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Le défi de mon mari

Chapitre 2

Avec plusieurs hommes
Déjà midi et j’ai encore un peu de temps avant mon rendez-vous avec mon garagiste pour un bruit suspect dans ma voiture.Je me dis autant mettre à profit le moment qu’il me reste pour trouver une bite à sucer.Je prends donc la direction du parking des routiers un peu plus loin sur cette aire d’autoroute. Seuls trois semi-remorques sont stationnés, deux côte à côte et un troisième un peu plus loin. Je me gare à côté de la cabine du camion qui se trouve à l’écart le long des arbres, le chauffeur est en plein repas sur une petite table pliante. Nos regards se croisent et je ne baisse pas les yeux tout en glissant ma main vers mon entrejambe. Je remonte doucement mes cuisses pour découvrir le haut de mes bas, de l’autre main je me caresse les seins. Si mon appel est certes un peu abrupt, il a le mérite d’être très clair. Et mon attitude ne tarde pas à avoir l’effet désiré, voilà le chauffeur qui se lève pour mieux apprécier le spectacle, je ne baisse toujours pas mon regard et continue mes caresses.
Il s’approche de ma portière, c’est un homme d’un mètre quatre-vingt, je dirais d’environ cent vingt kilos, le crâne rasé et les bras ainsi que le torse couvert de tatouages et le ventre d’un buveur de bière. Il s’approche de ma portière et se baisse un peu pour mieux admirer le spectacle à travers ma vitre. Il glisse une main dans son pantalon de jogging et commence de légers va-et-vient sur sa queue tout en me regardant. De mon côté, je sors un sein de ma robe et joue avec mon aréole, ce qui décide mon routier à aller plus loin et à me présenter son engin devant ma glace. Au bout d’une minute, j’ouvre ma vitre, il passe sa main à l’intérieur de l’habitacle, la pose sur mes bas et caresse doucement mes cuisses. Je sens ses doigts qui remontent et m’écartent mes petites lèvres pour pénétrer en moi. Il introduit deux doigts, me branle, joue avec mon clitoris non sans un certain savoir-faire. De mon côté, je saisis ses couilles et commence à les malaxer en douceur.
Je me penche, avance la tête par la fenêtre et passe mon visage vers sa verge tendue et titille le gland à petit coup de langue, avant de le prendre à pleine bouche. J’ouvre ma portière, sors pour m’accroupir derrière la porte pour finir cette fellation, je prends mon téléphone et immortalise l’instant.
Mon routier me fait comprendre de le suivre dans sa cabine, excitée comme je le suis, je ne me fais pas prier et me voilà escaladant le marche pied du camion et mon amant de l’instant qui me pousse les mains sous ma robe. Nous voilà dans sa cabine, il ouvre un coffre et en sort une boîte remplie de gel et de préservatifs, il en saisit un dans la boîte et l’ouvre d’un coup de dent et le déroule sur sa poutre dressée. Je m’allonge sur la couchette derrière les sièges et me retrouve cuisses ouvertes devant le chauffeur qui écarte ma chatte et envoie une grosse giclée de lubrifiant dessus puis directement se plante en moi. Le voilà en train de me fouiller le bas-ventre. Il me fait jouir le salaud, je crie de plaisir sous ses coups de boutoir. Il accélère ses mouvements tout en me mordillant les tétons. Je sens son membre se gorger de semence, il se plante profondément en moi et des jets de sperme se mettent à remplir sa capote au fond de mon vagin.
Il se retire, le préservatif plein de foutre, il fait un nœud et en anglais me demande si je suis OK pour lui nettoyer la bite qu’il me tend. A grand coup de langue, je m’applique à la rendre aussi propre qu’après la douche et j’avoue que j’adore ça. Et me voilà au pied du camion.
— Et de quatre !
J’avale rapidement un sandwich, un coca et je reprends le volant de ma voiture, me voici en route pour le garage et mon rendez-vous. J’ai volontairement contacté un garagiste situé à une vingtaine de kilomètres de la maison et que je ne connais pas. C’est un petit artisan qui travaille seul et uniquement sur rendez-vous. J’arrive, il est treize heures trente, juste à l’heure. Je sonne et M. Bellanger sort, je me présente et il m’invite à entrer ma voiture et ouvre le rideau métallique qu’il referme aussitôt derrière moi.
A l’intérieur un établi, des bidons, des outils, quelques machines, une fosse et un pont élévateur. Suspendu au-dessus de l’établi un calendrier d’une marque d’outils montre les fesses d’une jeune femme en porte-jarretelles allongée sur une aile de voiture la tète dans le moteur.
M. Bellanger est plutôt bel homme, la quarantaine, malgré ses grosses mains noires couvertes graisse et d’huile ses manières un peu brusques, il a vraiment beaucoup de charme et je ne regrette pas de l’avoir choisi au hasard parmi la liste d’établissements que m’a proposée internet.
Il a aussi cette fâcheuse façon de vous parler à la troisième personne :
— Alors elle a quoi comme problème ?
Je lui explique qu’il y a un drôle de bruit au niveau du moteur comme un claquement et que ça m’inquiète un peu. Il me demande de monter dans la voiture et de mettre le contact, j’entre et lève et volontairement la jambe, dévoilant ainsi le haut de mes bas, ouvre le capot et je démarre la voiture après quelques secondes, il me dit de mettre la voiture sur la fosse, lui descend et me fait signe d’avancer, je m’exécute et avance doucement à son ordre, je stoppe le véhicule.

— Elle veut bien descendre ?
J’ouvre ma portière en prenant soin de bien mettre lentement une jambe après l’autre hors de l’habitacle et offrir une vue panoramique de mon entrejambe, je sais qu’en dessous il profite du point de vue.Je monte et descends plusieurs fois à sa demande pour accélérer et pour couper le contact.
— Voilà je sais ce que c’est, elle a de la chance ce n’est pas grand-chose un petit réglage des culbuteurs et elle pourra repartir tranquille. Elle va juste devoir attendre une petite heure que le moteur refroidisse et que je le règle.
N’ayant pas d’autre choix, je lui lance :
— OK je vais attendre alors. Vous avez peut-être une machine à café ?
M. Bellanger me montre une porte et m’invite à entrer dans son bureau pour y prendre un café. A l’intérieur, deux chaises, un bureau avec quelques piles de dossiers, une étagère avec une machine à café et dans un coin une table basse et un canapé et un fauteuil. Je prends place dans le canapé en croisant les jambes bien hautes de manière qu’il puisse voir les bas.Il met une capsule dans la machine et me tend la tasse sans détacher ses yeux de mes jambes, je me fais un malin plaisir de faire monter la tension en croisant et décroisant les jambes. Après cinq minutes de ce jeu, je décroise mes jambes et les écarte pour qu’il puisse voir ma petite chatte toute lisse.
Il se jette à genoux devant moi et me dit :
— Elle a pas froid aux yeux et j’ai bien compris ce qu’elle veut, elle a pas peur qu’avec mes mains je lui salisse ses affaires ?

Mais c’est plus pour se donner bonne conscience, car il passe directement une de ses grosses pognes sous ma robe et enfonce deux doigts au plus profond de moi. J’ouvre toutes grandes mes cuisses pour permettre à ses doigts de glisser plus facilement, puis c’est sa tête qu’il passe entre mes cuisses et me dévore littéralement mon bouton de rose pendant que je sens qu’il cherche avec ses doigts devenus libres le passage dans mon cul, ce qu’il finit par trouver.
Il me branle le cul avec son index et son majeur, ma chatte avec sa langue et je sens qu’il lèche ses doigts au travers la légère membrane qui les sépare, ce qui déclenche en moi une vague de plaisir qui monte de mon vagin et je sais que bientôt un flot de liquide va jaillir, il va faire venir en moi la femme fontaine, ce qui est très rare avec des inconnus.
Je sens que s’écoulent des jets de liquide et le voilà le visage arrosé par mon plaisir.A moi de lui rendre ma jouissance et j’ouvre le zip de sa salopette et découvre qu’il ne porte rien en dessous, m’offrant ainsi un magnifique sexe aux couilles parfaitement lissent. Je le prends en bouche et je le gobe entièrement, je sors mon tel pour avoir ma preuve et continue mon numéro d’avaleuse de sabres.
Il se retire de ma bouche et se place derrière moi, je suis encore sur mon petit nuage de ma récente jouissance :
— Elle veut que je l’encule, hein elle aime ça ?
Pas le temps de répondre que son gland perfore mon anus, il y va, me défonce le cul à grand coup de reins, il m’écarte les fesses pour plonger sa queue entière en moi, je sens ses couilles qui claquent sur mon arrière-train. Il est au plus profond, j’adore quand sa bite me laboure les entrailles. Il serre ses mains sur mes hanches et se plante au plus profond de mon fondement et y déverse ses jets de foutre en lâchant un cri de libération. Je réalise qu’il n’a pas mis de préservatif quand son jus chaud se déverse dans mon rectum et s’écoule le long de mes cuisses. Salop tu m’as souillé le cul.
Et comme toute réponse il me déclare :
— Désolé mais elle m’avait trop excité et j’avais super envie de lui prendre son cul et je n’avais pas de capote ici.

Je lui demande s’il y a une douche, il m’indique une petite porte au fond où se trouve un WC, une cabine de douche et au mur pend une serviette. Il me dit de prendre mon temps, car il en a encore environ pour une heure et que pour la facture aucun souci, je l’ai déjà bien été réglée. Je prends le sac dans le coffre avec les bas achetés plus tôt, car ceux que je porte sont sales et troués et je les remplace par une paire en résille noire.
Voilà pour le cinquième.
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