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Mon meilleur ami me force à accepter ma vraie nature...

Chapitre 2

Travesti / Trans
Mon meilleur ami me force à accepter ma vraie nature (2)...


Je me demandais comment mon meilleur ami allait maintenant se comporter avec moi, maintenant qu’il avait décidé de me faire devenir sa petite pouffiasse. Allait-il me sauter ici et maintenant ? Être distant ? Violent ? Dominateur ? Timide ? À ma grande surprise, il n’a choisi aucune de ses options, mais m’a abandonné dans ma robe noire souillée de sperme pour aller dans ma chambre fouiller mes affaires. Après un petit moment de réflexion, il a sorti quelques affaires, puis il m’a accordé une vingtaine de minutes pour prendre une douche et me refaire une beauté !
— Tu comprends ma petite chérie, dorénavant tu es à moi, je n’ai pas envie de te prendre alors que tu sens l’odeur de la bite d’un autre homme. Tu ne dois sentir que la mienne !
Malgré toutes mes émotions du jour, une boule d’excitation s’était de nouveau créée dans mon ventre. Mon Dieu, alors que je venais de me faire humilier par un homme, mon premier acte de réconfort était de m’offrir à un autre... Heureusement, l’eau chaude effaça rapidement les marques de souillures laissées par mon premier amant. C’est donc toute propre et tremblante d’excitation que j’ai obéi à mon nouvel homme fort du soir, en enfilant sa tenue. Enfin prête, j’ai jeté un dernier coup d’œil dans mon miroir.
Mes yeux cernés de mascaras noirs se posèrent sur une femme timide, mais se sentant sexy. Le miroir reflétait une femme en lingerie noire portant des bas et des talons. Bien que presque nue, elle avait un côté très féminin, puis mon regard se posa sur son visage, une petite bouche rouge sexy, des yeux noirs, le tout complété par une petite queue-de-cheval. À voir cette femme dans la glace, le doute n’était que peu permis quant à ses futurs activités et désirs nocturnes. Cette petite en voulait et le message était clair pour les hommes.
Tremblante et satisfaite, je suis rentrée dans le salon, là ma confiance en moi a rapidement fondu, et instinctivement j’ai baissé le regard, incapable d’affronter le regard de mon futur amant. Aussi courte vêtue, j’étais maintenant totalement à sa merci. Instinctivement, je me suis agenouillée, les jambes légèrement écartées, sur le carrelage froid de mon appartement. La tête baissée, j’ai vu l’ombre de mon ami juste devant moi. Il était nu, son entrejambe, juste à hauteur de mon visage. Nous sommes restés plusieurs secondes dans cette position. Son sexe était touffu, une odeur puissante, je n’avais qu’une envie tant il me rendait folle, mais soumise, je n’osais faire le premier pas.
Lentement, sa main a attrapé la mienne, et est venue poser ma main sur son sexe. Autoritairement, il a fait coulisser ma main sur sa bite, me forçant à le branler en douceur.
— Tu es prêtes Mathilde ? me demanda-t-il d’une voix ferme, alors que je tentais de résister à mes pulsions. À la seconde où tes lèvres recouvriront ma bite, il n’y aura plus de retour en arrière, tu seras ma putain, tu prendras tellement cher et crois-moi, je te ferais des choses que mêmes dans tes pires cauchemars tu n’imagines pas...
Mon corps entier a tremblé en entendant ses mots, mon ami ne voulait pas une femme, mais une chienne pour laisser libre cours à toutes ses perversions. Mon esprit a immédiatement saisi le danger, si je continuais dans ce délire nocturne, j’allais rentrer dans un cercle d’humiliations et de brimades... mais aussi parfois de plaisir. Face à de telles perspectives, j’ai fait ce que toute femme normalement constituée aurait fait. J’ai ouvert la bouche. J’ai gobé le gland de mon homme, et posé mes mains sur ses fesses puissantes. De la pointe de la langue, j’ai tourné autour de la verge, elle avait une légère odeur d’urine et de sueurs, mais rien de bien désagréable au contraire. J’étais comme une jeune fille le jour de Noël, aux anges avec une bite dans la bouche. Je l’avais tant voulu et maintenant, elle était à moi. J’y mettais du cœur, et mon ami avait l’air d’apprécier au vu de ses gémissements.
— Ta bouche est une invitation à la fellation, mais tu suces comme une femme, or j’attends de toi que tu suces comme une chienne. Mains dans le dos, allez !
Je me suis exécutée, mes deux mains sont venues se poser dans mon dos, me rendant impuissante face à la suite. Il m’a fermement attrapé par ma petite queue-de-cheval, puis lentement, a commencé à mettre des coups de bassins. Chaque coup de bassins, poussant son sexe un peu plus vers le fond de ma gorge, face aux assauts, j’ai fermé les yeux et j’ai tenté de faire bonne figure. La lenteur de son mouvement n’a pas duré longtemps, rapidement, il a commencé à me pilonner la bouche, tandis que sa main sur ma tête me poussait toujours plus sur le sexe. Dans la pièce, on n’entendait plus que mes bruits de bouches indignes d’une fille bien élevée, ma toux et mes bruits de déglutition face à ce démontage buccal en règle. D’un coup, il a retiré son sexe, puis m’a repoussée comme une vulgaire poupée sur le tapis.
— Allez, il est temps de te donner ce que tu mérites petite Mathilde ! Je vais t’embrocher le cul tellement fort que ma bite risque de ressortir par ta bouche ! À quatre pattes vite !
Au comble du bonheur, et ne voulant que calmer mon feu intérieur, je me suis mise à quatre pattes sur le tapis, puis me suis cambrée tout en agitant les fesses sous son nez comme une possédée. Je voulais être prise plus que tout au monde. Mais mes petites fesses ne reçurent que des claques sonores dans un premier temps, pas de quoi éteindre mes pulsions, bien au contraire...
— Je vais te déboucher directement !
Juste après, mon petit cul fut recouvert de lubrifiant, et j’ai senti le gland ferme de mon amant à l’entrée de mon antre, enfin. Étonnamment, il a fait preuve de délicatesse, rentrant son membre petit à petit, me laissant le temps de m’habituer à son membre. Enfin, j’ai senti ses couilles pleines contre mon postérieur, tout son sexe était en moi.
— Tu sais quoi ma chérie, pour me montrer à quel point tu es une folle de sexe, je vais te laisser te baiser toute seule.
Je me suis sentie légèrement humiliée, mais je me suis exécutée, bien trop aux prises avec mon plaisir. Lentement, j’ai coulissé sur son sexe, avançant et reculant aux bruits de nos gémissements. Il était fier de lui de me voir m’empaler seule sur son sexe. Il a fait durer son plaisir quelques minutes puis n’y tenant plus, il a décidé de me démonter littéralement pour finir. Il a agrippé mes deux mains et me les a tordues violemment dans le dos pour me pistonner violemment, tout en me traitant de tous les noms possibles. Heureusement pour mes petites fesses, il n’a pas duré très longtemps, et seulement quelques minutes plus tard, il s’est effondré sur moi en poussant des gémissements rauques, pendant qu’un liquide chaud, épais et agréable coulait au fond de moi. Mon meilleur ami venait donc de me saillir pour la première fois...
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