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Ma nièce, mon mari et moi

Chapitre 1

Inceste
J’ai ma petite nièce Nicole pour les vacances: sa mère est très fatiguée. Elle est triste: à 16 ans, sans sa mère on a du chagrin. J’ai beau la consoler, rien n’y fait. Mon mari est comme moi il ne sait plus comment la distraire: elle veut sa mère. Pour cette première nuit, nous la gardons dans notre chambre, dans un lit que nous avions pour coucher notre dernier. Mon époux a préparé une tisane pour la calmer. Ca a l’air de fonctionner.Enfin plus calmes nous commençons à nous câliner, disons que je commence à lui chercher la bite. J’ai envie qu’il me remplisse la chatte avec son sperme, qu’il m’encule et que je finisse par le sucer. J’aime faire tout ça dans l’ordre. Il est sur le dos, j’en profite pour prendre sa queue dans ma main. J’aime la sentir durcir, c’est un gage de bonne baise. Il me rend la pareille, sa main vient sur ma chatte: comme toujours il trouve mon clito qu’il branle doucement au début. Il va de plus en plus vite: je ne sens plus ses doigts, je sens seulement un plaisir diffus voyager dans mon ventre avant la délivrance: je jouis une première fois. Quand il vient sur moi, je ne le guide pas: il sait trouver mon con bien vite, trop vite certaines fois. C’est le début d’un carnaval qui commence, je vois des étoiles partout, je sens mon ventre prêt à exploser. Enfin arrive un plaisir immense qui part de mon sexe et monte jusqu’à la tête en passant par la poitrine et redescend vers le con. Je sens son sexe gonfler juste avant qu’il jouisse dans mon ventre. Que c’est bon, que c’est bon. Quand il sort de ma chatte il bande encore. Je me met vite en levrette, prend sa pine, la pose sur le cul. Il ne lui reste qu’un petit coup de rein pour me poignarder. Je la sens bien quand il me la mise. Je me branle pour avoir encore plus d’orgasme. Je n’ai jamais pensé à les compter, en tout cas il m’en donne beaucoup dans le cul. Il jouit une dernière fois. Quand il sort, je suis obligé le lui nettoyer la bite: je la lèche, la met dans la bouche pour enlever les dernières traces de mon cul et de son sperme (hum, son sperme)Il reste nu alors que je mets une nuisette. Nous échangeons un bonsoir toujours mouillé de nos baisers. Je pousse à ce moment mes derniers soupirs: je soupire beaucoup pendant une baise.Le lendemain il est déjà parti quand je me réveille; dommage, j’aime bien le branler le matin au réveil. Je me lève à mon tour.J’avais oublié ma nièce Nicole qui à ce moment là se rappelle à moi. Je la lève, l’embrasse, je la chouchoute un peu. Je sens qu’elle a de petits seins qui poussent: elle devient femme petit à petit.— Qu’est-ce que tu avais hier au soir à te plaindre?— Je t’expliquerais plus tard.Je laisse traîner le plus possible. Je prépare le repas en m’efforçant d’oublier ce qu’elle m’a demandé. Enfin mon mari entre un peu après midi. Je peux lui parler de la question et surtout quoi répondre. Brutalement il me dit:— Montre lui comment tu jouis, branles toi devant elle et mieux, suce la et branles la. Si elle ne comprend pas ce soir je me la paye.— Enfin une fillette de 16 ans.— Tu as vue qu’elle a des seins, alors, ce n’et plus une fillette: je me la paye ce soir avec toi.Dès son départ je sais qu’il va faire ce qu’il a dit. Je n’en suis pas jalouse. Je regarde Nicole différemment. C’est vrai c’est une femme en miniature. Et d’abord quesqu’elle porte: une petite culotte, un t-shirt. La petite robe est toujours dans la chambre. Elle recommence à faire la gueule. Gentiment je la couche sur le lit, elle me regarde avec des yeux plein de larmes. Je l’embrasse sur les joues, je lui caresse le visage quand je ne sais pourquoi ma main descend sur un sein que je caresse. Elle a l’air étonné, sans plus. Je continue mon exploration de ce sein; je trouve le même téton, en miniature que sur mes seins. Je la pelote carrément. Ma main change de sein, c’est ma bouche qui la remplace. Elle se laisse faire en souriant:— C’est bon tatie ce que tu me fait, n’arrête pas.Ce n’est pas le genre de chose à me dire. Ma bouche va sur la sienne, j’entre ma langue dans sa bouche facilement, plus facilement que je le croyais. Ce qui commence à me plaire c’est qu’elle répond. Ma main est maintenant sur sa chatte. Par-dessus sa culotte je caresse un peu. Finalement je la mets toute nue. Elle a déjà du duvet sur le mont de vénus. Ma main monte entre ses jambes. J’arrive sur sa chatte et je cherche un peu son clitoris. Je le trouve au milieu d’une chatte toute mouillée. Je trouve excitant de l’initier au plaisir. Je la masturbe très doucement. Je suis assise à ses cotés, d’elle-même elle me met la main entre mes cuisses et reproduit sur moi ce que je lui donne. Elle aussi me branle, plutôt bien même. Je la fais sursauter quand elle a son premier orgasme: elle ferme les yeux, les ouvre à nouveau. Je prend sur moi de lui mettre un doigt dans le con. J’espère de pas la déflorer: mon époux en serait jaloux peut-être. Je sens ses spasmes autour de mon doigt, c’est une vrai jouissance. Quand elle fini de jouir, elle se souvient de ce qu’elle faisait: elle reprend ses caresse sur mon bouton. Je ne peux m’empêcher de gémir: elle me regarde en ayant l’air de comprendre. Elle me fait partir assez vite: je lui demande d’entrer sa main dans mon con: elle le fait volontiers. C’est à ce moment là que je jouis.— Tu as compris ce qui se passait cette nuit?— Oui tu te faisais du bien.— Non c’est tonton qui me faisait du bien. — Comment?— Il te le montrera ce soir en couchant avec toi.— Il me fera gémir?— J’espère bien.Quand il rentre je lui raconte tout ce que nous avons fait. D’après lui j’ai bien fait de lui apprendre ce que je savais.Maintenant il est prêt à se la farcir. Je préfère assister à la première baise de cet enfant. Je ne voudrais surtout pas qu’il l’abîme pour la suite de sa vie sexuelle. Il la déshabille lentement, bien mieux que je l’ai fait, il l’embrasse partout, la caresse au point qu’elle s’offre à lui. Il se met nu, elle voit le mat de mon mec. C’est impressionnant pour une première fois. Elle sait où elle va le recevoir, ne s’en émeut pas au contraire, elle la touche, commence même à la masturber. Toujours très doucement, il se met entre les jambes écartées. C’est lui qui pose la bite sur l’entrée du con de la petite. Je regarde comment il fait: je mouille. Il ne se pose pas sur elle pour ne pas l’écraser. Enfin lentement, très lentement il la déclore sans qu’elle se plaigne. Il est au fond d’un jeune vagin tout juste formé et déjà sensible puisque quand il commence à aller et venir dans le ventre, elle fit comme moi, elle gémit de plus en plus fort, jusqu’à pousser un hurlement de jouissance. Je fais plus que mouiller, je me branle comme rarement. Elle voudrait rester avec nous pendant que nous baisons. Par contre elle nous regarde faire tout le long de notre baise. Elle demande même que demain mon mari l’encule comme il me fait. Elle a bien vu que je me donnais du plaisir, elle commence à se branler régulièrement: ce sera un excellente baiseuse, tant avec les hommes qu’avec les filles. D’un coté tant mieux.
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