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mon ex, mon esclave

Chapitre 1

Trash
Mon ex, mon esclave

Pendant deux ans, je suis sorti avec une fille qui s’appelle Alexia, on avait une vie sexuelle assez débridée, et on faisait l’amour au moins plusieurs fois par jours.
Je l’ai quitté il y à peu près un an car je n’étais plus amoureux d’elle. Étant resté dans ses amis sur facebook, j’ai appris qu’elle était passée par un ou deux petits copains avant l’actuel. J’appris aussi qu’elle me considérai comme son meilleur coup.Je fus néanmoins surpris de voir son nom s’afficher sur mon gsm
-allo, thomas ?
-oui, que se passe-t-il ?
-je … j’ai besoin de toi.
Sa voix trahissait son trouble et sa gène
-pour faire quoi ?
-hé bien … c’est mon mec …
-oui quoi ?
-bon ! Voilà, il n’arrive pas à me faire jouir. Je n’ose pas le lui dire, de peur de le vexer, alors je me masturbe. Mais la sensation de jouir une bite dans la chatte me manque terriblement.
-ho, je vois, et donc … tu as pensé à moi ?

-Je me suis dit, quitte à tromper mon mec pour jouir, autant le faire avec le meilleur coup que je connaisse, histoire de rentabiliser tu vois ?
-j’avoue qu’une petite chatte me manque un peu.
-donc t’es d’accord ?
-j’y met cependant une condition
-quoi ?
-Quel que soit l’endroit où on se donne rendez-vous, et quelle que soit l’heure, tu viendras en mini-jupe, avec un top moulant, des bas, des talons haut, et aucun sous vêtement !
-je suis pas trop attirée par l’exhibitionnisme, tu le sais.
-oui, mais moi si. Si tu veux pas, tu peux toujours te trouver une autre bite.
-bon, ok …
-je te préviens, je vérifierai avant de t’accompagner ou que ce soit.
-c’est bon, j’ai dit ok. Demain, j’ai congé, et mon mec est en cours, ça te vas, rendez-vous place saint Lambert, devant la galerie, à 10h00 ?
-non, répondis-je car j’avais ma petite idée en tête, je préférerai 11h00 si ça ne te dérange pas. Je n’ai pas envie de rater les deux premières heures de cours.
-ok, à demain alors.
Le lendemain, je me levai comme d’habitude à 6h45 pour être à 8h00 à l’unif. Mais, cependant, sans y aller je flânai en ville en attendant l’ouverture des magasins, je voulais acheter une caméra, et diverse choses amusantes qu’on peut trouver dans un sexshop.
A 10h50, j’attendais sur les escaliers avec ma caméra à la main, un vibro à télécommande et un lubrifiant aphrodisiaque dans mon sac. J’envoyais un sms à Alexia.
-changement de plan, je suis sur les escaliers, quand tu viendras vers moi, passe à côté de moi sans me regarder, et écarte tes jambes le plus que tu peux sans déformer ta démarche, ensuite, tu iras t’asseoir de façon à ce que je puisse voir ton entrejambe sur les blocs de bétons qui serrons derrière moi, et ne t’étonne pas de la caméra. Et n’oublie, pas, si tu ne le fait pas, je ne te baiserai pas.
Elle n’eut pas le temps de répondre, son bus arrivait. Je la vit descendre, se diriger vers la galerie en regardant son gsm, puis se retourner vivement. Elle resta quelques instants à me regarder, caméra à la main, avant de se décider à marcher vers moi. Et je dois dire qu’elle faisait bien son rôle, elle regardait un peu au-dessus de moi, comme si elle avait une amie en haut des escaliers.
Elle passa a côté de moi et j’en profitai pour faire passer la caméra entre ses jambes et la, une première surprise, elle s’était aussi épilée. Je suivis son cul des yeux et le la caméra jusqu’à ce qu’elle s’asseye derrière moi les jambes légèrement écartées. Je fis un zoom sur sa chate rasée et remonta jusqu’à son visage, en m’arrêtant assez longuement sur sa délicieuse poitrine.
Puis je me levai et marchai vers elle, caméra toujours allumée.
-bien, tu n’as pas de culotte, et tu t’es même rasée la chate. Mais il faut que je vérifie ta poitrine, penche toi vers moi en écartant ton top. Je veux voir tes tétons, et la caméra aussi.
Elle le fit et je pus voir ses magnifiques tétons que je devinais durs sous le tissu.
-bon, dis-je, je propose qu’on aille chez toi.
-ok,
nous marchâmes quelques centaines de porte jusqu’à ce que je dise :
-tient, un porche en retrait, vient-la.
-quoi ? Pourquoi ?
-vient la, te dis-je, ou je rentre chez moi.
Elle vint et je sorti mon flacon de lubrifiant, j’en étalais un petit peu sur mes doigts.
-écarte les jambes, tu sais ce que tu risques si tu n’obéis pas.
Résignée, elle les écarta ce qui me permit d’étaler le lubrifiant, sans cesser de filmer, sur et dans sa chate, avant de m’intéresser à son anus, que je savais timide. Elle avait déjà accepté que j’essaie de la sodomiser mais sans grands résultats.
-c’est chaud, c’est normal ?
-oui, ses vertus aphrodisiaques vont augmenter la sensibilité de ta chatte et de ton anus, en plus de faciliter la pénétration.
-hein, je ne t’ai pas demandé de m’enculer !
-je sais, mais je ne te laisse pas vraiment le choix ! Tient met ça dans ta chatte, dis-je en lui tendant le vibro.
Nous repartîmes et je profitai de chaque ruelle sombre et autres endroits déserts à cette heure pour lui mettre un doigt dans le cul après l’avoir lubrifié.
-c’est désagréable de marcher avec ton doigt et ce truc en moi, dit-elle
-et ça ne fait que commencer, lui répondis-je
Et je rajoutai un doigt dans son anus, avant de lancer les vibrations. Le vibro avait 6 vitesses, je le mis sur 1. Sous la surprise de ces deux assauts simultanés, elle ne put retenir un petit gémissement.
Mes doigts, et surtout le vibro, la gênaient pour marcher, et elle avançait très lentement, en faisant de tous petits pas, pour éviter de laisser tomber le vibro. Ce qui me permit de profiter plus longtemps du trajet. Quand nous arrivâmes dans l’ascenseur du building ou elle habitait avec son mec, le vibro était sur trois et elle avait trois doigts qui lui farfouillaient l’anus. Son excitation était visible, elle transpirait fort, et elle mouillait tellement (j’ai oublié que c’était une femme fontaine et qu’elle avait la mouille abondante) qu’on pouvait la voir couler le long de ses bas et qu’on la sentait presqu’autant que sa transpiration, autant dire que sur les dix étages que l’ascenseur du grimper péniblement, l’atmosphère était devenue très chaude et particulièrement excitante.Je l’avais fait mettre à genou et caressai sa tête avec ma bite, sans pour autant la laisser me sucer, ce qui me peinait autant qu’elle.
La caméra avait filmée tout le trajet et avait encore beaucoup d’autonomie
Elle eut beaucoup de mal à ouvrir sa porte tant elle tremblait, et mes doigts dans son cul n’arrangeaient rien.Une fois ouverte, je la plaquais contre le mur de l’entrée sans lui laisser le temps de fermer la porte.
— roule-moi une pelle, dis-je excité comme une bête
Pendant que nos langues s’entremêlaient, je décidai de lui rentrer un quatrième doigt dans son cul tout en mettant le vibro au maximum d’un seul coup.
L’effet de ces trois actions combinées lui donnèrent un orgasme plus puissant que tous ceux que j’avais vu chez elle. L’orgasme fut si puissant qu’elle se retrouva a genou, dans un grande flaque de cyprine.Je sorti ma bite et lui caressai le visage avec en attendant qu’elle reprenne ses esprits, toujours sous l’œil, vigilant, de la caméra.
Une fois que ses yeux devinrent moins vitreux je lui dis
-suce !
Ce mot sembla la ramener à la réalité
-hein ? Ferme la porte au moins, il y a dix appartements à cet étage, tout le monde pourrai nous voir.
-je ne fermerai la porte que si tu parviens à avaler ma bite en entier.
-non ! Tu m’as fait jouir, même si je n’ai pas eu ma bite, l’orgasme était assez violant pour compenser, je veux bien te sucer pour te dédommager mais tu n’as plus aucun moyen de pression sur moi, vas prendre un douche et je te sucerai après, si non, tant pis pour toi et vas t’en.
-tu oublie que je filme nos péripéties depuis la place saint Lambert. Une copie de la vidéo pourrait être envoyée à ton copain, voire mise sur le net.
-hein, non pitié, pas ça !
-Bon hé bien suce moi alors, et je ne fermerai cette porte que quand ma bite sera entièrement au fond de ta gorge.
Elle commença donc à me sucer, en essayant d’en mettre le plus possible ne bouche de peur d’être vue en train de sucer un inconnu dans son entré. Elle essaya, encore, et encore, sans parvenir à avaler la totalité de ma bite. Sentant la jouissance arriver, je pris sa tête à deux mains pour la lui baiser, littéralement. Je jouis au fond de sa bouche la forçant à avaler, mais elle se débattait depuis que j’avais enfoncé ma bite dans sa bouche et elle réussit à recracher ma bite avant que je ne finisse de jouir, ce qui eut pour effet d’arroser son visage, ses cheveux, et son top. Et dire que j’avais filmé tout ça !
Je lui interdis d’aller s’essuyer ou se changer en prétextant qu’elle n’avait qu’à avaler, et lui enjoint d’aller me préparer un diner, en lui assurant que je lui préparerai le sien.
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