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Mon meilleur ami me force à accepter ma vraie nature...

Chapitre 3

Travesti / Trans
Mon meilleur ami me force à accepter ma vraie nature (3)…

Quatre heures du matin, mon meilleur ami dormait comme un loir dans mon lit. Pas moi, impossible de fermer l’œil. Il faut dire que mon corps me faisait souffrir le martyre : crampe à la bouche, dos lézardé de griffures, fesses rougies et tellement ouvertes que même le moelleux du matelas ne les réconfortait pas. Mais étrangement, ces sensations n’étaient pas si désagréables, je me sentais heureuse, comblée.
N’en pouvant plus de me tourner et de me retourner dans le lit, j’ai enjambé mon amant pour m’enfuir dans le salon. Une odeur forte me piqua le nez : une odeur de sexe. Mon salon était un véritable champ de bataille… Sur le sol, on pouvait même apercevoir le préservatif usagé de mon premier amant, cette partie de ma nuit semblait maintenant s’être déroulée il y a une éternité, presque dans une autre vie.
Pour reprendre un peu de contenance et de force, je suis allée me faire couler un café noir et bien serré (hélas, pas comme mes petites fesses…), tout en espérant que le vrombissement de la cafetière ne réveilla pas mon dormeur, n’étant pas sûr de pouvoir assumer un nouveau « déboitage » en règle. Une fois le précieux breuvage en main, je suis allée m’installer confortablement dans le canapé.

Las, je m’étais assoupie en petite tenue dans le canapé. Je me suis fait réveiller un peu plus tard par ce que je pensais être une main me caressant délicatement le front. Illusion vite brisée quand la douce main en question est descendue vers mon nez, et que mes narines ont respiré une belle odeur de sperme et d’homme. En ouvrant les yeux, j’ai vu un sexe en érection en gros plan sur mon visage et mon meilleur ami me sourire.Amoureusement, j’ai déposé un rapide baiser sur le gland gonflé, juste à portée de ma bouche. Mon homme a tressailli et a eu la chair de poule. Visiblement, mon chaste baiser lui avait fait perdre le contrôle de ses sens, car il m’a attrapé la tête sans ménagement pour me la passer hors du canapé, m’arrachant un petit cri de surprise au passage et il est venu se positionner sur moi.
— Tu es vraiment une salope, et comme n’importe laquelle de tes consœurs, je vais t’embrocher ta petite bouche de pouffiasse. Vous ne méritez que ça de toute façon…
En toute honnêteté, j’étais loin d’être dans une position des plus agréables, surtout quand ladite queue est venue se cogner sans ménagement sur mes dents. La tête et le cou dans le vide, le corps bloqué sans ménagement et un sexe frétillant sur les dents, j’étais totalement à la merci de mon ami. Bref, je n’avais plus qu’une chose à faire, ouvrir la bouche et me laisser baiser oralement comme la dernière des moins que rien.
Une seconde plus tard, le sexe tapait contre ma glotte, m’arrachant un « blurp » indigne. Sous la surprise, mon corps se révolta, et lorsque mon ami ressortit sa bite de ma bouche, elle fut accompagnée des restes de mon café matinal et de ma bile. Dans ma position, ce mélange « agréable » et caféiné n’avait qu’une destination possible : mon visage. En moins de temps qu’il n’en fallait, mes yeux, mes joues, mon front, mes cheveux étaient souillés de biles, de cafés et de baves, le tout puant ou sentent divinement bon le sexe d’homme.
Mon bourreau buccal eut un petit rire en voyant mes malheurs.
— Haha ma petite chérie, vous êtes bien toutes les mêmes quand vous avez une bite dans la bouche, vous avez toujours la même expression ainsi recouverte de baves.
Aussi dégradant que cela puisse paraître pour moi, pendant les minutes où il me pilonnait la bouche, je crois que mon meilleur ami ne me considérait plus comme une femme, mais comme un objet, un simple trou, un réceptacle à zob, et aussi étonnant que cela puisse paraître, l’idée ne m’était pas désagréable, je me suis donc abandonnée et laissée aller.
Mon supplice buccal durait. Mon mascara était en ruine, mon corps me faisait souffrir le martyr, ma bouche n’était plus que capable de déglutir indignement, chaque bouffée d’air, était-elle une bénédiction. Un rituel s’était mis en place : premièrement, un assaut du dard jusqu’à ce que les couilles arrivent jusqu’à ma bouche et mon visage, deuxième étape quelques secondes d’attentes au plus profond de mon intimité buccale, les attributs seulement à quelques millimètres de mes yeux. Tellement prêt que je pouvais dire le nombre de poils et de grains de beauté parsemant l’endroit… Dernière étape, un retrait pour me laisser un peu respirer. Ce rituel était parfois lent, parfois très rapide, je ne sus combien de temps il dura, tant mon meilleur ami semblait prendre son pied.
Puis enfin, mon mâle alpha m’attrapa le cou avec force, sa main me poussa vers son sexe, tandis que le sexe lui me repoussait… ce supplice ne dura que quelques secondes, heureusement pour moi. Une fraction de seconde plus tard, du sperme chaud, pâteux et gluant, sortait de ma bouche et de mon nez, mon pote venait de me mettre le paquet. Une fois ma gorge libérée de sa tortionnaire, je me suis effondrée sous l’effort intense que je venais de subir.
À quatre pattes en petite tenue sur le tapis, j’ai toussé quelques minutes, vomissant de nouveau un mélange de sperme, de biles et de cafés, la gorge rouge. Je devais faire une bien piètre image de la gent féminine dans ma position. Mais mon ami semblait fier de moi et de mon travail, tant il me caressait la tête avec affection. — Lève-toi mon cœur, ce n’est pas le moment de dormir… tu oublies ton rôle de petite femelle, tu dois préparer mon petit-déjeuner !
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