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Mon masochisme

Chapitre 4

Zoophilie
Le lendemain matin, je suis revenue sur cette histoire de chien.
— Si je n’avais rien dit, tu laissais le chien me prendre.
Oui, bien sûr
Je reste bloquée.
J’ai eu très peurOui, c’est pour cela que tu as arrêté le jeu
Je garde encore le silence
Mais je regrettePardon ?Je regrette de ne pas avoir été jusqu’au bout
Pierre siffle, son chien arrive: un magnifique dogue. Le chien s’assoit près de son Maître. Pierre me regarde.
— Là?— Oui, je veux Maître.— dénude-toi, chienne.
Je m’exécute. Je me mets nue devant mon Maître et son chien. L’animal me regarde la gueule ouverte laissant une langue épaisse sortir, bavant. Mon Maître me pose mon collier, la laisse et me fait mettre à quatre pattes pour me conduire au chien, toujours assis, mais qui semble avoir très bien compris ce qui va se passer: sa verge sort déjà de son fourreau.
— Occupe-toi de son sexe.
Maladroitement, je le prends en main, commence à le branler. Sa verge rouge gonfle, sort de plus en plus. Un coup de cravache vient heurter mon cul.
— Suce !
J’approche ma bouche de cette queue, la lèche, puis la prends en bouche. Elle coule. Un liquide sort de la pointe. Je l’avale et commence ma fellation. Un autre coup de cravache.
— Plus profond.
Je suis à quatre pattes cambrée, le cul offert, tenue en laisse en train de sucer un chien dont la verge n’arrête pas de grossir dans ma bouche. J’aime le goût de ce liquide. Je la prends de plus en plus profondément dans ma bouche, jusqu’à ma gorge. Mon Maître tapote ma vulve avec le plat de la cravache, excitant mon clito. Je sens ma cyprine couler le long de mes cuisses, mon anus s’entrouvrir. Mon Maître doigte ma chatte, puis avec ma mouille enduit mon anus. Il me branle le cul avec deux doigts, frottant la tige de la cravache entre mes lèvres gonflées de désir. Je me sens chienne, ou plutôt pute à chien. L’animal pose ses pattes sur mon dos et commence à enfoncer lui même sa queue devenue énorme. Il me baise la bouche. Derrière mon Maître s’affaire et me mène au bord de l’orgasme, mais je n’ai pas le droit de jouir. J’avale encore ce liquide qui n’est pas du sperme, mais le lubrifiant que sécrète les chiens.
— Tourne-toi.
Je laisse la queue du chien pour lui présenter mon cul.
— Oxe, prends !
L’animal se jette sur mon dos, ses pattes griffent mes flancs, il me serre entre ses pattes. La bête doit être plus lourde que moi. Il cogne sa queue contre mon cul, mes fesses puis trouve l’entrée de mon vagin. Mon Maître s’accroupit devant moi, tient mon visage dans la main droite, la laisse tendue dans l’autre.
— Tu aimes salope ?— Oui Maître.— Alors, jouis ma chienne, jouis de ton amant canin.
Le plaisir vient en moi, violent. La queue de Oxe est figée en moi, elle remplit totalement mon vagin. Je sens son sperme gicler. Il me remplit, totalement. Mon Maître me regarde jouir, il ouvre son pantalon et enfonce sa verge dans ma bouche. Je suis prise par-devant et par derrière, le chien ne bouge plus, mais sa queue palpite dans mon vagin alors que mon Maître entre et sort de ma bouche, son gland pénétrant au plus profond de ma gorge, ses lourdes couilles tapent mon menton. Puis il gicle aussi et j’avale son sperme chaud alors que Oxe se détache et lèche ma vulve. Nouvel orgasme, encore, avec cette caresse râpeuse. Je gicle en fontaine et Oxe boit ma liqueur, lèche encore, entre sa langue dans mon vagin, lape mon clitoris. Jamais je n’ai joui ainsi, aussi violemment, aussi longuement.
Je suis hagarde. Mon Maître me regarde.
— Tu es une vraie chienne maintenant.— Oui Maître.— Et pourquoi pas hier soir ?— Je ne sais pas Maître.— Cela mérite punition ?— Oui Maître.
Je n’attends que ça, être punie pour cet acte, cet accouplement avec un chien ; je veux être punie pour ce plaisir malsain que j’ai pris, ces orgasmes violents. Mon Maître prend la laisse et m’ordonne de le suivre. Nous descendons à la cave. Et là de découvrir sous sa maison une véritable salle de torture. Tout y est: Croix de Saint-André, pilori, chaînes, poteaux. Au mur des fouets, des martinets, une armoire pleine de godes dont certains sont énormes. Mon Maître me passe des bracelets aux chevilles et aux poignets puis m’attache écartelée. En face de moi, un miroir où je me vois ainsi offerte. Il va vers ses fouets, les touche, me regarde et opte pour un bullwhip. Il me le montre.
— Voici le fouet le plus cruel.— Merci maître.
Il passe sa main sur ma peau, touche les marques de griffes du chien, m’examine comme un sculpteur regarde son bloc de marbre pour voir la statue qui va en sortir. Puis il se place face à moi, pose sur mes yeux un épais bandeau en cuir pour protéger mes yeux.
— Tu te souviens du safeword ?— Oui Maître.— Répète-le !— Rouge Maître.— Tu peux hurler chienne, la pièce est totalement insonorisée.
Je ne le vois plus, il s’éloigne. Sans doute pour se mettre à la bonne distance. Un sifflement, le fouet claque sur mes seins. Il m’attaque par-devant. Le bullwhip frappe lourdement, heurte mes seins, la mèche claque sur mes tétons. Il est méthodique, travaille mon corps. Puis les coups descendent, touchent ma vulve, passent entre mes lèvres, claquent sur mon clito. Il remonte à nouveau, reprend le travail de mes seins. Oui je suis une sale pute à chien, je mérite cette punition, j’ai joui de cette énorme verge. Je crie, pleure, hurle même, mais je ne prononce pas le safeword. Au contraire, je commence à jouir de ce traitement, des cette pluie de feu sur ma peau blanche.
Les coups s’arrêtent. J’entends qu’il ouvre quelque chose, reviens à moi en posant quelque chose de lourd au sol. Il tâte mes grandes lèvres, les étire, pose deux pinces sur chacune puis des chaînes. Il en fait de même à mes tétons. Il s’éloigne à nouveau, actionne un palan pour me soulever. Je comprends alors que le bruit mat que j’ai entendu juste avant est des poids et que ceux-ci sont rattachés aux pinces de ma vulve et de mes seins, les étirant terriblement. Maintenant que je suis ainsi disposée, il fouette méthodiquement mon dos, le cul, les cuisses. Une fois son travail accompli, il m’ôte le masque de cuir qui protégeait mes yeux et dans le miroir en face, je vois l’œuvre du Maître. Mon corps est couvert de sueur. Il porte des marques rouges. Mes seins pendent vers le bas, étirés avec ma vulve par de lourds poids de 10 kilos: le sculpteur a fait naître son œuvre: moi chienne maso absolue.
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