Lorsque Aurélie me raconte son histoire, je suis installée dans le canapé, avec le haut-parleur activé. Hugo, qui est à mes côtés, écoute également et ne perd pas une miette du récit, même si rapidement, ses mains caressent mon corps. La fin semble chambouler Aurélie. Sa voix a l’air fébrile. — Aurélie, ça va ? Demande-je après un long silence.— Je… Je ne sais pas ! Je crois que je ne réalise pas… Je l’aime, je ne sais pas pourquoi ou comment, mais j’aime Nicolas…— Je te mentirais si je disais que je suis surprise ! Ça crève les yeux que vous êtes faits l’un pour l’autre et que vous vous aimez !— Oui, mais je suis sa tante, ce n’est pas possible, ce n’est pas normal, pleure-t-elle.— Calme-toi ma belle… Tu sais, parfois, le cœur a ses raisons que la raison ignore !, dis-je en souriant à Hugo. Je ne te jugerais pas. Tu es majeure, Nicolas aussi. Vous êtes deux adultes libres de vos choix. Si tu l’aimes, qui te jugeras ? — Mon frère, son père… Notre famille… Pendant que je parle avec Aurélie, mon frère s’est accroupi devant le canapé et il ouvre mes cuisses après avoir retiré ma culotte. Ses doigts caressent ma chatte avant que ma langue ne se joigne à la danse. Si Aurélie savait d’où je tire tous mes précieux conseils… De l’homme que j’aime, de l’homme qui me lèche, pendant que je lui parle. Je dois me retenir pour ne pas gémir. Après une dizaine de minutes, Aurélie se calme et cesse de pleurer. Elle semble avoir repris confiance. — Je te remercie de m’avoir écouté et pour tes conseils, dit-elle. — Avec plaisir ! Je vous adore tous les deux, je vous souhaite que du bonheur… Je vais te laisser, ajoute-je après un silence. — Merci Océane. On se rappelle bientôt ? — Oui, quand tu veux. Bisous ma belle. Lorsque je raccroche, Hugo est en train de me doigter. Je sens deux doigts me pénétrer rapidement. Une fois assurée que l’appel est terminé, je gémis de plaisir. — Tu n’as pas honte ? Dis-je en rigolant.
— Honte de quoi ? De te faire plaisir ? Réplique Hugo fier de lui. — Oui ! J’ai dû me retenir de jouir au téléphone avec Aurélie. — Je ne pensais pas que tu allais tenir… — Pourquoi, ahhhh… Pourquoi crois-tu que j’ai écourté la discussion à la fiiiinnn… C’en est trop. Je jouis alors que les doigts de mon frère coulissent en moi et que sa langue caresse mon clitoris. Je ne me retiens plus et hurle mon plaisir. Après avoir repris mes esprits, ma main caresse délicatement la joue de mon jumeau, l’attire vers moi et l’embrasse. Hugo s’assoit sur le canapé et je prends sa place, à genoux. Je déboutonne son jean et fait glisser ses vêtements à ses chevilles. Une fois son pantalon retiré, je me penche sur son bassin et sans attendre, je prends son sexe dans ma bouche et commence à le sucer. Les gémissements de Hugo m’excitent à nouveau et je me caresse discrètement en léchant la queue de mon frère. Je continue pendant une dizaine de minutes, alternant entre son gland, ses couilles et sa tige, que je lèche, embrasse et suce avec envie. Alors que j’accueille son sexe au plus profond de ma gorge, je sens le mat de chair gonfler encore. Le temps de retirer ce sexe bandé de ma bouche et Hugo dépose de belles giclées de foutre sur mon visage. Lorsque la source semble tarie, je récupère le sperme chaud avec mon doigt et le guide vers ma bouche pour en savourer chaque goutte. La main de Hugo se pose à son tour sur mon visage, me caressant avec amour. — Tu devrais aller prendre une douche, sourit-il. — Oui ! Ce n’était pas prévu, mais tu ne m’as pas loupé, réponds-je.— Dois-je m’excuser ? Demande–t-il. — Non, mon chéri. Te voir jouir est le plus beau des cadeaux pour moi ! Ça prouve que tu me désires, que tu m’aimes…— Alors pas question de m’excuser ! Sourit-il. Je t’aime plus que tout…— J’ai vu ça, rigole-je. Je sens son regard posé sur moi alors que je rejoins la salle de bain. Je fais couler l’eau de la douche et une fois à température, je me glisse sous les rayons d’eau, qui ruissellent sur mon corps. L’eau mouille mes cheveux et nettoie les quelques traces de sperme qui restaient sur mon visage. Je me lave les cheveux avec du savon. Les yeux fermés, je ne vois pas Hugo me rejoindre, mais je sens ses mains se poser sur moi alors que je suis dos à lui, en train de me rincer les cheveux. Ses mains se posent sur mes épaules et glissent rapidement sur mes seins. Dans mon dos, je passe mes mains et constate que son sexe a repris de la vigueur. Je me retourne et embrasse fougueusement mon frère avant de m’accroupir pour le prendre dans ma bouche. Cette fois, je prends sa queue pour une glace, léchant avec plaisir les boules et le cornet ! Mais Hugo m’incite à me redresser. Après un nouveau baiser, il prend le gel douche et il en verse au creux de sa main. Dans un ballet des plus sensuels, les mains de mon frère s’aventurent sur mon corps pour me laver. Hugo prend garde à n’oublier aucune zone de peau, même minime, n’hésitant pas à repasser plusieurs fois sur mes seins ou entre mes cuisses ! Je ne reste pas inactive et m’empresse de faire la même chose, prenant du gel douche et parcourant le corps musclé de mon jumeau, jusqu’à ce que Hugo s’agenouille. Plaquée au mur de la douche, j’écarte les jambes et la langue de mon chéri remplace rapidement ses doigts. Il me retourne et je me penche pour lui offrir mon derrière. Hugo agrippe mes fesses, les écarte et sa langue reprend ses caresses humides entre mes lèvres intimes avant de remonter sur mon petit trou. Il s’attarde un peu dessus, avant de se redresser… Ses lèvres parcourent mon dos, déposant des baisers qui m’électrisent. Puis ses doigts glissent entre mes fesses et un doigt s’enfonce dans mon cul. Il me doigte ainsi quelques instants, le temps de remonter jusqu’à mon cou où il s’attarde. Je sens son doigt abandonner mon cul, rapidement remplacé par sa queue, qui glisse entre mes lèvres et me pénètre. Les mains plaquées contre le mur, le cul en arrière, mon frère chéri me prend sans ménagement. Ses va-et-vient sont puissants et j’halète à chaque fois qu’il s’enfonce au plus profond de moi. Ses mains agrippent mes seins et les malaxent, puis sa main gauche glisse sur mes hanches et vient me fesser. Je pousse un cri de plaisir en sentant ses doigts fouetter ma peau. Hugo ralentit le rythme, ses mouvements se font plus doux. Je sens son sexe se retirer puis me pénétrer de nouveau. Il reproduit le mouvement plusieurs fois, avant de pointer le bout de sa bite contre mon œillet. Bien lubrifié par mon excitation, le sexe de mon jumeau force mon petit trou et m’encule. Je gémis de plus en plus fort, dans l’intimité de la douche, j’ai l’impression de hurler de plaisir. Après avoir pris possession de mon anus, Hugo a repris un rythme élevé et il m’encule virilement. Après plusieurs va-et-vient, je sens mes muscles se crisper et je jouis. D’un mouvement de bassin, j’expulse la queue de mon frère et tout mon corps tremble. Je sens mes jambes faiblir et je glisse à terre. Hugo me retient et me soutient. — Ouah ! C’était intense, dis-je en reprenant mes esprits. — Ça va ? S’inquiète Hugo. — Oui, mon chéri. Je vais bien ! J’ai reçu un trop plein d’amour, souris-je. Je suis alors à genoux devant Hugo. Son sexe a légèrement perdu en vigueur, mais je suis sûre qu’il va retrouver rapidement sa forme olympique. Hugo prend du gel douche et se nettoie, dans un mouvement qui ressemble rapidement à de la masturbation. — Tu veux peut-être un coup de main ? Propose-je, avec un air lubrique.— Oui, avec plaisir ma chérie. Je remplace la main de mon frère sur son membre. En deux mouvements, sa queue est au garde à vous. Hugo rince son sexe et aussitôt débarassé de la mousse, je le prends en bouche. — Je ne vais pas résister longtemps ! Prévient Hugo. — D’accord, dis-je en retirant son sexe de ma bouche. Ma langue lèche ses testicules puis remonte sur son sexe. Je reprends son sexe dans ma bouche et ma langue tourne autour de son gland, pendant que ma main le masturbe. J’entends Hugo gémir et connaissant mon jumeau par cœur, je sais qu’il va jouir. Je retire son sexe et continue de le masturber. Je le regarde avec un grand sourire et c’est alors que jaillissent les premiers jets. Hugo recouvre ma poitrine avec sa semence. Il crie de plaisir en même temps. Maculée de sperme, Hugo m’aide à me redresser et s’occupe de nettoyer ses méfaits. Une fois propre, je l’embrasse et me colle à lui. — Je t’aime, dis-je en le regardant. — Je t’aime aussi ma chérie, répond-il.
