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Mon nouveau voisin

Chapitre 1

Faisons connaissances

Gay
Cela fait des années maintenant que j’en ai envie. La dernière fois que j’ai eu un rapport sexuel remonte bien à deux ans, et depuis ma séparation avec ma dernière copine j’ai commencé à regarder du côté des hommes. D’abord par curiosité, avant que cela devienne une habitude.
À force de voir de belles bites, j’en voulais plus, savoir ce que c’était, goûter une bite. Parfois même j’étais même très excité et m’imaginait être une bonne salope au service d’une bonne bite. Le plus souvent c’était lorsque j’avais des discussions chaudes sur le net, ou durant des scénarios virtuels.
Mais je n’osais toujours pas franchir le pas. Trop timide, n’assumant pas cette envie et me trouvant complètement fou. Pourtant je continuais, m’exhibant même parfois à travers des photos qui, malgré mon physique d’homme rond, semblaient plaire.
C’était donc un jour comme les autres, seuls chez moi à bosser sur mon ordinateur entre deux branlettes (oui dans cet ordre). Jusqu’à ce que l’on sonne à la porte. Je descends donc sans prêter attention à ma tenue, de toute façon il fait trop chaud pour que je porte autre chose qu’un t-shirt et un pantalon de jogging sans rien d’autre en dessous.
En ouvrant la porte, je découvre un bel ours, dans les 40 ans, un peu rond, le genre de mec sur lequel je fantasmais sur Internet. Mais comme d’habitude, entre le réel et le virtuel, il y a une frontière que je ne franchis jamais. Il était en simple short et t-shirt, visiblement il avait aussi chaud que moi, si ce n’est plus car il était en sueur.
— Bonjour. Pardon de vous déranger, mais je suis votre nouveau voisin et j’aurais besoin d’un peu d’aide.
Comme d’habitude, je suis tellement plongé dans mon petit monde que j’en oublie ce qu’il se passe à l’extérieur. Je n’avais donc absolument pas fait attention au fait que quelqu’un emménageait juste à côté de chez moi.
— Heu, oui bien sûr si je peux vous aider. C’est pour quoi ?— J’ai une vieille commode que j’aimerais monter à l’étage. À deux ça ne devrait pas être long.— Bon d’accord, le temps de mettre mes chaussures et j’arrive.— Bien, je vous retrouve à l’entrée de ma maison.
Le temps d’enfiler mes baskets et me voilà parti en direction de la maison voisine. La porte y était ouverte et le voisin m’attend à l’intérieur et me faisant signe d’entrer.
— Voici ma commode, dit-il en me la montrant du doigt.— Et vous voulez la monter à l’étage dans quelle pièce ?— La chambre, c’est juste à droite en haut de l’escalier.— Ok, je passe devant ?
— Oui ce sera mieux je pense.
Je me place donc devant la commode et je m’accroupis pour la soulever. En me relevant je sens que le haut de mon pantalon accroche au bord du meuble et se rabaisse. Pas grave je le remettrais en place une fois en haut. On commence à monter doucement le meuble dans l’escalier, la commode penchant mon pantalon se baisse encore un peu, je sens un léger air frais en haut de mes fesses, mais trop tard pour lâcher le meuble et le remonter. Tant pis, je continue donc à avancer jusque dans la pièce, sans penser un seul instant que mon nouveau voisin pouvait sans doute voir le haut de mes fesses.
— On le pose où ?— Là juste sur le mur de droite, en face du lit.
Une fois le meuble posé, je relève rapidement mon pantalon et me retourne comme si de rien n’était. Je passe ma main sur le front, je suis en sueur. Ce n’était pourtant pas un gros effort, mais ne faisant pas de sport et avec la chaleur, forcément il ne m’en faut guère plus pour suer un peu.
— Vous semblez avoir chaud, je peux vous offrir un petit quelque chose de frais à boire si vous voulez ?— J’avoue que je ne dirais pas non, mais je ne voudrais pas abuser. Vous avez sans doute encore beaucoup à faire.— Je ne pense pas en faire plus aujourd’hui, avec cette chaleur. Et puis vous m’avez bien aidé, je vous dois bien ça. Que voulez-vous ?— Franchement, un verre de rosé avec l’eau bien fraîche. Mais je doute que vous ayez cela.— Détrompez-vous j’aime ça également. Venez, je vais préparer ça.
Nous descendons donc l’escalier et il me fait signe de m’installer sur le canapé.
— Tenez asseyez-vous pendant que je vais préparer le rosé.— Si cela ne vous dérange pas, j’aimerais plutôt allez aux toilettes.— Ah, c’est juste ici, en montrant la porte juste à côté de celle de la cuisine.
Pendant qu’il se dirige vers la cuisine, je me dirige vers les toilettes et, par habitude, je ferme à peine la porte. Je baisse mon pantalon et me soulage pendant un long moment. À ce moment j’ignorais que même la porte à demi fermée, on voyait bien les toilettes de la cuisine. Une fois ma petite affaire terminée, je me penche pour remonter mon pantalon et me retourne pour me laver les mains. Je me rends compte que je n’ai pas totalement fermé la porte, mais en regardant je ne vois pas mon voisin, j’en déduis qu’il n’a rien vu et je retourne vers le canapé. Quelques secondes plus tard il arrive avec deux verres d’un rosé bien frais.
— Tenez, en me tendant un verre.— Merci.
Je bois une bonne gorgée.
— Ah, j’avoue que ça fait du bien, surtout avec cette chaleur.— Ah ça oui. J’ai bien choisi mon moment pour déménager… En pleine canicule.— Vous n’aviez peut-être pas le choix.— Oh si ! j’aurais pu déménager un peu plus tard, j’ai utilisé ma propre camionnette.
Curieux, je ne peux m’empêcher de lui demander pourquoi.
— Et pourquoi vous avez déménagé ?— Je me suis séparé de ma femme.— Ah pardon, j’ai été trop curieux.— Non, non ce n’est pas grave, ça faisait un moment que ça n’allait plus.— Des enfants ?— Non plus, pas plus mal finalement je pense.— Si vous le dites.
Un petit moment de silence s’ensuit, durant lequel on finit de boire nos verres.
— Un autre ?— Oh non, je ne vais pas abuser, je vais vous laisser et…— Mais non, mais non, ne vous inquiétez pas et j’apprécie votre compagnie.— Comme vous voulez, si cela ne vous dérange pas.
Il se lève et repart en direction de la cuisine. J’en profite pour lever et regarder un peu aux alentours. Je remarque rapidement un ordinateur encore bien emballé dans son carton, ainsi que divers livres d’informatiques. Quelques instants plus tard il est de retour et me tend un verre.
— Merci, monsieur ?— Francis, vous pouvez m’appeler Francis.— Enchanté, moi c’est Nicolas, mais je préfère Nico.— Enchanté.
On se sert la main.
— Vous êtes un informaticien ?— Oui, je travaillais dans une boutique de dépannage.— Travaillais ? Vous avez aussi quitté votre travail ?— Oui j’ai préféré tout laisser tomber pour venir dans un coin tranquille, loin de mes tracas. Un peu comme pour démarrer une nouvelle vie.— Je vois, il est vrai que c’est un coin très calme.— Et vous ? Que faites-vous ? Vous travaillez dans l’informatique également ?— Oui, développeur web à mon compte.— C’est bien ça, vous êtes libre comme ça.— Certes, mais ce n’est pas facile pour autant. Parfois je passe plus de temps avec l’administration qu’à bosser…— C’est le prix à payer. Et côté famille ?— Je suis célibataire, au moins je suis tranquille.— Je comprends, moi parfois ça me manque…— Je peux comprendre, mais je m’y suis fait, ce n’est pas forcément le cas de tout le monde.— Mais vous restez un homme, vous devez bien avoir des envies.
Voilà un sujet que je n’aime pas trop aborder en public, j’ai beau discuter facilement, et parfois même être très chaud sur Internet, je suis assez pudique en réalité. Bien entendu il le remarque.
— Ne soyez pas gêné, nous sommes entre hommes et c’est quelque chose de naturel. Nous avons tous des envies à combler.— Certes, certes…— Cela fait combien de temps que vous êtes seuls ?— Deux ans…— Cela commence à faire long, même avec Internet.— J’avoue… Cela me manque un peu, mais bon, j’y crois plus trop.— Il ne faut pas vous décourager, vous êtes plutôt beau garçon.— Mouais, moi je me trouve un peu trop rond et on ne peut pas dire que j’ai du succès auprès des filles. — Elles ne savent pas ce qu’elles ratent, dit-il avec un sourire, moi je vous trouve très bien.
De nouveau je me sens gêné et certaines pensées commencent à faire surface.
— Si, si vous le dites…— Allons ne vous dévalorisez pas, vous avez bien plus désirable que vous le croyez.— Dommage que ce soit un homme qui me dise ça.— Et alors ?— Je préférerais que ce soit une femme…— Pourtant de ce que j’ai vu…— Que voulez-vous dire ? — Et bien vous avez laissé la porte des toilettes ouvertes.— Je… Je n’ai pas fait exprès, désolé c’est l’habitude…— Pas grave, vous avez de belles fesses bien rondes.— Désolé, mais je ne suis pas homo.— Pourquoi es-tu alors nu sous ton pantalon petit coquin ?— Parce… Parce qu’il fait chaud.— Tu es sur ? — Je… Je suis pas homo…— Ah bon ? Dit-il en baissant les yeux.
Je baisse la tête et je remarque une petite bosse, je commence à bander…
— Ce, n’est pas ce que vous croyez, dis-je en bafouillant. Ce n’est qu’un fantasme parce que je suis en manque…— Tu en es sûr, dit-il en s’approchant de moi. Je suis très doux tu sais, et je suis certain que tu en as envie. Je sais les reconnaître les petits bi curieux comme toi, mais qui n’osent pas.— Je… Je…Je continue de reculer, mais je me retrouve vite coincé contre le mur. Il se rapproche de moi, je sens une bosse toucher la mienne. Je devrais l’écarter et m’en aller, mais je ne le fais pas. Je sens son odeur d’homme en sueur, je sens son souffle quand il se rapproche de mon visage.
— Tu ne veux pas essayer ?— Je… Non, je…
Ses mains se glissent sous mon pantalon et caressent mes fesses
— Hmmm comme je le pensais elles sont bien rondes, comme je les aime. Tu me plais beaucoup.
L’une de ses mains se glisse vers l’avant et se pose sur mon sexe en érection.
— Et tu sembles avoir une belle queue.
Je n’ose répondre, je me sens perdre la tête. Il baisse mon pantalon et commence à me caresser le sexe.
— Je peux goûter ?— …
Il baisse la tête et passe un coup de langue sur mon gland, ma bite se raidit encore plus. Il titille mon gland avec sa langue, lèche le frein, le parcourt dans les moindres recoins. C’est bon, je me retiens d’exprimer mon plaisir à chacune de ses chatouilles.
— Tu as une très belle bite, très appétissante.
À ces mots il gobe ma bite, tout en continuant à jouer avec sa langue, puis il commence à lentement la sucer. Je n’arrive plus à me retenir, je commence respirer fortement et me surprend à poser mes mains sur sa tête et à lentement aller et venir dans sa bouche. C’est si bon, si chaud, bien meilleur qu’avec une femme. J’accélère, sentant que je vais vite jouir tellement je suis en manque de sexe. Jusqu’à ce que, sans prévenir, je jouis dans sa bouche en gémissant légèrement de plaisir. Après avoir juté, il retire sa bouche avec un sourire.
— Désolé, c’était trop bon… Pas pu m’empêcher de…— T’inquiète ce n’est pas grave, j’aime les bonnes bites comme la tienne et tu as bon goût.
Au point où j’en étais, je ne pouvais plus me retenir. Comme à chaque fois que l’on commence à me chauffer, je ne tarde pas à me laisser aller.
— Je… Je peux goûter la tienne ?— Mais bien sûr, vas-y régale toi.
Aussitôt je m’accroupis et baisse son short. Un beau sexe en sort, circoncis comme le mien, un petit peu plus longue que la mienne, mais surtout plus épaisse. Et ce gland, ce beau gland bien gonflé. Je ne tarde pas à la prendre en main et à commencer à la lécher timidement du bout de la langue. Avec la sueur elle a une odeur, mais cela ne me dérange pas, au contraire, ça m’excite. Prenant confiance, je la lèche de plus en plus, la parcoure avec ma langue, avant de mettre le gland entre mes lèvres pour jouer avec. Je sens alors ses mains se poser sur ma tête, je comprends qu’il veut que le suce. Je ne me fais pas prier et commence à la glisser entre mes lèvres. Je ne sais pas encore bien comment m’y prendre, mais j’aime la sentir dans ma bouche. Après avoir commencé à prendre le coup, je commence à le sucer sous l’impulsion de ses mains. Je l’entends gémir et me dire que c’est bon, que je me débrouille bien. Cela m’excite et je continue à le sucer de plus en plus vite. Que c’est bon la bite !
Au bout d’un moment il finit par jouir, je sens sa queue se raidir à chaque jet de spermes. C’est chaud, épais, j’image son jus sortir de son gland me remplir la bouche. Je retire sa queue de ma bouche et, après avoir hésité, je finis par avaler. Curieusement j’aime bien, pourtant lorsque j’avais goûté mon propre sperme je n’avais pas apprécié.
Alors que je me relève il me plaque contre le mur et m’embrasse passionnément. Je ne savais pas qu’un homme pouvait embrasser si bien. Après quoi il me dit :— Si tu en veux plus, reviens ce soir.
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