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Mon maitre Djibril

Chapitre 2

sous son emprise

SM / Fétichisme
De retour du restaurant, on rentre à l’appartement, et là Fabien me fait des réflexions sur mon attitude durant cette soirée. Je ne dis rien, je pars me démaquiller, et je me change pour enfiler ma nuisette et je fis au lit. Un quart d’heure après, il se pointe, s’allonge contre moi, me caresse mes fesses,... Je ne réponds pas à cette invitation, qu’il me laisse, je suis dans mes pensées avec Djibril même si je suis excitée, ce soir il ne se passera rien.Le reste du week-end se passe normalement, on a fait l’amour, mais rien d’extraordinaire, de quoi calmer juste un peu nos hardeurs mais peut-être pas pour les mêmes raisons.Le lundi matin,Fabien part faire du sport dans une salle à dix minutes de l’appartement, et moi je me prépare, je profite de mon lundi pour faire un peu de shopping. Un jeans classique, un peu moulant avec un chemisier fleuri et des petits talons et me voilà prête à partir.Un petit bisou à Fabien, et le voilà déjà parti à toute vitesse.
Je claque la porte et ferme à clé l’appartement et je commence à descendre les escaliers. Au niveau du deuxième étage, une porte s’ouvre. C’est Djibril : il me dit bonjour avec son grand sourire ravageur et me demande.
— Tu viens boire un café.
Je lui réponds.
— Bien volontiers.— Mais tu changes de tenue, je te veux plus sexy, un peu comme l’autre soir. Et au fait, tu as apprécié ce soir-là.— Oui, bien sûr.— Va te changer, et reviens vite.
Je retourne chez moi, mécaniquement, sans rien dire et en pensant à ma tenue que je dois porter pour satisfaire Djibril.Je file dans ma chambre, je me change pour enfiler une robe trapèze rouge avec des fines bretelles, des porte-jarretelles avec des bas fins et noirs, un brésilien et soutien-gorge assortis. Je passe à la salle de bain pour un petit peu de maquillage. Je mets à mes pieds des hauts talons noirs et me voilà en train de ressortir de l’appartement.Fabien m’a jamais vu dans cette tenue, une chose est sûre, c’est le scandale assuré en me voyant ainsi. Je descends à nouveau pour me trouver devant la porte de Djibril et je sonne. En même temps je pose la question : qu’est-ce que je suis en train de faire ?Je n’ai pas le temps de réfléchir que la porte s’ouvre.
— Eh ben dis donc, c’est bien joli tout ça.— Merci, c’est gentil.
Il me laisse entrer, et marche devant lui en direction du salon.
— Tu portes souvent des tenues comme cela.
Je réponds
— Quasiment jamais, Fabien n’aime pas, il dit que cela fait grossier, vulgaire...
Il donne un petit coup de tête sur le côté comme s’il approuvait la réflexion deFabien.Il attrape ma tête entre ses deux mains, et m’embrasse divinement bien. Sa langue fouille littéralement ma bouche et je fais de même. An bout d’un moment, il exerce une petite pression vers le bas et j’ai compris son désir.
— Tu comprends vite, j’aime bien ton attitude.
Je déboutonne son pantalon, baisse son caleçon et prend sa bite à deux mains. Je commence à faire des va-et-vient. Il râle un peu comme un signe d’approbation. Il m’interdit ensuite de tenir sa bite, je me retiens sur ses cuisses avec mes mains et m’ordonne de le regarder droit dans ses yeux. Il met une main sous mon menton et l’autre derrière ma tête, avec cela le mouvement de son bassin d’avant en arrière, il imprime son rythme pour pénétrer son engin dans ma bouche. Je commence à avoir les yeux humides et une envie de tousser.
— C’est bien, tu es une bonne fille.
Et il se reprend.
— Une bonne chienne.
Je le regarde avec des gros yeux et là une gifle part.
— Ne me dis pas que tu n’aimes pas ça, c’est toi qui as voulu venir chez moi, tu devais bien te douter comment cela allait être après l’autre soir.
Et il continue à baiser ma bouche.
— C’est bien je suis fier de toi.
Après cette entrée en matière, il me relève et soulève ma robe.
— Tu caches quoi en dessous. C’est bien joli tout ça mais ta culotte est en trop.
Il enlève mon brésilien, et ensuite ma robe, pour dégrafer mon soutien-gorge et jette le tout sur le sol.
— Ça aussi tu n’en as pas besoin.
Djibril m’attrape par les cheveux, et me dirige vers la cuisine en prenant au passant son téléphone, puis m’allonge sur la table. Il m’écarte les jambes et attache mes pieds à ceux de la table. Je dois allonger mes bras sur la table.Je sens sa bite entrer en moi tout doucement, elle est si grosse que j’ai l’impression d’être écartelée. Il commence des va-et-vient et moi je pousse des petits cris. Mais là Djibril ne le souhaite pas et me dis de me taire en giflant mes fesses. Même si j’ai arrêté, les gifles continuent à pleuvoir sur mes fesses. Avec une main, il entre des doigts dans ma bouche, et je bave sur la table. Il en récupère un peu qu’il dépose à l’entrée de mon anus. Il crache dessus également. Il commence, avec son pouce à faire des cercles autour de mon anus avant de le pénétrer.
— Oh noooooooooon, pas par làààààà, je ne le fais pas souvent.— Ne t’inquiète pas, je te teste. Je veux voir tes possibilités. Tu seras une bonne femelle.
Il retire son pouce, je sens ses testicules contre mes fesses. Je suis en train de réaliser que je me retrouve dans l’appartement d’un voisin, auquel je lui ai taillé une pipe dans un restaurant trois jours avant à l’insu de mon chéri, simplement vêtue avec un porte-jarretelles, des bas et des talons hauts, ficelée sur une table au niveau de mes pieds et ma poitrine nue plaquée sur celle-ci.Au bout d’un moment il pose des questions.
— Alors tu aimes.— OUI.
Une forte claque sur une fesse.
— Avec plus de conviction.— Oh ouuuui j’aime être remplie avec votre bite, oh OUUUuuuui, c’est trop booooon.— Tu viendras souvent me voir ?— Oui je viendrai à votre demande — C’est bien, tu es une bonne chienne à black, une bonne chienne, n’est-ce pas.— OUI, je suis votre chienne.— Elle est ou ma bite ? — Elle est en moi.
Et une nouvelle claque.
— Elle est dans ma chatte, elle me remplit bien, j’adore l’avoir en moi.— Et...— Plus vite, plus fort.
Djibril met une main sur une de mes épaules et m’attire violemment sur lui à chaque fois qu’il me pénètre.
— Oh— OUUUuuuuuuui, encore j’aime être prise comme ça
Je ne sais plus ce que je dis, j’apprécie cette position avec un vrai homme qui me prend comme cela.Je sens que Djibril va éjaculer, il se retire à temps pour envoyer sa semence sur ma figure.
— Oh noooon !!!— Tais-toi, salope !
En me mettant des fortes claques sur mes fesses. Il fouille dans ses affaires et sort un petit gode pour me l’enfoncer dans mon anus.
— Tu gardes ça en toi, ma petite chienne, c’est de l’entrainement.
Il me détache de la table et garde son téléphone avec lui.
— On va prendre le café dehors, et tu vas refaire ton maquillage, tu ne sors pas avec cette tête affreuse. Et m’indique la salle de bain.— Tu trouveras du maquillage et autre dans une boîte en carton sous le lavabo, tu as cinq minutes.
Je veux prendre mes sous-vêtements et ma robe, il m’interdit de récupérer mes dessous.Je marche vers la salle de bain, un peu gênée avec ce que je viens de subir et ce gode en moi. C’est une première pour moi.Pourquoi a-t-il du maquillage chez lui ? Il m’a dit que c’est à une ex, elle doit venir le chercher comme le reste de ses vêtements aussi. Je le crois mais un peu jalouse de cette histoire. Enfin bref, j’ouvre cette boîte, j’y trouve effectivement du maquillage. Je me démaquille, puis j’utilise le mascara pour mes cils et du rouge à lèvres. Je n’ai pas le choix, c’est un rouge assez vif. Je sors de la salle de bain, je me dirige vers lui, il prend, je pense une photo avec son téléphone.
— On dirait une vrai pute, avec cette robe, tes talons hauts, tes seins qui se balancent de gauche à droite et en plus de ton maquillage. Tu as bien choisi la couleur du rouge à lèvres.— Non le rouge— À lèvres je n’av...
. Pas le temps de finir la phrase que je reçois une gifle. Avec son grand sourire, il me dit :
— Tu ne me réponds pas !!! Compris ?.— Oui, j’ai compris.
Nous voilà en bas de l’immeuble, on se dirige vers un bar à deux cents mètres. Je marche à ses côtés, je suis vraiment petite par rapport à lui malgré mes talons. Tout en avançant, je repense à ma position sur cette table, je devais être son objet sexuel.
— Tu fais sensation, des mecs se retournent sur ton passage, j’espère que tu apprécies.
Je réponds en étant dans mes pensées, sans savoir ce que je dis vraiment
— Oui, c’est flatteur.
Juste avant d’arriver au bar, deux petites consignes de la part de Djibril.
— Tu mettras tes fesses directement sur la baquette, pas sur ta robe.— Oui d’accord.— Tu feras tout ce que je te demande, pour voir si tu sais obéir, mais je sais que tu es capable.— Oui d’accord.
On s’installe au fond du bar, il y a personne autour de nous, juste un peu de passageÀ cause des toilettes pas loin de notre table. Là, je sens que mon gode ne doit pas être bien positionné. J’en fais part à Djibril.Il me dit de le remettre ici, devant lui. Je n’arrive pas et me fais comprendre de partir aux toilettes pour mettre tout ça en ordre. A mon retour je vois deux hommes d’une cinquantaine d’années assis quasiment devant notre table.
— Tu vois ces deux personnes, allume-les. Passe ta langue sur tes lèvres et ensuite écarte tes jambes qu’ils voient ton sexe.
Je vois Djibril avec son téléphone dans ma direction. Je m’exécute. Je commence à passer ma langue sur mes lèvres, puis j’écarte mes jambes. Djibril a mis son téléphone sur la table puis en direction de ses deux personnes. Au bout de deux minutes, il demande de rester tranquille, et d’ajouter.
— On dirait une femelle en chaleur.
On discute un moment, on échange nos numéros de téléphone, mes tenues en sa présence,... Je lui que je dois partir car Fabien doit bientôt rentrer de son sport. Il me donne son accord
— Oui, bien sûr, va retrouver ton cocu de mec.
Je le regarde avec un petit sourire, et il me dit.
— On remettra cela bientôt !!!— Oui, tout à fait.— Embrasse-moi avant de partir.
Je me lève, je l’embrasse avec passion. Il passe une main sur ma poitrine, la presse un peu et d’ajouter qu’il faudra qu’il s’en occupe la prochaine fois.Je commence à partir et j’ai droit à une dernière obligation.
— Tu ne baiseras pas ton espèce de mec, aujourd’hui, compris !!!— Oui d’accord.
En sortant du bar, à travers les vitres, je remarque que Djibril discute avec les deux hommes qui étaient assis en face de moi.Je rentre chez moi en vitesse, je pars vite fait sous la douche. J’ai à peine le temps de mettre ma robe dans la machine, de cacher mon gode, et voilà queFabien se pointe. Je donne un petit bisou sur la bouche et je lui tourne les talons dans la foulée.
— Alors ton shopping.— Ton quoi ?.— Ton shopping.— Ah oui, je n’ai rien trouvé pour le moment, j’y retourne bientôt.
Eh oui, Djibril à des exigences sur mes tenues, je ne dois pas le décevoir. Je lui demanderai de venir avec moi.
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