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Mon mari et mes amants

Chapitre 1

Zoophilie
J’avais pris beaucoup de plaisir lors de ma soirée "pute" sur l’air d’autoroute. Mon mari le savait. Comme souvent, il nous a organisé, le week-end suivant une petite soirée avec deux de mes amants réguliers, Ludo et patrick. Ces deux là sont mes amants depuis huit et six ans. Ils font partie du cercle restreint d’une douzaine d’hommes qui me baisent régulièrement sans préservatif. Mon mari a beaucoup d’affinités avec eux, nous sommes déjà partis tous les quatre en vacances à Agde. La soirée était bonne, après m’être fait bien baisée par les trois hommes, je suis sortie pour me rafraîchir sous la douche et passer une tenue aguichante histoire de regonfler un peu mes hommes. De nouveau maquillée et parfumée, je suis revenue au salon, je les ai trouvé tous trois en grande discussion, Ludo et Patrick semblaient un peu embarrassés quand mon mari m’a annoncé qu’il leur avait fait part, sans entrer dans le menu, de notre soirée avec le camionneur Allemand, et surtout avec son chien. Je me suis mise à rire, et je me suis assise entre eux, pour mieux leur raconter en détails la scène. Ludo et Patrick connaissaient déjà mon penchant pour mes soirées "pute". Ils se sont serrés plus près de moi et ont commencé à me peloter de partout au fur et à mesure de ma narration. Je branlais doucement leur bite raide comme un bâton, quand j’ai abordé le moment ou le chien a commencé à me lécher le cul j’ai senti leur bite sauter entre mes doigts. Je me suis retrouvée prise en sandwich en deux secondes avec deux matraques qui tapaient au fond de mes orifices. Le souffle court, ils me demandaient de leur raconter le moindre détail, de ne rien oublier de cet accouplement hors normes, les sensations que j’avais éprouvées, si j’avais aimé, la grosseur du sexe canin, si j’étais prête à recommencer, etc. C’est quand je leur ai parlé du gros noeud du chien qui m’avait bloqué l’anus à la bête, des giclées de sperme chaud qui augmentaient la pression dans mon ventre, qu’ils ont tous deux éjaculés, m’inondant vagin et anus. Ils ne débandaient pas pour autant, continuant à me pilonner le cul et la chatte,faisant sortir le jus de mes orifices. Quand je leur ai dis qu’après être restée collé six sept minutes dans mon cul, le chien s’est retiré avec un bruit de bouchon et en larguant sur la couverture une quantité incroyable de sperme, Ludo et Patrick se sont répandus instantanément une seconde fois. Leurs assauts répétés m’avaient procuré une jouissance quasi continue. Mon récit n’étais pas étranger à cette énorme jouissance. Je me suis blottie dans les bras de mon mari, après un petit câlin, je l’ai soulagé avec ma bouche. Trois semaines plus tard et quelques jouissances extra conjugale de plus, mon mari, Ludo et Patrick sont venus me chercher sur les lieux de mon travail. A ma sortie du magasin, j’ai eu droit à un grand sourire de mes trois compères. Quelque chose se tramait, après un repas léger dans une cafétéria, nous avons pris la route pendant une grosse demi heure. Mon mari conduisait seul à l’avant de la voiture pendant que je m’occupais de nos amis. La voiture à stoppé en pleine campagne, près de bâtiments bas et allongés. Une nuée d’aboiements a fusée quand nous avons claqué les portes. J’ai compris immédiatement ce qui m’attendait, une lumière blafarde c’est allumée au dessus d’une porte métallique, et un homme jeune et assez beau est apparu. Patrick est allé à sa rencontre et l’a serré dans ses bras. Ils nous a tous présentés. Claude était un ancien collègue de travail, qui s’était reconverti dans le domaine de la pension pour animaux, faisant à l’occasion un peu d’élevage. Nous sommes entrés dans ce qui s’est avéré être la cuisine, il prit une bouteille d’alcool blanc, des verres et nous a servi à chacun une bonne rasade. Se faisant, il a commencé à parler avec les hommes, m’ignorant totalement. J’ai appris que ce que Patrick avait demandé était prêt, et au delà de ses espérances. Ludo a sorti une enveloppe et l’a glissée vers Claude. Quand les hommes se sont levés en dirigeant leur regards vers moi, j’ai eu un frisson. Je me suis levée à mon tour et j’ai suivi bravement le maître de maison, entourée de mes hommes . Nous sommes entrés dans une grande pièce carrelée à l’odeur de désinfectant. Une dizaine de cages abritaient chacune un chien. Tous étaient propres et semblaient en parfaite santé, Claude a expliqué que tous ces chiens étaient en pension chez lui pour des durées plus ou moins longues, que tous étaient tatoués, vaccinés et en pleine forme. Il les avait sélectionné en fonction de leur caractère et de leur docilité. D’autres étaient en réserve dans le chenil. Au milieu de la salle, trônait une sorte de table basse réglable en hauteur par une grosse manivelle, c’était la table de soins pour la toilette des chiens nécessitant une tonte régulière. Les couvertures posées sur la table, qui allaient me servir sans aucun doute de couche m’ont semblées sortir du pressing. S’adressant à moi, Claude m’a rassurée, me disant qu’il avait l’habitude de voir chez lui, de belles bourgeoises comme moi se faire enfiler par ses chiens, c’était même pour lui une très grosse source de revenue. Il organisait une à deux fois par semaine des soirées de ce genre, j’étais très gênée, bien qu’intimidée, j’avais la chatte trempée, dégoulinante. Excitée par ce qui allait se passer, je ne voulais pourtant pas passer pour la dernière des salopes, je voyais quatre bosses se former dans le pantalon des hommes qui m’entouraient. Très galamment, il m’a demandé par quel chien je voulais commencer. Interloquée et aussi pour ne pas passer de suite pour une gourmande,je lui ai demandé un animal avec un sexe pas trop gros. Nue je me suis allongée sur la table d’abord sur le dos, je voulais tester s’il était possible de se faire prendre en missionnaire par un chien. Je voulais aussi voir les premières réaction de mon mari et de mes amants, blasé, Claude est allé chercher un chien roux de taille moyenne, l’animal se demandait bien ce que tout ce monde lui voulait. Les jambes pendantes de la table, Claude l’ a approché lentement de mon sexe, flattant le chien pour le rassurer. Ma moule luisante de mouille devait avoir l’odeur adéquat, le chien a commencé par me lécher du cul au clitoris. Très vite il m’a fait jouir, m’enfonçant la langue dans le vagin, mes voisins ont mesuré combien ma jouissance avait été importante. Le chien comprenant qu’il pouvait passer à autre chose, est grimpé sur ses pattes arrières, je voyais le bout rouge de son sexe qui lâchait des giclées de liquide translucide. Aidé par Claude qui a dirigé la bite du chien vers ma chatte, les pattes ont enserré mon abdomen, la bite visqueuse tapait en désordre à l’entrée de ma chatte jusqu’à ce qu’elle trouve la porte de ma grotte. Dans cette position le chien roux ne pouvait pas entrer profondément. Pour me mettre en train, c’est tout ce qu’il me fallait, après s’être secoué très rapidement dans ma chatte, il s’est vidé longuement, ne me provoquant finalement qu’un plaisir restreint. Il me fallait plus gros et plus fort pour me satisfaire, mes voisins, les yeux exorbités regardaient le sperme canin s’écouler de ma chatte à gros bouillon. Ludo ramassa un gobelet en plastique sur une étagère et récupéra de mon con le liquide blanchâtre qui s’écoulait. Claude déclara que maintenant il fallait passer au choses sérieuses, les chiens qui avaient senti l’odeur de la femelle et du sperme devenaient nerveux. Claude libéra un gros chien noir, me fit allonger sur le ventre et posa une couverture sur mon dos pour me protéger. A partir de ce moment il ne s’adressa plus à moi, j’étais une chienne que ses chiens allaient couvrir. Le gros chien noir comme le petit roux s’avança, je me suis faite lécher chatte et cul, quand il est retombé sur mon dos j’ai compris qu’il s’agissait d’un gros calibre, Aidé par Claude, il se laissa prendre le sexe pour être guidé jusqu’à mon ventre. Plouf, d’une poussée magistrale il est entré en se cambrant, me soulevant le cul, enfin j’étais bien emplie, comblée je sentait la bite chaude pomper dans mon ventre. Le chien lâchait de petites giclées de liquide brûlant, j’étais bien, le gros sexe était bon. Après deux ou trois minutes de ce régime, il s’est enfoncé encore plus loin, collant le bout de sa bite à mon utérus. Son noeud s’est mis à gonfler, et il s’est déversé à gros bouillons dans ma chatte, j’ai senti que le chien me remplissait au plus profond de moi même. La boule empêchait le sperme de sortir, la pression dans mon ventre était terrible, je jouissais devant les hommes comme une malade. Il m’avaient amené ici pour cela, mon utérus palpitait sous les giclées de liquide qui le forçait. Claude a empêché le chien de se séparer de moi pour m’éviter un arrachement vaginal, les garçons avaient sorti leur bite, tous, avaient déjà juté sur le carrelage. Quand le chien est sorti avec un plop de ma chatte, un flaque de liquide odorant est tombé sur le sol, mon mari a saisi un autre gobelet, en déclarant que compte tenu de la qualité de mes jouissances, tous les chiens ici présents avaient le droit au plaisir de sauter une chienne. J’avais le devoir de tous les satisfaire. Un à un, tous les chiens m’ont baisé ou enculé, à chaque changement de partenaire, j’ai pris du plaisir. J’avais juste demandé à ce que l’on ne laisse pas les noeuds me forcer le cul, je voulais éviter ainsi un déchirement possible de l’anus. Mes amants recueillaient à chaque "passe canine" le jus que j’expulsais de mon ventre. Ce soir là, de mon cul et ma chatte, mes amants ont récupéré un gobelet et demi de sperme, j’ai joui comme jamais je n’avais encore joui. Pendant que Claude est allé chercher deux autres chiens, mes hommes se sont rués sur moi, m’investissant les trois trous en même temps. Ils marquaient ainsi, eux aussi leur territoire, je sentais le chien et le sperme. Je n’ai pas pu satisfaire le dernier animal. j’étais trop fatiguée, pourtant l’énorme bite qui sortait du fourreau me tentai terriblement. Je n’en pouvais plus, Je pensais à la prochaine fois, s’il est encore là, je commencerai par lui. En sortant de la pension pour chien j’ai su que j’améliorerai mon score. J’avais le cul et la chatte en feu, j’ai à peine senti quand mes hommes m’ont passé sous la douche en rentrant. j’ai dormi toute la journée du lendemain, Claude avait glissé un petit mot dans mon sac à main, avec son numéro de téléphone et son adresse.
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