Ma première fois se déroula à mes 16 ans. J’aimais Miguel pour sa douceur, son calme, sa gentillesse et bien d’autres choses. Alors ; quand deux ans plus tard il m’annonça qu’il me quittait pour une autre, parce que je ne réalisais pas tous ses désirs, j’en ai souffert. Sa nouvelle copine est un vrai thon et je sais qu’il est avec elle parce qu’elle accepte tout. Enfin… Il a toujours voulu qu’on garde contact et, de temps en temps, on se fait des soirées chez son père. Il invite une dizaine d’amis, on s’assoit tous sur les canapés, on s’emmitoufle dans des plaids et on papote en buvant un peu.Ce soir-là, je suis donc en route pour une de ces soirées. Je me suis parée d’une jolie robe à bretelle qui cache un ensemble noir en dentelle très sexy. Je ne l’ai pas mis par hasard, je sais que souvent Miguel glisse sa main sous ma robe, arrive à toucher ma lingerie et juste à ce moment-là, j’ai un malin plaisir de lui dire d’enlever tout de suite sa main de là. J’aime lui montrer ce qu’il a perdu.J’arrive donc devant la maison un peu en retard comme à mon habitude. Tout le monde est déjà là, tranquillement installé sur les canapés. Miguel prend mon manteau et me complimente sur ma tenue. Je sais que ça lui fait de l’effet. Tant mieux. Je m’installe après avoir fait la bise aux personnes assises et entre dans la conversation de mes voisins. Quand soudain un homme entre dans le salon.— Mais tu sais très bien qu’on fait une soirée. Ce soir, Papa on garde la maison.— Désolé, fils, mais mon rendez-vous a été annulé, je vais devoir participer à votre petite soirée. Oh mais c’est Marion !!!! Comment tu vas ?Marion, c’est moi. Et voici le père de Miguel. Je ne vous cache pas que c’est un très bel homme, bien musclé. Il m’a toujours un peu excité et, parfois, lors de mes masturbations, je pense à lui. Alors quand il est venu s’asseoir à côté de moi, je ne vous cache pas ma joie. Il a tiré un peu le plaid vers lui et a collé sa cuisse contre la mienne. Nous avons longtemps échangé avec les autres et puis il se rapprocha de moi, me disant tout bas :— Plus je regarde cette fille, moins je comprends pourquoi il t’a quittée. — Affaire de cul. Jeune, je ne voulais pas certaines choses, que maintenant je fais avec plaisir. Il n’a pas su attendre voilà tout.— Mon fils est donc bête... Mais au moins, maintenant, tu es seule et tu peux faire ce que tu veux, avec qui tu veux.— Vous avez tout compris, répondis-je d’un grand sourire.Miguel nous interrompit pour savoir où j’en étais dans ma vie. J’étais en train de lui expliquer quand je sentis une main sur mon sein droit. Ses doigts, sa paume, ses ongles excitaient mon téton qui durcissait presque à m’en faire mal. J’ai croisé le regard du père, et j’ai vite compris qu’il me désirait. Et, vu l’état de ma culotte, moi aussi. Je n’arrivais plus à suivre la conversation que j’avais avec Miguel, sa main me hantait. Je la sentais partout se glisser sous ce plaid où j’étouffais. Il commença à passer sous ma robe pour sentir réellement mes seins. Je n’en pouvais plus. Quand il passa sa main sous mon string, il fallait que je me sorte de là, sinon j’allais forcément gémir devant tout le monde. J’étais incontrôlable. J’ai donc prétexté une envie d’aller aux toilettes pour me remettre de mes émotions. Arrivée à destination, je soufflai un peu et hésitai à entamer une masturbation. J’en avais tellement envie…— C’est moi, ouvre.J’ouvris la porte au père de Miguel qui se rua dans les toilettes et referma la porte.— Ça ne va pas ?— Si, très bien, même trop bien. Embrasse-moi. — Je n’attendais que ça !On s’embrassa à en perdre haleine. Langues mélangées l’une à l’autre. Ses mains se baladaient sur tout mon corps, son sexe était collé au mien et je le sentais bander comme un fou. J’avais envie de le sucer, de le sentir en moi et de sentir sa semence dans ma bouche. Mais j’avais surtout envie qu’il dirige.— Dans ma chambre ?— Je te suis. J’ai eu de la chance, cette chambre était située loin du salon. Je me suis dit que je pourrais gémir à ma convenance sans que d’autres entendent. Toutefois, elle était située à côté de celle de Miguel et je l’entendais avec sa copine en plein acte. Il la traitait de salope, de grosse vache bonne qu’à se faire enculer, et qu’elle avait intérêt à bien pomper sinon il serait obligé d’aller voir ailleurs. Pauvre type, me suis dis-je. Pendant ce temps, le père m’avait déshabillée et j’étais assise en lingerie sur son lit. Il s’approcha pour m’embrasser et recommença à me caresser les seins. Il enleva mon soutif pour dévoiler mes petits seins tout durs. Il me murmura « Ils sont très beaux » et enleva tout de suite son tee-shirt dévoilant enfin le torse que je voyais dans mes fantasmes. Mes mains caressèrent tout cela avec attention et plaisir, et déboutonnèrent enfin son pantalon pendant qu’il palpait sans relâche mes seins. Il sortit son sexe et commença par se branler calmement. Mais ce sexe m’appartenait et je m’avançai pour commencer à le sucer. Je voulais qu’il s’en souvienne, alors je m’appliquai à faire de beaux va-et-vient et le branlai en même temps. Son souffle commença à se faire rapide et les premiers gémissements sortirent de sa bouche. Je titillais son gland avec ma langue. « Continue, j’aime ça ». De notre position assise du départ, on s’allongea corps contre corps pour mieux se sentir. Je poursuivis ma pipe, plus intensément. « Han, Han … Mmmmh » « Houuuu » Avec tous ses cris, mon minou fraîchement rasé était dégoulinant. Il avait posé sa main et commençait enfin à me caresser. On était en train de s’embrasser quand il me demanda :— Tu aimes le Cuni ?— Seulement celui de ton fils.— Il doit tenir ça de moi alors, me dit-il en rigolant.J’ai aussitôt écarté les jambes pour voir ça. Sa langue était incroyable, Hum… Il stimulait mon clitoris avec, Hum. Il le mordait, le suçait. C’était si bon. Ce fut réellement mes premières jouissances de cette soirée. Son doigt me pénétra pendant qu’il continuait son jeu de langue. Allongée sur le lit, je gémissais en me caressant les seins ce qui multipliait mon désir. Son doigt allait de plus en plus vite. Mes gémissements de plus en plus rapprochés. Quand il introduisit son deuxième doigt, un frisson me parcourut le corps. « PLUS FORT, PLUS FORT, c’est bon ». Il remonta sa bouche pour m’embrasser et sucer à présent mes seins. Rien qu’à ce niveau, je ressentais plus qu’avec mes ex. Alors il me tardait de sentir son gros sexe bien dur dans ma chatte. Il continuait à agiter sa main sur mon sexe, et il me regardait droit dans les yeux pendant que je gémissais, il aimait ça. Quand soudain, j’ai crié « J’ai envie d’elle. Fourre-moi ». C’était vraiment des cris du fond du cœur. « Tes désirs sont des ordres, princesse. » Je me suis mise en levrette et, enfin, je reçus son sexe en moi. « Oh C’est bon » « Hannnnnn, Hannnnnn oh ouiiiiiiiii » « Plus vite, plus vite » « T’es vraiment le meilleur ». Le lit tapait contre la cloison de la chambre voisine, et je m’imaginais le visage de Miguel. Son ex et son père. Il devait être vert.Il instaura très vite des périodes intensives et des périodes très calmes où il pouvait aller plus en profondeur. C’était si bon de l’entendre crier. Il caressait toujours mes seins et mon clitoris. Nous avons exploré de nombreuses positions que j’ignorais, il a dit qu’il adorait me voir comme ça, me déchaîner dans son lit. Mes cris s’intensifiaient, jusqu’à connaître mon premier vrai orgasme. Un moment, il se leva, je m’approchai en le branlant tendrement et en l’embrassant, et me mis à genoux. « Oh, oooooh, oohhhh !» Je sentis son sperme chaud remplir ma bouche. J’ai tout avalé d’un trait. Et, pour la première fois, ce geste me parut beau et vraiment bon alors qu’avant ça ne me plaisait pas. On alla prendre une douche, sans se quitter et on s’endormit ensemble. Au petit matin, on discuta un peu et il me dit qu’il aimerait bien qu’on se revoie. Après cette nuit, je su que je le voulais comme partenaire sexuel ; je lui laissai mon numéro et il promit de m’appeler.
C’est plutôt dur de relater des faits qui se sont passés car je ne sais pas si je les ai bien retranscrits ; donc j’attends vos conseils et vos impressions par message. Merci de m’avoir lu.
