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Mon mari m'offre à d'autres mâles.

Chapitre 10

La croisière s'amuse. Partouze

Avec plusieurs hommes
La croisière s’amuse.

Mon mari, malgré la relative facilité que son travail nous créait de recruter du manche à couilles, continuait de dépenser des trésors d’ingéniosité pour me faire plaisir et  satisfaire  son penchant croissant à me voir baisée par d’autres hommes.
Dire tous les plans qu’il monta serait fastidieux d’autant qu’ à certaines reprises, ce fut un flop, les mecs n’étant pas à la hauteur des espérances.Si, au pire, l’embauche s’avérait difficile au regard des critères de choix, il était toujours possible de retomber sur mon beau-frère et mon beau-père et Mustafa bien sûr. Sébastien le voisin restait inaccessible et c’était incompréhensible.
Nous fîmes cependant des connaissances qui  s’avérèrent fort utiles comme ce médecin qui put nous procurer, outre de violents orgasmes, certains médicaments utiles à la prévention des IST... en prévision de notre voyage.
Car mon mari m’offrit une croisière.
Quels étaient ses plans ? Le plus souvent il me faisait la surprise mais il était difficile de garder le secret pour notre embarquement. Il me jura qu’en la circonstance, il n’avait rien prévu. On aviserait sur place. Il ne manquerait pas d’hommes à bord, faciles à séduire. On irait à l’aventure et, si nous faisions chou-blanc, il me baiserait lui même tout les jours, promis. Cette perspective était déjà réjouissante en elle-même et suffisante pour me promettre un merveilleux voyage.
Je ne le croyais qu’à moitié mais au final, c’était vrai. Seules les opportunités dictèrent notre conduite. Encore fallait-il les provoquer.Et ce ne fut pas long.Sitôt à bord, les bagages installés dans la spacieuse cabine, une suite plutôt, nous nous dirigeâmes vers la poupe pour assister aux manœuvres du départ.Nous surplombions ainsi les espaces destinés à la manutention des boutes, qui n’avaient pas encore débuté, sans pouvoir y avoir accès bien sûr.
-  Regarde, regarde !-  Quoi ?-  Le mec là, tu vois la brute, chérie... ça te dirait pas de te faire monter par ce colosse ?
En effet un docker ou en tout cas l’équivalent sur un bateau, allait et venait en attendant qu’on lui donne des ordres. Il disparaissait parfois et revenait tout en parlant, en anglais qu’on entendait parfois par bribes avec un certain accent, à un invisible camarade.
Sa carrure était très très avantageuse. Il était grand, blond, très musclé. Ses pectoraux déchiraient presque son débardeur kaki dégueulasse. De dos il était tout aussi impressionnant. Ses bras ressemblaient à des troncs d’arbres et sa peau basanée complétait très favorablement le tableau
-  C’est pas parce qu’il est baraqué qu’il a une grosse bite ! Remarquai-je.-  Même si elle est petite sa queue, te voir disparaître sous ce monstre doit être très excitant. J’essaie ?-  On ne risque rien, répondis-je.
Mon homme avait prévu un petit matériel constitué d’une photo de moi dans le plus simple appareil, allongée, jambes ouvertes, visage flouté. Il était écrit en anglais : "tu veux baiser ma femme"? Puis un numéro de portable. Quelques pièces de monnaie faisaient lest. Eric laissa discrètement tomber le message aux pieds du mec sans que les autres passagers appuyés comme nous au bastingage ne s’en rendissent compte.
Le bruit des pièces heurtant le plancher métallique du navire parvint aux oreilles de notre Apollon malgré les bruits de la manœuvre.Le gars  regarda par terre puis en l’air, ramassa le paquet, l’ouvrit, lut et regarda en l’air à nouveau.Mon mari m’avait donné le portable que j’agitais en regardant le garçon.Je le vis fouiller dans sa poche et sortir son portable.Je reçus un message
-  For real ? Not a joke ?
Je répondis aussitôt et toujours en anglais mais en lui demandant s’il était possible d’avoir une photo de sa bite. La conversation, que je traduis, se poursuivit... encourageante.
-  Je peux pas, j’suis avec un collègue. Mais j’ai un gros sexe si c’est ce que tu veux savoir.-  Votre collègue veut se joindre à nous ?
Il y eut un moment de silence. Le gars disparut puis envoya :
-  Oui.-  Il peut se montrer ?
Et aussitôt, ils apparurent sur le pont. L’autre type avait un look un peu oriental, peut-être turc. Il était plus petit mais ses muscles étaient aussi  importants que ceux de son camarade. Par contre il paraissait beaucoup plus âgé; Le premier devait avoir la trentaine à peine et l’autre pas loin du double. D’ailleurs son ventre n’était pas plat comme celui de son jeune compagnon.
-  Vos bites les garçons ? On peut avoir des photos ?
Il me fallut attendre un peu pour le selfie car il y eut quelques manœuvres à exécuter. Mais, côte à côté les mecs me montrèrent leur paquet bien à l’air , bien épais et bien poilu, circoncis pour le vieux, avec un prépuce apparemment épais protégeant un gland dont on voyait nettement les contours pour le plus jeune.
-  Trop bonnes vos queues.... vous êtes libres quand ?-  Notre quart s’achève dans deux heures vingt... puis le temps de prendre une douche...-  Venez comme ça !-  On ne peut pas, on n’a pas le droit de fréquenter les passagers.-  On peut venir chez vous ?-  ... Oui... si discret.
Et ils nous expliquèrent où trouver la porte de la coursive qui donnait accès à leur cabine.Nous regardâmes la suite de l’appareillage. Le vent qui montait de la mer apportait peu de fraîcheur. Aidés par les treuils, nos dockers faisaient peu de mouvement mais portait des câbles lourds et allaient d’un bord à l’autre. Parfois ils tournaient leurs regards vers nous et souriaient en parlant fort entre eux et rigolant. Puis ils disparurent. Il restait plus d’une heure et demie encore.Nous eûmes le temps de repasser à notre cabine. Je mis une robe légère sans rien dessous et emplit mon sac avec un tube de gel et une réserve de préservatifs.
Nous nous approchâmes fébrilement de la porte qui devait s’ouvrir pour nous et j’étais toute excitée.Il se passa dix minutes au delà de l’heure convenue et je commençai à craindre un lapin. Le bateau était en pleine mer et avançait alors que le soleil commençait à décliner.
Tout à coup, il y eut un message.
-  Nous sommes là derrière la porte. Vous êtes seuls ? Personne en vue ?-  Oui
La porte s’ouvrit aussitôt.
-  Vite ! Vite!
Nous nous engouffrâmes et suivirent les deux mecs d’un pas vif avant de nous trouver dans une petite cabine où il n’y avait qu’un lit.
-  Ma cabine ! dit Peter, d’origine australienne, et voici mon pote Mourad.
Les deux mecs étaient gigantesques. Ils dégoulinaient de sueur, leur débardeur en était trempé, dans le dos et dans le creux des pectoraux.Mourad défit sa ceinture et baissa son froc. La bite se déploya, superbe.
-  Suce !
Je m’y mis aussitôt. Elle sentait fort les effluves du jour. Son gland était épais et courbé, très doux.
Mon mari se mit sur le côté. Pour laisser la place à la marmule australienne. Je pompai l’un et branlai l’autre, pompai l’autre et branlai l’un, alternativement. J’étais heureuse de ma trouvaille, ou plutôt de celle d’Eric. J’avais deux bonnes grosses teubs, dures à souhait, qui embaumaient le mâle adulte en période d’excitation. Ça puait fort l’homme. J’avais les naseaux dilatés par tant d’agréables effluves. Je mouillai sans avoir besoin de me toucher.
Les gars appréciaient le contact de ma langue. Le turc dégoisait des choses incompréhensibles tandis que l’australien débitait des " bonne salope, quelle suceuse, quelle bouffeuse de bite...’ sans interruption.
Ils tendaient leurs mains vers mes nichons pour les peloter vigoureusement au travers du linge délicat de la robe. Leurs mains sentaient l’odeur caractéristique qui s’en dégage quand on les tient trop longtemps dans un gant comme ceux que j’utilise pour le jardinage.
Enlève tes fringues, dit le turc dans une anglais aussi guttural qu’approximatif. Mais j’avais tellement le feu au cul que je fis de la traduction simultanée.
Je me relevai donc pour enlever ma robe. Les deux gars avaient déjà profité des mes mouvements alternatifs de la bouche d’une bite à l’autre pour ôter leurs pantalons. Au moment où j’enlevai ma robe, ils en profitèrent pour enlever leurs débardeurs, mais l’australien fut moins rapide, occupé à me doigter déjà et j’étais déjà nue quand il tendit ses bras vers le ciel pour se débarrasser  de son marcel.
Ce type s’entretenait. Autant le turc était couvert de poils formant une toison uniforme du pubis jusqu’aux tétons saillants, et s’éclaircissant sur le haut des pectoraux, autant l’australien  s’entretenait le poil. Ses couilles étaient lisses, son bas ventre taillé et, visiblement, il s’était rasé les aisselles où un poil pas très long encore repoussait. Des perles de sueurs scintillaient dans cet antre de la virilité. Je me mis sur la pointe des pieds pour aller en recueillir le meilleur du bout de ma langue. Le gars apprécia et me présenta l’autre côté pendant que le turc se masturbait en essayant de l’autre main de s’approcher de ma chatte.
Mon mari libéra son zboub et jeta sur le lit une poignée de capotes et un tube de gel. On ne sait jamais, même avec un traitement contre les IST...

Le tube de gel doit vouloir dire la même chose dans toutes les langues car, dès qu’il le vit, Mourad bascula dans mon dos et, à genoux, écarta mes fesses pour y introduire une langue tellement longue et nerveuse qu’il avait dû se la faire greffer à partir d’un caméléon.
Puis il enfila un préso, enduisit ma rondelle de gel et commença à me pénétrer. Mais la tentative fut infructueuse autant à cause de la taille du cylindre qu’à l’angle d’attaque. J’étais trop droite. Mais on pouvait corriger ces deux problèmes. Je décidai donc de ne plus lécher les aisselles de Peter ni ses tétons et me penchai pour avaler sa bite, offrant ainsi ma croupe à l’enculeur que j’aidai de mon mieux en écartant mes jambes.
Le mec m’éclata l’anus. Solidement attaché à mes hanches qu’il broyait dans ses mains comme un étau, il me culbuta violemment. Sa masse et sa force conjuguée faisaient merveille. J’étais secouée, mes seins dansaient lourdement et j’avais du mal à pomper la belle bite de l’australien  à cause des chocs répétés qui me propulsaient en avant.
Malheureusement, si Mourad était puissant, il n’était en revanche guère endurant. En moins de deux minutes, il retira précipitamment sa queue de mon trou, enleva sa capote et me propulsa sur les reins une bonne dose de foutre.
J’étais plutôt déçue. Le "kangourou" semblait plus résistant mais pour lors ne songeait qu’à se faire pomper. Il se mit même debout sur le lit pour que je puisse me redresser et tout en m’invitant à lui lessiver le sexe avec la langue, il supplia mon mari de m’enculer... au moins là, je savais que j’en avais pour un moment.
Mourad s’était précipité dans la douche de son pote où il tenait à peine. A petite cabine, petite douche.
Peter voulut ensuite que je maintienne sa queue entre mes seins. Eric me limait toujours et c’était très agréable. Pour hâter mon premier orgasme, je demandai à l’australien de me prendre dans la chatte. Il voulut bien. Il me prit donc en missionnaire sur le plumard étroit. Mon  mari matait à côté.Sa douche terminée, le turc disparut en baragouinant quelques mots que nous ne comprîmes pas mais auxquels Peter répondit par un OK. Puis il me fit mettre à genoux sur le lit pour ma claquer le cul par derrière. Il y allait plutôt lentement. Las ! lui non plus n’avait pas beaucoup de résistance. Il se retira, me fit pivoter vers lui et arrosa ma poitrine de son jus épais et chaud.
Il pressait le bout de son dard pour en extraire le dernier jet quand on frappa discrètement à la porte.
Avant de répondre la porte s’ouvrit et deux autres types baraqués entrèrent, refermèrent et baissèrent immédiatement leur froc. Les zobs apparurent déjà dressés. De dimension plus modeste, ils firent néanmoins l’affaire. Les gars étaient plus endurants et j’eus mon content de chocs. Ils me saisirent en double immédiatement, sans même prendre le temps de faire connaissance.
Que j’eusse du sperme sur les seins cela ne les rebutait guère. Celui qui me sautait par devant les suça quand même et, quand l’autre me les pétrit, ils étaient quasi lavés.
Deux autres types entrèrent donc un black genre pygmée avec littéralement une troisième jambe. On était à sept dans la piaule et ça commençaient à faire serré et à sentir le fauve. Les deux gars qui me pinaient ne semblaient pas disposés à laissés la place au nouveaux venus qui devaient se contenter, au moins provisoirement de leur main droite. Il n’empêche, j’avais drôlement envie de me faire enfiler par le pygmée. Comme je faisais remarquer à Eric que la bite du petit black me défoncerait sûrement la moule jusqu’à l’œsophage, l’heureux triquard répondit en français parfait qu’ils se faisait fort de me l’enfoncer par le cul jusqu’à la luette. Romuald, du Congo, barman à bord. Au bon endroit, au bon moment. Ses copains l’appellent "Marsupilami". On devine pourquoi.
Deux autres gars entrèrent. STOP ! Plus de place, faites la .... queue !
Mais cela faisait trop de monde et on frôlait l’émeute. L’affaire fut traitée en un tournemain. Deux gars ouvrirent la porte. Deux autres firent le guet et celui qui me sautait, me souleva m’empalant toujours et me porta quelques mètres plus loin, dans une salle dédiée à l’équipage où trois autres garçons regardaient là télé.
Le mec marchant tout en me pénétrant... la sensation fut extraordinaire. Il eut du mal à maintenir sa longue bite dans le vagin pendant le court périple mais, à chaque fois qu’elle en sortit, il me réenfila et reprit son mouvement.
Eric et moi étions dépassés par les évènements... gangbang donc !
-  J’vais pas avoir assez de capotes, dit Eric-  Je sais où en trouver, dit Romuald. Chauffez-moi la place. Je reviens.-  Tu vas te brûler au retour lui répondis-je.
Et tous ils me baisèrent.... tous comme des bêtes... plus ou moins vite... mais fort, très fort. Les orgasmes succédaient aux orgasmes, je mouillai abondamment et j’avalais le sperme de mon mari qui n’y tint plus de voir autant d’hommes me monter.
Je ne pouvais pas regagner ma cabine, pas avec les cheveux collés par des giclées de sperme coagulé, pas avec du sperme sur le visage et sur les seins. J’avais du sperme partout. Les rares gars suffisamment maladroits pour juter dans leur capote, en déversaient le contenu sur ma poitrine quand ils la retiraient.
Romuald me finit. Pour la première fois, une pénétration me fit mal. Sa bite était tellement longue ! Il le comprit, adapta ses gestes et me bourra longtemps encore après que les autres gars eurent fini. Quelques-uns restèrent pour le bouquet final... un geyser de foutre, jaillissant d’un pipe-line noir sur mon profil droit à m’en boucher l’oreille.
Peter eut la gentillesse de me porter jusqu’à sa cabine pour que je m’y douche et m’y rhabille. Pendant que je me délassai, j’entendis Eric et Romuald converser. Un courant de sympathie semblait s’installer entre les deux étalons.
Romuald, de part ses fonctions était autorisé à fréquenter les espaces réservés aux passagers. Il revêtit son uniforme et nosu accompagna jusqu’à notre suite en se promenant avec aisance dans le dédale des coursives.
Il nous invita au bar le soir et nous informa qu’il quitterait son service à deux heures du matin et qu’il se tiendrait à notre disposition après.
J’ai la chatte large comme un corridor. Ces butors m’ont défoncée mon amour. Je suis claquée...Profitons de notre croisière... Romuald reviendra un autre jour.
Et ainsi fut fait !
A suivre
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