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Mon mari, ma soeur et moi

Chapitre 1

Avec plusieurs femmes
Mon mari, ma soeur et moi...
Je me prénomme Natacha, j’ai une sœur, Julie, plus jeune d’une année, qui me ressemble tellement que parfois, on nous croit jumelles. L’une comme l’autre, nous sommes bisexuelles... Nous n’avons pas d’exclusive, et depuis notre adolescence, nous avons des relations intimes aussi bien avec des garçons que des filles... Cela s’est dessiné lors des dernières années de lycée... J’aime bien la douceur d’une femme et l’ardeur virile d’un homme !

Nous avons toujours été proches l’une de l’autre, et l’entrée dans la vie active ne nous a pas séparées, bien au contraire. Nous ne travaillons pas le lundi (j’assure la permanence le samedi), et c’est assez souvent que nous nous retrouvons pour faire les vitrines ou encore passer l’après-midi à papoter...

A 30 ans, je suis en couple avec Jérémy, un collègue de bureau qui m’a séduite ( ?) lorsque je suis arrivée dans le service qu’il dirige dans un ministère... J’ai mis du temps avant d’accepter de sortir avec lui, d’abord « en tout bien tout honneur », comme on dit parfois. Originaire de province, il n’arrivait pas à se faire à la vie trépidante de Paris où il se sentait perdu et isolé.
Puis un jour, notre sortie au théâtre a été suivie d’une belle partie de jambes en l’air dans mon petit appartement... Nous nous sommes revus plusieurs fois les week-ends, mais nous gardions nos distances au bureau... On ne voulait pas être en butte aux cancans, ni à la jalousie de certaines autres collègues féminines. Il m’a fallu presque un an pour le convaincre de s’installer chez moi...

Julie, qui a toujours refusé de passer les concours pour entrer dans une administration, enchaînait les petits boulots dans différents magasins, mais elle avait su surnager et conserver son studio sous les toits, beaucoup moins confortable que mon petit logement.
Je ne sais pas comment cette gourde s’est laissé faire un gosse par son compagnon... Nous avions toujours été prudentes dans nos relations avec les hommes, les obligeant à porter un préservatif s’ils voulaient nous sauter... Dans le cas contraire, ils pouvaient se brosser !
Bref, nos habitudes du lundi continuaient, mais nous étions bien plus souvent chez moi, car Julie s’était fait larguer pas son mec dès qu’il avait su qu’elle était enceinte... allant même jusqu’à lui jeter à la figure que « le mioche » n’était pas de lui !
J’avais consolé ma sœur en lui disant :
— qu’elle n’était pas seule...
— qu’elle n’était pas la première à qui cela arrivait...
— que son mec n’était pas digne d’elle, etc.
— que Jérémy et moi, on l’aiderait à supporter cette mauvaise passe.

Ce lundi-là,, lorsque ma sœur est arrivée chez nous, j’ai tout de suite vu qu’elle n’avait pas le moral... Son beau visage était terne, pas maquillé, et ses yeux étaient cernés comme si elle avait pleuré toutes les larmes de son corps... J’étais surprise, car malgré sa situation, elle avait toujours gardé le sourire et une certaine joie de vivre...
Pour l’aider à supporter ce mauvais moment, je lui ai offert de prendre un bain relaxant (elle n’a qu’une douche minuscule chez elle) et dit que je pourrais la masser après si elle voulait... Il fallait qu’elle conserve la jolie poitrine bien ferme qu’elle avait, et moi, j’avais tout ce qu’il fallait pour cela !
Enfoncée dans l’eau moussante de la baignoire, Julie savourait... elle me disait combien ce bain relaxant lui faisait du bien...
De mon côté, je venais d’achever ma séance hebdomadaire de gymnastique quand ma sœur était arrivée, et je ne portais que mes dessous, un soutien-gorge brassière et un tanga en dentelle, et j’avais enfilé dès que possible mes éternelles chaussures à plateforme qui m’obligeaient à un maintien irréprochable...
Quand au bout d’une demi-heure, Julie est sortie de l’eau, j’ai enveloppé dans une immense serviette en éponge pour l’essuyer... Mais cela lui a fait tellement de bien que Julie m’a incitée à lui caresser les seins à main nue... Bientôt, des soupirs d’aise ont fusé surtout lorsqu’elle a été allongée sur le lit et que j’ai fait rouler ses tétons entre mes doigts... Ce n’était pas la première fois que nous nous livrions ainsi à des caresses, mais jamais nous n’avions dépassé des attouchements sur la poitrine de l’autre...
Quand nous étions adolescentes, puis de jeunes adultes à la maison des parents, c’est plus d’une fois que nous avons pris nos douches ou nos bains ensemble... Nos parents n’y voyaient aucun mal, d’autant qu’eux-mêmes le faisaient aussi, et c’est assez souvent que nous les entendions baiser dans leur chambre ou même parfois sur le tapis de bain quand l’urgence se faisait sentir !
C’était de chauds lapins... Je savais qu’ils s’étaient rencontrés dans un camp naturiste que leurs parents respectifs fréquentaient... Ils avaient de qui tenir quand on sait la réputation sulfureuse de certains de ces lieux...

Julie m’invitait à continuer les caresses sur sa poitrine (qui comme son ventre) prenait de l’ampleur... Elle voulait même que je prenne ses tétons en bouche pour savoir ce que cela ferait lorsqu’elle allaiterait son bébé !
C’est dans cette posture que Jérémy nous surprit... Je savais qu’il ne travaillait pas non plus, mais qu’il était parti faire des achats et qu’il rentrerait vers 18 heures...

— Oh... le charmant spectacle !
— Veux-tu te sauver et nous laisser nous habiller !
— Oh non... Laisse Jérémy nous regarder... Je sais qu’il en a envie... J’ai bien vu les coups d’œil qu’il me jette quand tu as le dos tourné !
— Ah ce coquin... Bah... il aurait tort... regarder une jolie file n’a jamais fait de mal !
— Vous êtes tellement semblables que j’ai envie de comparer... Nat’, mets-toi nue aussi ! Je vais en faire autant !
— Décidément, tu es un vrai coquin... voir ta femme et sa sœur nues comme au premier jour, ce n’est pas courant !
— Est-ce un crime de regarder deux jolies filles se donner du plaisir ?
— Mais NON, je caressais simplement les seins de Julie, et elle voulait savoir ce que ça ferait lorsqu’elle nourrirait son bébé !
— A d’autres... je voyais bien que tu y prenais goût toi aussi !
— Jérémy, s’il te plaît... j’ai envie de sentir des mains d’un homme doux et attentionné sur mon corps... mon ex’ n’avait qu’une pensée lorsque nous nous mettions au lit : ME SAUTER VITE FAIT ET DORMIR ! Jamais de caresses... jamais des mots tendres... Que j’ai été bête de lui céder et accepter qu’il ne se protège plus !
— Vas-y puisqu’elle te le demande... mais je reste là...
— Mais c’est bien ainsi que je l’entendais... pendant que je caresse Julie, ne reste pas inactive... Vous voir toutes les deux ainsi, ça m’excite... suce-moi pour achever de me faire bander !

Nous nous sommes retrouvés tous les trois sur le lit, Julie allongée sur le dos, les bras en croix et les cuisses ouvertes, Jérémy à quatre pattes, son « service trois-pièces » pendant entre ses jambes... et moi, à côté des deux, une main flattant la bite de mon homme et l’autre, faisant rouler mon clitoris dans ma chatte suintante... C’était chaud !
Mais bientôt, Julie n’en a plus eu assez des baisers de mon homme et des caresses sur sa poitrine... elle a voulu que Jérémy lui fasse un cunni’... C’était de plus en plus scabreux... J’encourageai Jérémy en lui disant :
— Vas-y... si cela peut soulager la tension sexuelle que je décèle en elle !
— Tu crois ?
— Puisque je te le dis... Tu pourras même la baiser si elle veut !
— ---------------- (silence de Jérémy).
— Oh oui... j’ai envie que sa belle queue me ramone la chatte et me fasse oublier celle de mon ex’ et les godes avec lesquels je me satisfais...
— Morte de rire ! Il ne va pas t’engrosser... tu l’es déjà !

Comme le ventre de Julie commençait à la gêner, elle s’est mise en chien de fusil, et de sa main gauche, elle a ouvert la raie de ses fesses. Jérémy n’avait plus qu’à prendre la même position de la cuiller pour entrer dans la chatte de Julie...
— Oh... oui... baise-moi... je n’avais jamais vu ta bite, mais là, j’ai envie de la sentir en moi !

Ce coquin de Jérémy savait y faire... Il a glissé son gland circoncis entre les fesses de ma sœur, il l’a fait aller et venir entre les lèvres vaginales avant de le placer à l’entrée du vagin...
— Prête ?
— Oui... Ne me fais pas languir !

D’une seule poussée lente, il s’est introduit au plus profond de ce sexe qui s’offrait avant d’y entamer de longs mouvements de va-et-vient... Je savais qu’il faisait durer le plaisir... c’est en grande partie ce qui chez lui, en matière de sexe, m’avait séduite... Il pensait d’abord au plaisir de sa partenaire avant de penser au sien...

— Oooohhh... Jérémy... que tu me fais du bien...

A peine Julie avait-elle prononcé ces mots qu’elle jouissait, projetant ses fesses contre le pubis de mon homme qui s’est lui aussi tétanisé en lançant un grand cri de fauve... J’étais assise en tailleur au pied du lit et quand Jérémy est sorti du sexe de ma sœur, je lui ai dit :
— S’il te reste un peu de jus, je vais te sucer... J’espère que tu n’as pas tout craché !

Dans une fellation à gorge profonde, j’ai aspiré le sexe de mon homme sur lequel j’ai retrouvé son odeur et son goût mélangés à celui de la cyprine de ma sœur.

Après le dîner, Julie est repartie chez elle... satisfaite et le moral requinqué...
J’étais devant l’évier, occupée à ranger quelques bricoles dans un placard quand Jérémy est arrivé derrière moi... J’ai senti ses mains remonter sous ma jupe et se poser sur mes hanches :

— J’ai envie de toi mon amour !
— Oui... moi aussi... je suis à toi !
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