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Mon meilleur ami me force à accepter ma vraie nature...

Chapitre 4

Travesti / Trans
Mon meilleur ami me force à accepter ma vraie nature (4)...


Cela faisait maintenant quelques semaines que je fréquentais mon meilleur ami, pour mon plus grand plaisir. Auprès de lui, je me sentais femme, je me sentais épanouie, vivante. Il me rendait toute chose et telle une jeune collégienne, mon cœur s’emballait à sa vue. Une question s’est alors imposée à mon esprit et est venue hanter mes jours et mes nuits, elle m’obsédait. Une question pourtant toute simple : était-il possible de tomber amoureuse d’un homme qui vous traitait comme une vulgaire putain alors que quinze jours plus tôt, il était comme votre frère ? Hélas, au vu des réactions de mon corps, la réponse semblait évidente.

Et voilà qu’arriva le week-end, un week-end qui allait modifier définitivement le cours de notre vie et de notre amitié. Exceptionnellement, mon meilleur ami m’avait invitée chez lui. Vivant chez ses parents, il a profité d’une des rares occasions disponibles pour me faire venir en Mathilde. Pour être honnête, malgré l’occasion inespérée, je n’avais pas sorti le grand jeu. Cette soirée nous sortant de notre zone de confort, nous voulions rester discrets tous les deux. Je m’étais donc contentée d’enfiler une petite robe noire, associée à de fins collants opaques noirs, une paire de ballerines, un perfecto, un maquillage discret... bref, la parfaite : « girl next door ».
Quelques kilomètres plus loin, j’étais sous le porche des parents de mon ami. Anxieuse, j’ai jeté un coup d’œil autour de moi. Quelques passants circulaient dans la rue, mais personne ne faisait attention à moi. Mon passing était bon, je me fondais dans la masse comme une fille ordinaire. Rassurée, j’ai sonné et patienté quelques secondes. Enfin, la porte s’est ouverte. Mon meilleur ami m’a souri, puis attrapée fermement, mais délicatement, par la taille pour me faire entrer. La porte a claqué derrière nous. Sans prévenir, ses lèvres se sont refermées avec passion sur les miennes. Le baiser avait un goût agréable de menthe. Il me rendit toute chose, pendant que nos langues se croisaient avec ardeur. Je m’abandonnais dans ses bras, mais étrangement, il tremblait plus que moi.
Après plusieurs assauts, nos bouches s’écartèrent l’une de l’autre. Avec une rare délicatesse, il a pris mon perfecto puis l’a posé sur le porte-manteau, tel un gentleman. J’étais à la fois ravie et surprise, ce n’était pas le genre d’attitude qu’il avait pris l’habitude d’avoir avec moi. Aussi incroyable que cela puisse paraître, il m’a également pris la main pour me guider dans la maison.
— Viens, ma petite chérie, j’ai une surprise pour toi... j’ai tellement hâte de te la montrer.
Bien que connaissant la maison de mon meilleur ami par cœur, y ayant passé presque plus de temps que dans la mienne durant toute ma jeunesse, je me laissais guider, rougissante et intriguée par la promesse d’une « surprise ». Nous sommes arrivés dans la salle à manger où trônaient une belle nappe blanche, de la vaisselle, deux flûtes et une bouteille de champagne. Mon Dieu ! Mon cœur s’emballa et des larmes perlèrent sur le coin de mes yeux. J’allais connaître mon premier repas romantique en tant que femme. Dire qu’il y avait encore quelques semaines, j’étais le genre de femme à se faire cracher dessus par des inconnus...
Galamment, mon ami a écarté ma chaise, relevant à mes yeux une surprise rompant instantanément le tournant romantique de la soirée. En effet, un plug anal plus grand que la moyenne était scotché sur la chaise. Je m’apprêtais à dire quelque chose, mais quand mon regard remonta vers mon hôte, celui-ci affichait son sourire si craquant qui me rendrait capable de sauter d’un pont s’il me le demandait. Dans les mains, il avait une bouteille de lubrifiant. Délicatement, j’ai fait glisser mon string le long de mes jambes. Ma lingerie fine au sol a sonné comme un signal, comme un consentement. Quelques secondes plus tard, des doigts fermes et experts recouvraient mon antre de lubrifiant, un doigt ou deux s’y glissant même sous mes petits gémissements de plaisirs.
Dès que plusieurs doigts purent rentrer dans mes fesses, nous sûmes instinctivement qu’il était temps de passer à l’étape suivante. Je me suis posée au-dessus de la chaise, j’ai écarté les jambes, et plié délicatement les jambes. Le souffle court et délicatement, je me suis laissée empaler sur le sex-toy... De la sueur coulait sur mon front, j’étais rouge de plaisir et d’appréhension, je remontais et descendais sur l’objet, le laissant s’habituer à moi petit à petit. J’avais l’impression de me faire baiser par une chaise. Puis enfin, j’ai senti le bois ferme sur mes délicates fesses blanches nues. Je n’étais pas peu fière de moi, mine de rien, je venais de me faire rentrer un gros calibre.
Je n’eus pas le temps de reprendre mes esprits, un contact très froid se fit ressentir sur mes chevilles, me faisant pousser un cri de surprise. Froid qui fut vite remplacé par une chaleur de brûlure et une sensation d’oppression. Mon meilleur ami venait de me menotter les chevilles aux pieds de la chaise, mais toujours avec son sourire charmeur, donc ça allait. Enfin, ça allait, j’étais quand même dans la salle à manger des parents de mon meilleur ami, menottée à une chaise, avec un énorme plug dans le cul... Mais bon, le reste du décor ressemblait toujours à un dîner romantique donc ça devrait aller... ça devrait aller, non ? Devrais-je m’inquiéter ?
— Désolé Mathilde, mais j’ai une grande annonce à te faire après le repas, et te connaissant, j’ai peur que tu te sauves avant de l’avoir entendue entièrement. — Je ne suis pas une sauvage... bon allez soit, passons pour les menottes, même si je pense être une fille suffisamment mature pour écouter une conversation jusqu’au bout... mais et mon empalement ? Quel rapport ? — Quelle question ! Pour le plaisir, voyons, il faut toujours mettre du fun dans sa vie quand on le peut, elle est suffisamment morose comme cela. Bref ? Champagne ma belle ?

Si l’on exceptait mes fesses rougies, mon fondement rempli et mes chevilles entravées, j’ai passé un bon moment, gloussant telle une midinette à qui l’on sort le grand jeu. Le repas fut merveilleux, et le cuisinier espiègle et à croquer. J’étais repue et pour une fois pas de sexe. Je roucoulais de plaisir, savourant ces instants magiques.
— Mathilde, dit-il l’air soudain plus grave. J’ai beaucoup réfléchi et notre relation ne me va pas... je ressens comme un manque. Je sais que tu es le genre de fille qui n’aime pas les attaches, qui se fait sauter par n’importe qui à la première occasion, tant que l’on te traite comme une traînée. Je ne nierais pas que c’est désagréable de pouvoir se vider les couilles avec une fille qui ne se respecte pas comme toi et qui accepte tout sans broncher... franchement entre nous, tu ne te respectes pas ma chère !
Je l’ai regardé les yeux écarquillés, ses déclarations me faisant comme l’effet de recevoir un seau d’eau glacé. Pour la première fois, on m’offrait un dîner de princesse, et pour la première fois, j’allais me faire larguer comme une moins que rien.
— Mais j’aime ça ! J’aime te dominer, te posséder, faire de toi tout ce qu’il me plaît. Tu vas sûrement me trouver égoïste, car je veux plus de toi ! Je veux que tu deviennes ma femelle attitrée, que l’on vive ensemble !
Mon cœur s’est emballé, et les yeux toujours écarquillés, je l’ai écouté comme dans un rêve, en pleine confusion. Ne sachant pas si c’était le plus beau jour de ma vie ou le pire.
— Mais je mets des conditions ! En devenant ma femelle, tu deviens par corrélation ma compagne, mais aussi ma soumise. Or, ma soumise doit obéir à des règles strictes. Premièrement, tu devras te comporter comme une vraie femme au foyer, t’occuper de toutes les tâches ménagères et prendre soin de moi. Par exemple, tous les matins, tu devras te lever avant moi, te faire belle, on ne sait jamais si l’envie de te sauter me prenait, mais surtout préparer mon petit-déjeuner, et préparer mes affaires de la journée.
Bon, il me proposait une vision très réductrice et dépassée du rôle de la femme, mais j’ai continué à l’écouter, les mots « envie de te sauter » m’ayant fait un peu trop d’effet, et anéanti toute volonté de rébellion. Oui, il me tenait par le plaisir. Si je m’offrais à lui ainsi, c’est que j’y prenais mon plaisir. J’étais l’application vivante du théorème de Rhamov : « une femme appartient à celui qui la fait jouir ».
— Quand je ne serai pas là, tu devras prendre soin de ton corps, suivre un régime équilibré et végétarien. J’aime que ma femme soit en bonne santé. Parallèlement, tu devras t’occuper des amants que je t’aurais choisis. Eh oui ma chère, dorénavant tu ne pourras coucher qu’avec des personnes que j’approuve ! Et quand je le voudrais ! Refuse de coucher avec une de ses personnes et c’est comme si tu refusais de coucher avec moi et donc de répondre à mes désirs, ce qui mettra immédiatement fin à notre relation.
J’ai hoché doucement de la tête, ne comprenant pas encore tous les tenants et aboutissements de ses propos.
— Pour finir, sache que je sais être généreux. Par exemple : si tu as fini tous tes devoirs, tu auras quartier libre, et donc, tout le loisir de vaquer à tes occupations ou de te promener où bon te semble. Toutefois, je te veux prête à me servir dès que je rentre à la maison... tu devras donc connaître mon emploi du temps sur le bout des doigts pour pouvoir subvenir au moindre de mes besoins. Des questions ?
J’ai fait non de la tête, trop abasourdie pour parler. La surprise, la peur et l’envie se mêlant en moi.
— Si tu acceptes, tu deviendras le centre de ma vie et je m’engage à subvenir à tous tes besoins. Et surtout, je m’engage à faire de toi une vraie femme. À commencer par te payer ton traitement, tes hormones et tes opérations de chirurgie esthétique pour te faire devenir la femme que tu mérites d’être.
J’ai écarquillé les yeux à un point qu’il me semblait humainement impossible il y a encore peu... moi ? Devenir une vraie femme ? Un rêve qui hantait mon esprit, mais dont je n’osais pas m’emparer, était-ce le moment ? Un « paf » me sortit de ma torpeur et ramena mon attention sur mon hôte.— Bien, il y a là tout ce dont tu as besoin de savoir et tout ce que j’attendrais de toi si tu acceptes ma proposition, ajouta-t-il en me tendant des papiers. Je te laisse réfléchir, de toute façon vu que tu es empalée sur cette chaise, tu n’as pas grand-chose d’autre à faire... À tout à l’heure.
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