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Mon Maître <3

Chapitre 1

Pas à pas et grain par grain

SM / Fétichisme
Bonjour ! J’entretiens une relation bdsm en tant que soumise (je suis Switch et j’ai aussi un soumis) avec mon Maître et j’aimerais raconter ici quelques séances qui ont été importantes pour moi ici... J’espère que ça vous plaira ^^

Mon Maître
— Énervée...
La dernière limite.
Je vais raconter ma dernière séance avec mon Maître et faire de mon mieux pour exprimer toute la colère et l’excitation que j’ai ressenties ce jour-là. Je la ressens encore !Quand je suis devenue sa soumise, nous avons convenu de limites, de choses à ne pas dépasser. Il y eut bien évidemment les safewords : ’’Attention 3’’ et ’’Stop 4’’, et le reste. Quand il me demanda mes limites, je sus tout de suite quoi dire :
— Les gifles, la strangulation, l’humiliation et le fait de ramper pour toi.
Il me rit au nez.
— Nous verrons...
En effet, j’ai vu. Je me suis pris des gifles quand j’ai été insolente, et j’ai aimé ça. Il m’a serré le cou et j’ai aimé ça. Il m’a humiliée, et bien que terriblement en colère, cela m’a beaucoup excitée. Il ne manquait plus que ramper... Je savais qu’il me le demanderait un jour, et que cela marquerait une étape dans ma progression de soumise. Je l’appréhendais et en même temps, j’avais envie de le faire pour mon Maître.Alors me voici, à genoux dans son salon. Je suis en sous-vêtements, avec mon collier en cuir noir, le regard baissé à ses pieds.
— Comment te sens-tu ?— Excitée et soumise, mon Maître...— Bien. Tu peux me regarder.
Je levai immédiatement la tête vers ses beaux yeux bleus et y vis beaucoup d’excitation et d’impatience. Il m’attacha la laisse à mon cou et demanda de la tenir. Il me laissa un instant, et revint avec sa cravache. Nous adorons tous les deux cet objet... Longue, ni trop souple, ni trop rigide, avec un côté de cuir et un côté de fausse fourrure... La voir dans ses mains ne fit qu’augmenter mon excitation.« Tu sais ce que je vais te demander ?
— Non, mon Maître...— Vraiment ?— Seulement des suggestions...
Il attendit dans un silence pressant que je les lui partage.
— Euh... Peut-être mon Maître que tu utiliseras la cravache pour me fesser ? Tu m’attacheras sûrement avant...
Il rit.
— À un moment oui. Mais là, je sais que ce que je vais te demander ne va pas te faire plaisir. »
Il me reprit la laisse, et je me mordis la lèvre pour ne pas rire nerveusement. Mon visage se tordit d’un sourire déplacé. Il allait me demander de ramper, évidemment. Le regarder et devoir soutenir son rictus satisfait était difficile.
— Alors ? Qu’est-ce que je vais te demander ?— Tu vas me demander de ramper, mon Maître ?— Oui. Tu vas te mettre à quatre pattes et nous allons aller dans la chambre comme ça. Et en attendant, tu vas tenir la cravache entre tes dents. Si tu la fais tomber ou que tu l’abîmes, tu vas vraiment le regretter.
Je me mis à quatre pattes, la cravache entre les dents et... Je suis restée figée de colère. Mais mon Maître, si prévoyant, tira sur la laisse pour que j’avance.
— Allez ma soumise !
Je voulus alors me propulser le plus rapidement possible dans la chambre pour que ce moment soit le plus court possible ! Mais encore une fois, mon Maître si prévoyant tira sur la laisse, cette fois-ci en arrière.
— Doucement, tu ne veux pas me faire profiter ?
Et ce couloir de trois mètres et quelques centimètres parut mille fois plus long, dans un temps distordu et ralenti. J’avais froid, j’avais honte, j’avais la rage, et impossible de serrer les dents au risque d’abîmer la cravache.Si le temps était ralenti, mes pensées fusaient.
— Mais qu’est-ce que je suis en train de faire ?!
Pas besoin de le voir pour le sentir, le sourire satisfait et rieur de mon Maître brûlait ma peau, presque autant que ma colère noire.Arrivés enfin dans la chambre, j’attendis qu’il me donne l’ordre de me relever. Je tentais de respirer calmement, d’apaiser ma colère. Mais il tira sur la laisse pour me faire relever et reprit la cravache.« Alors ma soumise ? dit-il, satisfait au-delà de l’entendement. Tu es en colère ?Il m’agrippa les cheveux et les tira en arrière. La colère me coupa le souffle. Il me mit deux gifles.
— Réponds.— Oui mon Maître ! Je suis très en colère !— C’est si facile... Tu es excitée ?
Une fois de plus, la réponse mit du temps à venir. Mon Maître ’’perdit patience’’ et tira plus fort sur mes cheveux.
— Oui mon Maître !
La colère, la douleur, l’humiliation, la crainte... Ma culotte était trempée...
— Laisse aller ta colère.— Non mon Maître...— Vas-y, je peux l’encaisser. Allez. Vas-y. »
Je me jetai sur lui et l’embrassai fougueusement. Toute ma frustration se concentra sur ses lèvres, sur son corps que je voulais prendre sauvagement... Jusqu’à ce qu’il me prenne par le cou et me pousse sur le lit.Allongée sur le dos, excitée comme jamais je ne l’ai été, je fixais un point sur le mur, sentant le regard cuisant de mon Maître rivé sur moi. Je tentais de mon mieux de rester immobile, mais mon corps était parcouru de frissons incontrôlables...Il me demanda de m’allonger sur le ventre et il m’attacha... Les mains dans le dos reliées par une chaîne à mon cou, les chevilles liées et reliées à mes poignets par une autre chaîne. Impossible de baisser les jambes ou de sortir de cette situation. C’était terriblement excitant... Me sentir impuissante, prisonnière des liens et des chaînes, à la merci de mon Maître...Il plaça devant moi un sablier.
— Ce sablier a une durée de trente minutes, dit mon Maître. Tu seras libérée au bout de ce temps.
Il retourna le sablier et commença ma délicieuse torture...Il inséra dans mon sexe bien humide deux boules de geisha, me retirant un doux gémissement. Il me caressa très légèrement et lentement. Moi qui voulais me faire démonter immédiatement, la frustration fut difficile à gérer. Bien entendu, ce n’était que le début...
Il prit mon vibromasseur et me le passa sur le clitoris. Le plaisir vient satisfaire mon excitation et fut accompagné par la douleur de quelques fessées. Je me mordais la lèvre pour ne pas gémir, pour ne pas lui donner tout de suite la satisfaction de mon abandon.
Il augmenta progressivement l’intensité des vibrations. Tantôt me frustrant en le passant sur le bout de mon clitoris, tantôt me donnant énormément de plaisir en l’y plaquant. Je mouillais comme jamais, mon sexe se resserrant sur les boules de geisha. Ma voix brisa vite le rempart de mes lèvres, je n’en pouvais plus... Je voulais à la fois en recevoir plus, et à la fois que la torture s’arrête.
Je me risquai à regarder le sablier, qui semblait avoir à peine bougé. Je ris nerveusement... Il restait tout ce temps à passer dans cette position ? À subir toute cette torture ? Comment allais-je pouvoir tenir ?
Non. J’allais tenir. J’allais rendre mon Maître fier, j’allais lui prouver que je pouvais tenir, que j’étais une bonne soumise.L’excitation devint telle que tout semblait disparaître autour de moi, grain par grain. Où j’étais, qui j’étais... rien n’avait d’importance.J’avais peur de regarder le sablier... j’avais peur d’atteindre ma limite...Le plaisir ne comblait pas assez la frustration. Mes gémissements se remplaçaient par des cris quand les vibrations se faisaient plus fort. Je me sentais en transe, c’était si bon ! C’était à la fois trop et pas assez ! Tout mon corps tremblait sous les mains tendres et cruelles de mon Maître.
Mais le plus cruel d’entre tous, c’était cette saloperie de sablier. Calmement posé sur le bureau, il ne semblait pas avoir bougé d’un pouce. Je me mis alors à le regarder toutes les deux secondes en espérant que je me sois trompée. Mais rien n’y faisait ! Rien ne changeait la fatalité...
J’entendais mon Maître, amusé de voir mon désespoir, rire par moments et jouer de plus belle avec mon sexe et mes fesses qu’il fessait doucement.Il leva mes jambes qu’il cala sur les siennes, assis à côté de moi et mit sa main sur mon dos, me plaquant contre le lit. L’excitation explosa et je perdis complètement pied.En bougeant les jambes, je tirais sur la chaîne reliée à mon cou et m’étranglait à moitié. Les gestes de mon cher Maître se firent plus tendres et j’acceptai tout le plaisir qu’il me donnait sans essayer de le refouler. L’excitation était à son maximum. J’étais moi-même à mon maximum...
Je m’entendais à peine crier... J’étais prise de rires nerveux en voyant ce fichu sablier qui avait à peine avancé. Les gloussements de mon Maître m’affectaient à peine, je comprenais tout à fait le comique de la situation.
Je m’exclamais parfois en regardant l’objet, ce maître du temps.
— Putain, c’est pas possible !
Mon Maître appuyait alors plus sur mon dos et sur mon sexe, dans lequel il insérait le vibromasseur qui résonnait sur les boules de geisha.Ma tentative de fixer le sablier pour pouvoir mieux me contrôler fut vite abandonnée, je n’avais plus aucune emprise sur rien.Cette transe dura... dura... je mouillais toujours, et cela plaisait à mon Maître. Quand je vis que le temps imposé par le sablier allait se terminer, j’ai éclaté de rire. Et quand le dernier grain rejoignit le Sahara des autres, je poussai un grand soupir de soulagement. Mon état de soumission et de transe était tel que j’ai bien failli pleurer. Mais rien n’est sorti. Mon Maître me détacha et me prit dans ses bras.
Lovée contre son torse, j’ai repris une respiration normale et mes esprits, ma tête arrêta peu à peu de tourner.« Comment tu te sens ?Bien mon Maître... Pff... Très bien !Je ne pensais pas que tu arriverais aussi loin ma soumise. Tu n’as pas oublié les safewords ?Non mon Maître. Attention trois et Stop quatre. Je n’en ai pas eu besoin.Je suis très fier de toi. »Ces quelques mots après une telle séance finirent de me combler tout à fait, et dans les bras de mon Maître j’ai trouvé joie et quiétude.Je m’appelle Gabrielle, j’ai 18 ans et je suis fière d’être une bonne soumise.
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