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mon neveu est monté comme un poney et ma femme adore

Chapitre 5

le neveu est devenu l'amant de sa tante

Hétéro
Le neveu de mon mari. 5
Au fil des mois, la relation avec mon neveu est devenue plus forte, c’est une vraie drogue dont je suis accroc. Il passe régulièrement voir sa tante pour lui faire l’amour, profitant de l’absence de mon mari pendant la semaine pour son boulot. Il faut dire aussi que j’y ai pris goût, surtout à sa verge démentielle, sa résistance et sa fougue de jeune mâle. Et comme Christophe accepte sans trop de jalousie que cette bite me donne plus de plaisir que la sienne... (Mais surtout qu’il ignore que je le fais cocu si souvent sans qu’il soit présent).

Xavier doit venir aujourd’hui, j’ai enfilé une belle robe vaporeuse et je suis nue en dessous à part une minuscule culotte. Il entre et s’assied dans le divan et dès qu’il me voit me trémousser devant lui, l’effet est pratiquement immédiat vu la bosse qui prend de l’ampleur dans son pantalon. Mon neveu décide alors d’attaquer les festivités en m’attirant à lui pour m’embrasser goulûment, je sens une main qui frôle ma jambe, insiste, s’investit plus loin entre mes cuisses. Je la repousse, sans un mot comme si je me refusais à lui. Sa main revient, plus précise, et se fige sur ma culotte. Je sens un doigt glisser sur ma fente à travers le tissu qu’un autre doigt écarte pour se faufiler dessous et glisser de bas en haut sur ma fente. Xavier me murmure à l’oreille en se penchant vers moi :
— Tu as mis une culotte tatie, elle me gène pour gratter ta petite chatte.
Je lui arrache ses vêtements, il fait de même avec les miens. Il me serre dans ses bras et me donne un sulfureux baiser. Je faufile une main entre nos corps enlacés à la recherche de son organe.
— Je n’arrive toujours pas à me faire à ta virilité, t’es monté gros mon salaud ! Tu sais que Christophe en est jaloux ? Je peux jouer avec ?— Mais bien sur tatie, elle est à ta disposition pour ton plus grand plaisir.— Détends-toi Xavier et laisse-toi faire.
Je descends le long de son corps en le couvrant de baisers pour arriver enfin à l’objet du plaisir, sa bite de cheval déjà en pleine érection, bien décalottée. J’en excite le gland cramoisi avec un ongle puis engloutit dans ma bouche ce calibre peu commun comme si je n’avais pas fait de pipe depuis des mois, j’embouche son sexe et l’aspire comme une pompe à vide.Je lève les yeux et croise le regard vainqueur de mon neveu en le flattant de quelques paroles :
— Waouh ! Tu es si bien monté, c’est sans comparaison avec celle de ton oncle. Ta bite épaisse et si longue est posée sur des couilles qui me paraissent énormes...
Puis je ré-enfourne l’engin dans ma bouche, m’accrochant à lui comme une bernique au rocher, et ça à l’air de lui plaire, car il grogne de plaisir. Je le travaille à l’usure et enfin, sentant qu’il ne va plus tarder à jouir :
— C’est l’heure de mon biberon... s’il te plaît, donne-moi ma dose...
Comme s’il n’avait attendu que cela, Xavier se tend dans un râle de plaisir et se vide dans ma bouche, un liquide chaud déferle au fond de ma gorge. Moi aussi, je prends plaisir à avaler son jus si abondant avant de m’affaler dans le divan.A peine assise, que déjà sa main trouve sa place sur mon minou. Cette fois, j’écarte les jambes pour faciliter l’accès à mon intimité parfaitement épilée. Lentement, il lisse ma fente d’un doigt qui remonte pour décalotter et exciter mon clitoris. Un deuxième doigt vient l’aider pour écarter mes lèvres intimes et pénétrer dans ma fente déjà humide. J’ai des frissons le long de mon échine. Mon mari est pourtant un bon amant, mais je n’ai jamais ressenti avec lui les affres de l’amante langoureuse qu’il n’a pas su révéler. J’implore Xavier:
— Tu sens comme ma chatte est toute mouillée ? Elle a besoin d’un bon coup de queue.

Mais il reste imperturbable, comme s’il ignorait mes suppliques. Je ne me maîtrise plus, soumise à ses doigts qui me fouillent et me rendent folle. L’orgasme est là, imminent, et je cambre mon bassin sur les doigts qui me branlent et déclenchent une source intarissable de mouille et de cyprine. Ma chatte est lubrifiée et attend avec impatience son dû. Je mets une main sur ma bouche pour atténuer mes râles de plaisir. Xavier me regarde en souriant, ses doigts poisseux de mon élixir.
— Alors tatie, tu as pris ton pied ?— Petit con, tu le sais très bien que j’ai joui ! Mais moi je veux ta queue, ta grosse queue !
Je le repousse et me mets aussitôt à califourchon sur ses cuisses, admirant cette bite énorme que l’on ne voit que dans les films X. Je la prends en main avec ferveur et la dirige vers ma foufoune. Quand je me laisse descendre sur son manche au gland turgescent et baveux, je hurle de plaisir, arrivant presque à jouir juste de l’intromission de la tête de sa bite. Je suis comme folle, appréciant en connaisseuse chaque centimètre de la grosse queue de Xavier qui s’insinue en moi.
Je fais durer le plaisir, regardant ce membre sans fin s’enfoncer et disparaître presque entièrement dans ma chatte en l’écartelant... Il me tient par les hanches pendant que je me pourfends en rythme soutenu, m’explosant assez violemment sur son rostre en poussant des râles et le défiant du regard avant de repartir seule dans ma chevauchée fantastique. Mais Xavier ne veut plus être passif et se redresse, m’emportant enfilée comme une volaille sur sa broche. Il me positionne pour me prendre en levrette, mon corps est secoué au rythme de ses coups de reins, ma bouche entrouverte et haletante. Puis je jouis en hurlant de plaisir, ne me reconnaissant plus, mais cela n’arrête pas Xavier qui continue à un rythme effréné de me saillir comme si sa vie en dépendait. Je me suis effondrée, le cul toujours relevé par ses mains solidement fixées sur mes hanches et lui toujours opérant comme une machine avant de se retirer dans un bruit de succion pour m’ordonner.
— Je veux finir dans ta bouche !
Je rampe vers lui à quatre pattes, recrue de fatigue, et le reprends entre mes lèvres. Il m’attrape par les cheveux et me pine la bouche mécaniquement pour obtenir son orgasme. Il grogne comme une bête, entrant et sortant de ma bouche comme dans une chatte. C’est très violent et je n’aurais jamais toléré ça de mon mari. Il se déverse dans ma bouche, me remplissant le fond de la gorge, je pousse des gloussements de contentement en avalant son sperme chaud tout en pompant comme une hystérique cette jeune queue turgescente. Je voudrais prendre un peu de repos, mais il ne l’entend pas de cette oreille. Il se penche sur mon dos et déjà le majeur de sa main droite s’occupe à ramollir ma rondelle pour y pénétrer.
Il est toujours dans ma bouche, continuant à agiter son doigt dans mon cul. D’autres doigts frappent à l’entrée de mon anus, puis coulissent et se courbent dans mon fondement. Il me force à arrêter le pompage de sa bite lorsqu’elle a retrouvé toute sa vigueur, se relève et me demande de me pencher. Je sens son sexe dressé appuyé sur la raie de mes fesses qui glisse jusqu’à ce que sa tête approche de mon trou, je recule pour mieux ressentir cet instant comme si le temps était suspendu.
Je veux son formidable mandrin dedans, jusqu’aux bourses, à fond même si je sais que je vais souffrir de devoir supporter une telle intromission pour pouvoir ressentir le plaisir quand il va se vider à nouveau, son sperme propulsé par saccades, mais je l’encourage :
— Oui, vas-y ! Encule-moi ! Je veux te sentir en moi. Eh... Vas-y doucement ! Ouille, putain ! Tu me déchires le fion, bordel ! Manœuvre un peu.
Il rentre un peu, se retire encore, rentre encore plus loin. Ce n’est pas encore la joie, mais il rentre de plus en plus profondément. La sensation de douleur s’estompe enfin pour faire place à la montée du plaisir de ce coulissage hors normes pour le commun des mortels. Ses couilles viennent enfin taper ma chatte qui s’entrouvre et se referme au rythme de ses poussées dans mon anus. "Encore"
Quand il ressort, j’apprécie la diminution de la dilatation de mon sphincter, mais quand il rentre à nouveau, c’est encore meilleur. Il me pistonne comme une vraie machine, accroché à mes hanches, je me maintiens d’une main au dossier du divan et avec l’autre, je me branle le clito. La manière dont il m’encule est démente, et je coule comme une fontaine, engluant les doigts de ma main. Il a beau être très résistant, je sais qu’il va bientôt me remplir les entrailles, alors je me fiste, sentant sa bite s’activer du bout de mes doigts et lui dis d’y aller encore plus fort.
Il s’emboîte le plus loin possible, s’il pouvait entrer ses bourses dans mon cul, il le ferait, et jouit pour la troisième fois, le bougre, en pressant ses mains sur mes seins en me redressant pour me coller sur son torse.
— Tiens, prends ça dans ton cul de tata salope !— Oh Xavier... Xavier... Tu sais me fais jouir... Petit salaud qui aime m’entendre brailler comme une truie...
Je décule, me retourne et l’embrasse avec fougue tout en le regardant dans les yeux, je vois à son regard le plaisir qu’il a maintenant de savoir le pouvoir qu’il a sur moi, que je ferais n’importe quoi pour lui pour rester le plus longtemps possible son amante.Il fait rouler entre ses doigts le bourgeon de mes seins durcis par le désir avant de me doigter le clitoris sorti de son capuchon. Je voudrais lui résister, mais je sens que je viens à nouveau dans un orgasme terrible en criant son prénom. Il prend son pied à me faire jouir ce petit con, à m’entendre crier son nom. Mon neveu est devenu un amant exceptionnel, sûr de lui malgré son jeune âge:
— Oh Xavier, Xavier !
Il sait qu’il peut jouer avec moi comme avec un jouet, me prendre dans toutes les positions qu’il désire. Je lui taille une pipe pour lui nettoyer le gland avec ma langue. J’ai bien dû jouir cinq ou six fois.Je suis allongée sur le divan, épuisée, jambes écartées. Xavier est assis près de moi, ma tête sur sa cuisse et caresse négligemment mon petit bouton, entièrement décalotté, gorgé de sang à m’en faire mal, d’un doigt habile. Je suis devenu si sensible que je me tors comme une couleuvre sous la délicieuse caresse. Je prends sa tête, le forçant à se pencher sur moi, la tire entre mes jambes. Je sens sa langue râpeuse me lécher la vulve, ses lèvres aspirer mon clitoris.
— Petite salope, tu n’en as jamais assez, hein ? T’aimes te faire bouffer la chatte... Putain ce que tu mouilles, Tata...— Petit salaud ! Tu me rends folle, mais ne me dis pas que tu n’aimes pas ça... Oh non... je jouis encore... Oh arrête ! C’est une vraie torture !
Il me faut un moment avant de redescendre sur terre. Il m’embrasse tendrement, je le prends par la main, et l’entraîne à la salle de bains. Nous finissons sous la douche prise en commun. Va-t-il encore avoir suffisamment de jus pour me saillir encore une fois ?
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