Mon jumeau, mon amour

Chapitre 19

Inceste
Aurélie s’endort dans mes bras. Après plusieurs minutes, je me décide à me lever et à rejoindre les garçons. Un dernier baiser déposé sur les lèvres de mon amante et je quitte la pièce.
Je fais quelques pas et j’entre dans la chambre de Nicolas, entièrement nue.
— Coucou les gars, vous vous amusez bien ? Dis-je à voix basse. — Oui ! Répond Hugo. Tu as mis du temps pour revenir, ajoute-t-il faussement surpris. — Euh, oui ! J’ai croisé Aurélie et on a discuté dans sa chambre…— Ah ! Elle devait être agréable cette discussion, vue ta tenue, souris Nicolas.— Je dirais très agréable et surprenante !! — Tu as aimé ? demande Nicolas. — J’ai adoré et je pense que ta tante aussi, dis-je fière de moi. Mais ne t’inquiète pas mon chéri, j’ai toujours une préférence pour les hommes ! Enfin, surtout un !— Et tu aurais encore un peu de force pour moi ce soir ? Dit-il. Vous entendre jouir m’a excité ! — Oh oui, j’ai très envie de sentir ta queue en moi, mon amour.— Euh… Je suis encore là, rigole Nicolas. — Désolée, mais ce soir, je suis à Hugo !— Je sais et je pense plutôt aller voir Aurélie, si elle est encore réveillée ? — Non, elle s’est endormie. Mais tu sais, j’ai ENCORE joué ton avocate ce soir !— Qu’est-ce que tu as fait encore ? Demande-t-il curieux. — Aurélie aime beaucoup qu’on lui caresse son petit trou, mais elle n’a jamais osé se faire prendre par derrière… Dis-je en faisant une pause. — Tu lui as dit quoi ? — T’inquiète pas, elle ne sait pas qu’on est allé plus loin que les préliminaires à la piscine. Mais je lui ai dit que si elle voulait essayer, il fallait qu’elle le fasse avec quelqu’un de confiance et qu’elle avait la personne idéale à quelques mètres d’elle.— Tu parlais de moi ! Dit Hugo en rigolant. — Non mon chéri. Toi, tu es à moi ! Dis-je avec un clin d’œil. Mais toi Nico, je sais que tu peux être doux, prévenant, à l’écoute d’Aurélie pour lui offrir une expérience agréable et inoubliable, comme ça l’a été pour moi !— Merci cousine.
Les questions de Nicolas pour aborder le sujet avec Aurélie, durent une dizaine de minutes. Puis je me lève et tire Hugo par le bras.
— Tu nous excuses, on va aller se coucher, dis-je en souriant. — Oui, mais ne faites pas trop de bruit… — On va essayer, dis-je en tirant la porte derrière moi.
En entrant dans la chambre, je saute sur Hugo et je l’embrasse. Tout en enroulant ma langue autour de la sienne, mes doigts défont les boutons de sa chemise, puis déboutonnent le pantalon.
En quelques secondes, Hugo est à moitié nu. J’abandonne ses baisers pour m’agenouiller. Je fais glisser son boxer et dévoile sa queue bandée, qui me saute au visage. Je n’attends pas et lèche son sexe et l’aspire dans ma bouche.
Ce soir, il n’y a pas de tendresse, je veux du sexe, je veux son sexe en moi. Hugo aussi est excité. Il me baise la bouche avec envie, enfonçant sa queue au fond de ma gorge. Lorsque je me redresse, Hugo semble un peu déçu, mais je compte bien me rattraper.
Je m’installe à quatre pattes, cambrée pour présenter mon cul à mon frère. Il s’installe pour me prendre en levrette, mais alors que son gland caresse mes lèvres, je m’en saisis et le masturbe un peu.
Je fais pénétrer son gland en moi avant de le retirer, pour le pointer vers mon cul…
— Prends-moi là, dis-je autoritaire.— Oh, avec plaisir !
Sans attendre, je sens le sexe de mon frère jumeau dilater mon anus et se frayer un chemin dans mon cul. Lorsque je sens ses couilles frotter mon sexe, je sais que son sexe est en moi. Il commence alors un lent va-et-vient. Mon cul s’ouvre et se détend sous les assauts de Hugo.
Progressivement, il accélère ses coups de reins. Ses couilles tapent contre mon sexe, ce qui m’excite encore plus. Je glisse alors une main sous mon ventre, pour me caresser en même temps que Hugo me sodomise.
Il ne faut pas attendre longtemps pour que je jouisse, la tête enfouie dans l’oreiller. Mon anus se contracte autour de la queue de mon chéri, entraînant sa jouissance. Son sperme se répand en moi. Finalement, Hugo se retire et s’allonge à côté de moi. Nous nous embrassons et je m’endors épanouie, lovée dans les bras de mon frère.
**
Après ce réveillon mémorable, le jour de l’an semble plutôt banal. Nous nous réveillons un peu avant midi. Ma première résolution de l’année est de commencer chaque journée par avaler le jus de mon frère… Et cette résolution, je compte bien la tenir, comme Hugo, qui expulse son sperme sur ma langue.
Le reste de la journée est plutôt calme. Nous essayons de profiter de cette dernière journée avant la reprise. Nous avons prévu de reprendre la route le lendemain, tout comme Aurélie qui doit rentrer à Lyon.
Avant d’aller se coucher, Jérôme et Céline nous souhaitent un bon retour. Ils seront certainement partis travailler quand on se réveillera. Effectivement, j’entends Jérôme partir le lendemain matin. Il doit être à peine sept heures. J’essaie de me rendormir, sans succès. Céline quitte son domicile une demi-heure après…
Un besoin urgent me pousse à quitter la chaleur du lit. J’enfile rapidement un t-shirt et file vers la salle de bain, laissant Hugo dormir. En ressortant, je passe devant la chambre d’Aurélie et j’entends des murmures. On dirait que Nicolas a rejoint sa tante cette nuit et qu’ils sont déjà réveillés.
J’hésite puis frappe doucement à la porte en disant :
— C’est Océane…— Tu peux entrer, dit Aurélie.
Je pousse la porte et découvre Nicolas et sa tante, nus dans le lit. La couette est à leur taille et cache difficilement les mouvements de la main d’Aurélie sur le sexe de son neuveu.
— Je… Je dérange, on dirait ? Dis-je. — Non, pas du tout, dit Aurélie. On vient de se réveiller. — Vous avez passé la nuit ensemble ?— Oui, comme mes parents partaient tôt ce matin, je n’ai pas hésité à venir cette nuit, répond Nicolas. — Ils viennent de partir justement, je les ai entendus y a une dizaine de minutes. Et je ferais mieux de partir, vous avez l’air occupé, ajoute-je en souriant. — Tu voulais me demander quelque chose ? Demande Aurélie.— Oh, non ! Je n’arrive plus à dormir et je voulais simplement discuter… Et peut-être t’embrasser une dernière fois avant de repartir !— On peut parler ! Et je ne pense pas que Nicolas soit surpris ou choqué si on s’embrasse, sourit sa tante. — C’est sûr… Mais je pense que Nico attend autre chose qu’une discussion entre filles, dis-je en pointant son sexe sous la couette.— Oh, ça ! Dit Nicolas en dégageant la couette et dévoilant la main d’Aurélie autour de sa queue bandée. Tu peux te joindre à nous, si tu veux !
Je suis surprise et excitée par la proposition de mon cousin. Je regarde Aurélie qui, contre toute attente, acquiesce et me tend la main pour les rejoindre sur le lit.
Je retire mon t-shirt et me rapproche d’Aurélie. Je l’embrasse et rapidement, nos langues se mêlent et ma main rejoint la sienne sur le sexe de mon cousin, puis glisse sur ses testicules pour les masser.
En quelques secondes, nous nous retrouvons toutes les deux, le visage face à la bite de Nicolas. Nos langues viennent lécher ce sexe dur et à tour de rôle, nous jouons avec son gland et suçons notre amant. Je surprends un peu Aurélie en prenant le sexe de Nicolas dans ma bouche, l’enfonçant presque entièrement.
Lorsqu’elle suce son neveu, je m’empresse de lécher sa poitrine, passant d’un mamelon à l’autre. Nicolas gémit de plaisir, bientôt rejoint par Aurélie, qui apprécie que je m’occupe de ses seins. Je décide alors de délaisser le sexe masculin pour profiter, une dernière fois, du sexe féminin.
J’incite Aurélie à s’allonger et à ouvrir les cuisses. Nicolas se redresse et s’installe à genoux, le sexe à quelques centimètres de la bouche de sa tante. Ma langue commence à parcourir l’intimité d’Aurélie et mon cousin ne manque pas une seconde du spectacle offert sous ses yeux.
Après avoir joué avec son clitoris et son sexe, ma langue s’aventure vers son cul. Mes mains écartent ses fesses et ma langue titille sa rondelle. Je continue doucement mes caresses, alternant entre son sexe et son anus, avec ma langue ou mes doigts.
Les gémissements d’Aurélie redoublent d’intensité et elle semble se détendre, laissant mon doigt s’enfoncer aisément dans son petit cul. Ses complaintes, étouffées par le sexe de son neveu qui va-et-vient dans sa bouche m’excite. Ma chatte est trempée.
Quand Nicolas prévient Aurélie de sa jouissance, elle continue de le sucer. J’accélère alors mes caresses avec ma langue sur son clitoris et mon index, coulissant dans son vagin, glisse et rejoint mon majeur. L’anneau reçoit alors mon second doigt, qui s’enfonce aisément en elle.
Alors que mon cousin éjacule un premier jet dans la bouche de sa tante et dépose les suivant sur son visage, Aurélie jouit sous mes caresses. Je sens son anus se resserrer autour de mes doigts.
Je me relève et viens embrasser ma partenaire, profitant de quelques gouttes de sperme de mon cousin.
— Je vais vous laisser les amoureux ! Dis-je en me relevant. — Tu ne veux pas rester un peu plus longtemps ? Demande Aurélie.— Non, je vais vous laisser profiter de votre dernière journée… Et je pense que tu es prête ! Fais confiance à Nicolas et tout se passera bien !— Tu crois ? Dit-elle hésitante.— Après ce qu’il vient de se passer ? J’en suis sûre… Tu lui fais confiance ?— Oui, bien sûr !! Dit-elle assurée. — Alors, détends-toi et profite !! Nico, t’as intérêt d’assurer ou je le saurais ! Dis-je en souriant, avant de sortir.
Je laisse Aurélie et Nicolas et je rejoins mon chéri dans notre chambre. Il est encore endormi. Je me rapproche du lit et me rapproche de lui. Je glisse sous la couette et me rapproche de son sexe. Je commence à la sucer doucement, j’entends Hugo gémir et sa main vient me découvrir, retirant la couette d’un geste.
Je lui souris et continue mon rituel matinal. Il ne faut que quelques minutes à Hugo pour jouir dans ma bouche. Et comme chaque matin, j’avale mon butin. Je m’allonge ensuite à côté de mon frère et lui raconte ce qu’il vient de se passer à côté…
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