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Mon maître Djibril

Chapitre 1

SM / Fétichisme
Voilà, je m’appelle Eva, je suis issue d’une famille de la petite bourgeoisie, j’ai 22 ans et je vis avec mon copain Fabien depuis trois ans maintenant contre l’avis de mes parents, bien sûr il n’est pas du même milieu social et cela dérange  ma famille, mais pas pour moi.Je travaille la journée et mon compagnon, lui travaille dans une usine dont les horaires sont particuliers. Une semaine sur deux il travail de nuit. Au bout de trois ans cela me peinent un peu, on se croise quasiment la moitié du temps.Vivant dans un petit appartement, dans un immeuble du centre-ville, on entend tous les voisins, les pleurs de bébés, les disputes, l’aspirateur de la voisine, … J’en ai parlé à Fabien pour trouver une maison pour pouvoir dormir correctement surtout pour lui, quand il se repose la journée après sa nuit au boulot.Un jour en partant faire des courses, je croise un nouveau voisin, Djibril un grand black d’une quarantaine d’année, impressionnant et  intimidant. Vu sa taille, je suis ridicule à coté de lui, je mesure 1 mètre61 et lui au moins 1 mètre90. Je passe à côté de lui, en lui disant « bonjour Monsieur » avec un large sourire mais pas seulement par politesse mais également d’envie de le connaître un peu plus, … Il me souhaite une bonne journée, et là je fonds littéralement, je suis excitée, je suis sous le charme, … En fait j’ai un peu craqué sur lui, je vous ne le cache pas. A mon retour, en rentrant dans l’appartement, j’ai eu besoin de faire l’amour avec Fabien,  mais en pensant à ce nouveau voisin : Djibril.La semaine se passe normalement, Fabian travaillant de jour tout comme moi, on profite au maximum, mais je sens en moi, un peu de routine entre nous, cela me pèse de plus en plus. Le samedi soir on décide de manger au restaurant, je laisse Fabien choisir le lieu, lui faire prendre des initiatives. Je me prépare avec enthousiasme, j’aime bien sortir en amoureux, surtout en ce moment à cause de cette petite routine qui s’installe entre nous. J’opte pour une petite robe noire avec son décolleté, des escarpins à talons un peu hauts, des bas noirs et clairs, et pour finir un petit peu de maquillage sage. Lorsque je sors de la salle de bain, je vois Fabien, habillé de façon très classique, rien de spécial, à mon grand désarroi, il voit ma tête un peu défaite. Oui, il y a de quoi, il ne fait pas un effort vestimentaire. Bon bref, on part et je lui demande où on va ce soir, et là, c’est l’apothéose, on va seulement  à  la pizzeria du coin. Je n’ai rien contre les pizzerias, mais là, je me suis bien habillée, à sa demande, pour finir dans cet endroit, trop classique, pour un repas en amoureux.
 De plus, j’ai un reproche car je fais du bruit avec mes talons en descendant les escaliers. Arrivant sur le palier de Djibril, sa porte s’ouvre et il sort de chez lui. J’esquisse un sourire en lui disant  « bonsoir ». Il me mâte de haut en bas en m’adressant également un « bonsoir » avec un ton charmeur. Lui, Fabien continu, sans regarder ce nouveau voisin. Je lui parle  pour savoir le nom du restaurant, tout en regardant Djibril et toujours avec mon sourire qui en dit peut-être long.
Arrivant au restaurant, on s’installe et  il y a presque personnes, étonnant pour un  samedi soir. La serveuse, nous dépose les menus et je ne peux m’empêcher de regarder son postérieur. Un peu large à mon goût, mais pas aussi rebondi que le mien…Avec Fabien on discute de tout et de rien, mais surtout  de notre relation du moment. Il reconnaît un peu de difficultés mais sans plus." Il faudrait mettre un peu de piment dans notre relation ", je l’attaque d’entrer sur le sujet .  " Je ne sais pas, que veux-tu dire ? "
 " Tu ne vois pas, ou tu le fais exprès "" Mais, euh … "
Je ne le laisse pas finir"" Rien, ce n’est pas grave, pff », je suis un peu énervée sur le  coup "D’un coup, la porte de la pizzeria s’ouvre, et là je vois Djibril entrer. Il a dû entendre le nom du restaurant quand nous étions dans la cage d’escalier de l’immeuble. Mais malheureusement il n’est pas seul, et oui c’est évident. Est-ce sa femme, une amie, une maîtresse, je ne sais pas mais je suis déçue ou peux être jalouse. Cela doit se voir sur mon visage, Fabien me demande ce qui se passe. 
 " Rien de spéciale, ne t’inquiète pas."
On boit l’apéro, mon verre descend en moins de deux minutes. Je suis perdue dans mes pensées et je viens de réaliser que Djibril est assis une table derrière Fabien, un peu en décaler, me faisant face et donc on peut se voir assez aisément. Je retrouve un peu de gaieté. Après notre commande, Fabien me sert un verre de rosé et je commence à boire.
" Et là, doucement, tu le sais bien tu ne tiens pas l’alcool. "
" De toute façon, le lit n’est pas trop loin. "" Et en plus l’alcool te rend amoureuse."" Oui, et alors !!! "
Et là je reprends deux gorgées de ce rosé." hummm, hummm, j’ai faim. "Je lui adresse des sourires, je sens mes joues rougir, j’ai un regard plein de malice, mais en fait je regarde Djibril dès que je peux. L’alcool un peu mais c’est surtout ce voisin qui me met dans cet état-là, même s’il n’est pas seul.
" Tu vois, tu aimes bien ce petit endroit. "
Oh oui  mais ce n‘est pas pour cette raison. Tout en regardant Djibril, je lui réponds:" Ah oui, il est pas mal, pas mal du tout. "Djibril comprend-il la situation? Il m’adresse un clin d’œil au même moment. Je demande à Fabien:
 " Il fait chaud là, non. "
On continue notre repas, et au bout d’un moment je pars aux toilettes, j’ai trop chaud. J’ai dû abuser un peu du rosé !!!En voulant fermer la porte, un pied la bloque. Djibril entre sans un mot, m’embrasse, enfin il bouffe littéralement ma bouche. Nos langues se mélangent, je suis aux anges.Une de ses mains plonge entre mes seins, il remarque que je ne porte pas de soutien-gorge. Normal, avec mon décolleté je ne pouvais en m’être un. Il défait le haut de ma robe et met sa pleine main sur un de mes seins et commence à le presser. Je gémis sous cette entreprise, je suis totalement sous son charme. Son autre main, passe entre mes cuisses, j’écarte un peu plus mes jambes pour lui faciliter l’accès. Il atteint mon tanga puis le décale et commence à pénétrer deux doigts dans mon minou. Il est bien ouvert et humide tellement je suis excitée par mon Djibril et par cette situation. Moi qui est connue que des rapports « classiques », là je suis servie. Avec son pouce, il joue avec mon capuchon et ensuite mon clito, je ne tiens plus : ma bouche est grande ouverte, ma respiration s’accélère, mes jambes tremblent un peu. Je me concentre pour ne pas crier. Djibril relâche un peu la pression, retire mon tanga et le met dans sa poche comme un trophée. Il m’appuie sur les épaules, et j’ai compris son désir et le mien pour la même occasion.
Je défais les boutons de son jeans, il ne porte rien en dessous, je sors son engin enfin pour moi c’est un monstre. Sa queue est énorme, je commence par des coups de langue sur son gland et son frein. Mon amant prend ma tête entre ses mains et m’invite à mettre sa queue dans ma bouche. Chose que je fais sans un refus, et surtout pas. Mes deux mains autour de son sexe au niveau de la base,  je rentre le reste de son engin dans ma bouche. Tout ne peut pas rentrer tellement il est grand et gros. Ensuite, il imprime des mouvements de va-et-vient.Je suis en train de réaliser que je me retrouve dans des toilettes sales à forte odeur d’urine d’un restaurant avec un inconnu, qui doit avoir le double de mon âge, avec nos conjoints dans la salle, en étant accroupie, cuisses écartées, ma robe à moitié défaite, plus de sous-vêtements et une bite dans la bouche.
 Au bout de quelques minutes de va et vient, je commence à voir que Djibril apprécié et râle un peu. Je recule un peu et décharge son foutre sur ma poitrine opulente et un peu dans ma bouche.  Il se rhabille et me dit :" ça va, tu as apprécié."" Oh que oui, merci."" On est resté un peu longtemps ici, non ?"
" Oui, je crois ." Je me relève, m’essuie ma poitrine et mon visage avec mes doigts et je les mets dans ma bouche pour avaler son sperme. Hummm, j’adore.
" Je m’appelle Djibril. " "  Moi c’est Eva. "  " On se voit bientôt ? "
"  Je ne sais pas "
Et il me répond d’un ton un peu sec et autoritaire.
" Si si, je le veux, et de plus tu feras un peu d’exhibe dans le restaurant pour moi "
N’ayant même pas le temps de répondre, il est déjà sorti.Je me rhabille et un dernier regard dans la glace, et je rejoins Fabien à table. La serveuse  a compris le petit manège dans les toilettes, elle m’adresse un beau sourire et je lui réponds de la même manière. A peine arrivée sur ma chaise, Fabien me bombarde de questions." Tu vas bien ?, ce fut long !, tu n’es pas malade ?"
 " Non, non, c’est bon, ça va. " 
On continue notre discussion de départ, mais j’ai la tête ailleurs. Je bois encore un peu de rosé. Sous la table, je me déchausse, et viens caresser avec mon pied le tibia puis la cuisse de Fabien. Mais la seule réaction qu’il a :
 " ce n’est pas le lieu, ni le moment pour faire ça.""  Ok comme tu veux !!! "  " Tu bois trop, calme toi. "" Merci, c’est plaisant !!! "
Tant pis pour lui, je remets mon talon en place, je me vautre sur ma chaise, je décale mes jambes sur le côté, et écarte mes cuisses en direction de mon amant du soir. Il me regarde et semble bien apprécier le spectacle. Je pense qu’il peut mieux voir mon minou que tout à l’heure, dans l’espace étroit des toilettes. Cela dure un bon moment, et soudain Fabien me dit :
" Assis toi correctement, tu vas tomber.""  Mais non, c’est bon, t’inquiète pas. " 
Je réajuste ma position tout de même.
" Tu es bizarre ce soir. " "  Ah oui ???, tu trouves !!! " 
C’est là que j’écarte un peu plus mon décolleté pour lui montrer une bonne partie de ma poitrine, mais que pour lui. Je reste comme cela pendant de longues minutes." Arrête un peu tes conneries, rhabilles-toi. " me dit Fabien, et je lui réponds" Moi j’ai envie de baiser, maintenant. Je veux dire à l’appart, pas ici bien sûr. ", hihihi -  " Moi je suis fatigué, je paye et on y va. " " Super, cool " je lui réponds d’un air ironique.On quitte le restaurant, Djibril sort également derrière nous, seul, sa compagne du soir part de son côté, ça ne doit pas être sa femme. Il se dirige vers l’immeuble, et nous on traîne un peu sur le chemin du retour. Je vois partir seul, mon Djibril, mais bon à bientôt.
à suivre ....
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