Nous avons réussi ! Je suis enceinte. Depuis plusieurs semaines, je n’arrive pas à redescendre de mon petit nuage et Hugo non plus. Nous sommes excités à l’idée de concrétiser notre amour gémellaire par l’arrivée d’un petit être. Hier, j’avais rendez-vous pour la première échographie. Malheureusement, le futur papa n’a pas pu se libérer, mais le rendez-vous s’est très bien passé. J’ai même pu entendre battre le cœur de mon bébé. Les larmes me sont montée et je n’ai pas pu me retenir de pleurer de joie. — Le bébé se porte à merveille, dit le médecin. Je n’ai pas vu d’anomalies ou de malformations. Vous pouvez être rassurée.— Et pour le sexe ? Demande-je curieuse.— C’est encore un peu tôt, mademoiselle. On pourra le voir lors de la seconde échographie…— Merci docteur ! Je sors de la clinique et prends tout de suite mon téléphone pour appeler Hugo. — Allô ? Répond-il. — Mon chéri, je sors de la clinique, dis-je. — Alors ? Tout va bien ?— Oui ! Très bien. Le docteur a examiné le bébé, il va bien et ne présente pas de malformations…— Génial ! Même si je n’avais pas de doute, avoir la confirmation du médecin est rassurant.— Oui, j’en ai pleuré ! J’aurais tellement aimé que tu sois là quand son petit cœur a retenti… C’était inoubliable !— Il n’y a qu’un bébé ? Ajoute-t-il.— Oui, pas de jumeaux ! Peut-être les prochains !— Je dois retourner travailler ! Je suis super content ! Exulte-t-il. Je t’aime. — Je t’aime aussi, à ce soir. Le soir venu, nous avons célébré cette première échographie avec Hugo. Nous avons rapidement fait tomber nos vêtements et nous avons fait l’amour. J’ai commencé par sucer son sexe, jouant avec ma langue autour de son gland, glissant le long de sa tige pour lécher ses bourses avant de prendre cette queue bandée dans ma bouche. À genoux devant mon frère, resté debout devant moi, je continue de le masturber, tout en glissant ma main inactive entre mes cuisses pour me caresser. Je suis déjà bien humide et la fellation que j’offre à mon jumeau décuple mon excitation.
Hugo gémit en sentant ma langue tourner autour de son gland, puis il effectue quelques mouvements avec son bassin, alors que ses mains glissent dans mes cheveux. Il me baise la bouche, accentuant ses va-et-vient jusqu’à enfoncer son sexe entièrement dans ma bouche et ma gorge. Si j’aime son côté bienveillant au quotidien, j’apprécie d’autant plus quand la bête se réveille pendant que nous faisons l’amour. Et il l’a bien compris. J’adore quand il me prend ainsi. Je sens qu’il va bientôt jouir et lorsqu’il éjacule, je présente ma langue et ma bouche pour accueillir son offrande, que j’avale avec plaisir. Si son plaisir arrive en premier, mon frère n’oublie jamais le mien et il m’allonge sur le lit, pour venir me lécher. Il découvre alors mon sexe dégoulinant de cyprine. Sa langue parcourt mes lèvres et joue avec mon clitoris. En me léchant, la main de mon chéri vient chercher mon sein et ses doigts jouent avec mon téton, encore plus sensible, depuis le début de la grossesse. En quelques minutes, je ne résiste pas et je jouis. Hugo sait trouver la faille pour me mener à l’extase. Ces instants de plaisir ont permis à sa queue de reprendre vigueur et il vient se caler entre mes cuisses et enfonce son sexe dans le mien. Progressivement, Hugo accélère le rythme et après avoir changé de position pour me prendre en levrette, il jouit une seconde fois, libérant son sperme au plus profond de moi, m’entraînant dans un nouvel orgasme. ** Les jours suivants, nous avons dû aborder une question ô combien cruciale… Comment l’annoncer à nos parents. Une fois encore, Aurélie est une très bonne conseillère partageant son expérience, lorsqu’elle a annoncé à son frère que son fils, Nicolas, est le père de son enfant… Malgré la surprise, les parents de Nicolas ont bien pris la nouvelle et tout va bien. Cela me rassure aussi, même si je redoute davantage la réaction de mon père, que celle de ma mère. Finalement, nous avons rendu visite à nos parents un dimanche. Je suis alors dans le troisième mois de grossesse et mon ventre commence à se voir. Maman le remarque dès mon arrivée. Après le repas, nous discutons dans le salon quand, après avoir regardé Hugo, j’annonce que je suis enceinte. Je me suis préparée aux questions, aux remarques qui allaient suivre cette annonce, mais je ne pensais pas que ça allait être aussi compliqué, devant la surprise de nos parents. Mais le plus dur était encore à venir. Lorsque maman me demande qui est le père de l’enfant, il y a un grand silence… Finalement, c’est Hugo qui lâche la bombe. — C’est moi le père de l’enfant d’Océane ! On s’aime, on est ensemble depuis plus de deux ans et rien de ce que vous pourrez dire ne saura changer ça ! A cet instant, je suis tellement fière de mon chéri. Ses paroles me touchent et me font pleurer (certains diront que ce sont les hormones !). Un nouveau silence s’installe dans le salon. Papa et maman se regardent, semblent sous le choc de l’annonce, et il y a de quoi ! Maman reste silencieuse un long moment, avant de nous poser des questions, pour savoir si nous sommes heureux, comment nous avons su, pourquoi ne pas en avoir parlé plus tôt… Autant de questions surprenantes mais qui permettent de rassurer notre mère sur nos sentiments. Papa reste silencieux tout le long de la conversation, mutique, presque absent. Pourtant, lorsqu’il prend la parole, il parvient à nous surprendre en posant une seule question… — Je ne sais pas trop quoi penser de tout ça ! Je vous aime et si vous êtes heureux, tant mieux. Vous êtes adultes et libres de vos choix. Je ne vais pas dire que je cautionne ce que vous faites, j’ai du mal à comprendre… Mais il y a une question que votre mère n’a pas posée et c’est la seule qui m’importe. Est-ce que le bébé va bien ? Est-ce qu’il y a des risques pour sa santé ? Je réfléchis, respire profondément et après avoir pris la main de Hugo, je lui répond : — Le bébé va très bien et non, il n’y a pas de risque d’anomalies ou de malformations. J’ai fait la première échographie et le docteur a été très rassurant sur ces points. Tu sais, papa, nous étions conscients des risques et nous avons pesé le pour et le contre avant. Mais j’aime Hugo plus que tout et ce bébé en sera le plus bel exemple.— D’accord. Je ne comprends toujours pas comment vous en êtes arrivés là et je ne suis pas sûr de vouloir le savoir, mais ce qui est fait est fait ! — Ce que votre père essaie de dire, reprend notre mère, c’est qu’il va nous falloir un peu de temps pour “apprivoiser votre relation”, dit-elle en faisant des guillemets.— Oui, c’est ça, répond-il.— Mais, si vous êtes heureux et que le petit être qui pousse dans ton ventre est en bonne santé, alors nous n’avons rien à dire, ajoute ma mère avec un sourire.— Merci, répondons-nous en chœur avec Hugo. Nous comprenons que la situation est compliquée à comprendre ou à accepter, mais votre réaction nous touche et nous rassure, dit Hugo. — Oui, complète-je. Vous allez être grands-parents et on ne s’imagine pas notre futur enfant vivre sans son papy et sa mamie… Lorsque nous quittons le domicile familial pour regagner notre nid parisien, nous sommes tous les deux soulagés. Je m’empresse d’appeler Aurélie pour lui raconter la journée. Au téléphone, je ne vois pas les kilomètres défiler et lorsque je raccroche, nous sommes arrivés à la maison. ** Les semaines suivantes, mon ventre grossit à vue d’œil, le bébé se porte à merveille et mes envies de sexe ne diminuent pas. J’ai toujours le droit à mon petit-déjeuner préféré et le soir, je saute presque sur Hugo lorsqu’il passe la porte de la maison. En quelques secondes, mon frère se retrouve entièrement nu et je m’agenouille pour le lécher. Il ne faut pas longtemps pour qu’il bande et que sa queue pénètre ma bouche. Je le laisse alors imprimer le rythme des va-et-vient. Lorsqu’il s’arrête et m’aide à me relever, nous filons dans la chambre. Si j’aime beaucoup le sexe sur le canapé, je dois avouer que le lit est bien plus confortable quand on est enceinte ! Je m’allonge et Hugo s’allonge entre mes cuisses. Sa langue vient jouer avec mon clitoris et lécher mon sexe. A mesure que les semaines défilent, mon chéri disparaît derrière mon ventre, mais le plaisir qu’il me donne, lui, ne disparaît pas. Au contraire, j’ai l’impression d’être encore plus excitée au fil de la grossesse. Lorsque j’ai eu mon premier orgasme de la soirée (oui, généralement j’en ai deux ou trois…), Hugo se redresse. Bien évidemment, certaines positions sont devenues compliquées à tenir, mais on trouve toujours la solution. Il me prend généralement en levrette, en cuillère ou je prends le dessus dans la position d’Andromaque, mais la levrette est certainement la position la plus agréable pour moi… Et c’est aussi celle qui permet à mon chéri de me prendre par derrière. Comme Aurélie me l’avait confié, la sodomie fut pour elle une révélation et je dois dire que j’éprouve énormément de plaisir à sentir mon frère jouir dans mon petit trou et de garder son offrande le plus longtemps possible, musclant mon périnée par la même occasion ! Nous avons continué jusqu’au début du huitième mois de grossesse, après quoi ça devenait trop compliqué. Mais je continue de faire plaisir à mon chéri avec ma bouche et je prends un plaisir fou à sentir son sexe palpiter et éjaculer sur ma langue. Et finalement, deux jours avant la date prévue, notre petite fille est née. La jolie Olivia, soyons honnête elle est magnifique, est en pleine forme et fait le bonheur de son papa et de sa maman. Ce n’est pas facile tous les jours, mais Hugo est un papa extra et toujours volontaire pour m’aider. Cela fait bientôt trois mois que notre petit rayon de soleil a pointé le bout de son nez et ce soir. Il y a toute une histoire à raconter, j’ai hâte de la vivre… En attendant, ce soir, Olivia dort pour la première fois chez papy et mamie. Nous avons une soirée de prévue et je sais déjà comment elle va se terminer… J’ai tellement envie de sentir de nouveau le sexe de mon frère coulisser en moi ! ;-)
L'auteur a signalé qu'il n'y aura pas d'autre chapitre pour cette histoire.
