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Mon Nouvel Oncle

Chapitre 6

le Retour

Gay
— Prépare tes affaires et je te ramène à Nice de suite.
Le couperet était tombé, d’une voix glaciale. Mais si son visage était de marbre, ses yeux montraient le contraire, et face à moi, son centre de gravité, sans son harnachement, face à moi, prenait de l’ampleur, beaucoup d’ampleur... !!!
J’avais séché mes larmes à mon lever, mais je les sentais remonter. Je me suis approché de lui, sans le toucher et je lui ai dit :
— Si tu veux me ramener à Nice, pas de problème, mais il m’est venu une meilleure idée dans la nuit. — Ah oui ? Eh bien, laquelle ? — Le loup que nous a donné le pêcheur est vraiment énorme, non ? Bien trop gros pour nous deux, même si on adore ça. — Oui, je reconnais qu’il a été sympa sur ce coup-là.— Alors, si tu allais chercher Mamie pour qu’on le partage tous les trois ? Tu crois pas que c’est une meilleure idée que de rentrer à Nice ? Si elle est libre, bien sûr.
Il est resté... Interloqué... Il s’attendait à tout... sauf à ça de ma part. Il s’est approché de moi et m’a serré très fort dans ses bras. C’est lui qui pleurait presque maintenant.
— Écoute-moi mon Amour. Toi, tu ne connais mon existence et celle de ta sœur que depuis quelques mois. — C’est vrai, elle ne me l’a avoué que très récemment. — Mais moi, depuis que je suis au monde, je n’ai entendu que des horreurs sur cette femme qui est ma grand-mère, aussi bien de la part de ma mère, de mon grand-père et même de mon arrière-grand-mère quand elle était encore en vie. — Je n’avais pas saisi ça à ce point mon Ange.— Pour toi, elle est ta mère chérie, qui a pris soin de toi, alors qu’à moi, on m’a inculqué qu’elle était le démon en personne. — Je t’assure qu’elle n’est pas ce que tu penses, ou du moins, pas ce qu’on t’a inculqué. — Je te crois... Le Lycée Militaire, même si j’y ai perdu mon pucelage, m’a appris au moins une chose... C’est à décider par moi-même. — Hmmmm... Quel plaisir pour moi que tu y aies perdu ta virginité dont je profite maintenant. — Je pense que de nous retrouver que nous trois, dans ce qui est notre chez nous pour quelques jours, va la rassurer, elle aura moins de pression. — Tu es merveilleux mon Ange... Pardonne-moi mon excès d’humeur, j’ai été trop dur avec toi, je m’en veux... — Tu veux te racheter ? Tu as pas une idée comment ?

Il en a très vite trouvé le moyen, en m’asseyant sur la table de la terrasse, arraché mon short... Je dis bien arraché... et défais le simple cordon qui maintenait son bermuda. Heureusement, j’avais pris une douche profonde, externe et interne, dès que je m’étais levé, et j’avais enduit ma chatte d’une pommade cicatrisante tellement ses assauts avaient été puissants la veille.
Son pieu a très vite trouvée l’entrée de mon orifice, suintant de son désir pour lui, et il s’est enfoncé en moi, lentement, mais en totalité, n’en laissant pas le moindre centimètre à l’extérieur. Ma chatte était dilatée à l’extrême, mais il n’en avait cure. Il savait que je pouvais le supporter entièrement maintenant et il s’en donnait à cœur joie. J’avançais mes fesses vers lui, comme pour accentuer encore cette pénétration gigantesque, mes mains, mes lèvres parcourant son torse poilu que j’avais très vite libéré de sa chemisette. Pas con le mec, il avait mis une chemise bien ouverte pour laisser son torse velu apparent, meilleur moyen pour me faire craquer.
J’étais trop heureux d’appartenir à nouveau à Mon homme, l’homme que j’aimais, que je désirais, que je vénérais. Même si la taille immense de son sexe me faisait souvent souffrir, c’était pour moi, une saine douleur... Celle de l’Amour... !!!
Bien évidemment, il lui a fallu mettre le couvert à trois reprises pour se sentir assouvi, son sperme me dégoulinant entre mes cuisses jusqu’à terre et j’avais la chatte... Ruinée, Explosée... !!! Enfin debout, difficilement je l’avoue, nous nous sommes mis à parler de ce déjeuner avec Mamie.
— Elle sera là mon Cœur, je te promets. Elle a très vite compris lors de notre repas à Nice, que tu voulais rester en dehors de tout ça. — D’accord, mais permets-moi d’y mettre une condition.— Laquelle ? — Je ne veux absolument pas entendre parler du passé, on aura bien le temps pour ça. Je veux juste retrouver une grand-mère que je ne connaissais pas. Le Passé, Claude, je m’en fous complètement, seul l’Avenir compte pour moi. — Je crois qu’elle le sait, Marc. — J’ai perdu récemment la seule grand-mère que j’avais, que j’adorais et qui me le rendait bien. Ce que je voudrais, c’est que Mamie oublie Camille, son ancienne famille ou du moins, sa souffrance passée, et puisse me donner autant d’amour que ce qu’elle t’a donné, même si cela ne doit rester qu’entre nous.— Je pense qu’elle en est capable Marc, une fois qu’elle se sentira en sécurité avec nous. — Dernière question... Elle sait pour toi ? Que tu es homo ? (On disait pas gay à l’époque) — Elle s’en doutait depuis un moment et je lui ai avoué la vérité l’année dernière. — Et elle a pris ça comment ? — Ni bien ni mal, juste un peu déçue de savoir qu’elle ne serait pas grand-mère. Mais elle a évolué depuis qu’elle a vu celui qu’elle avait. — Elle sait qu’on est ensemble ? — Non, du moins, je ne lui en ai pas parlé, mais elle est super fine. Je me demande quand même si elle n’a pas un léger doute. — Donc, sage déjeuner entre grand-mère, oncle et petit-fils... !!! — Je pense que c’est mieux ainsi mon Cœur... !!! — Alors... Mets ton harnais quand nous serons ensemble...
Dieu que je détestais ce mot, cet objet qui représentait une véritable contrainte pour lui, que je savais nécessaire, mais dont il avait pu se libérer avec moi. Je l’ai envoyé à Cassis faire quelques courses, du fenouil pour le loup, des œufs frais et de la crème fraiche pour l’ile flottante que je voulais préparer ainsi que le vin que sa mère préférait. Il est revenu avec ce que je lui avais demandé et un Bandol rosé, Domaine d’Ott, le meilleur de la côte. Il avait appelé sa mère d’une cabine, et même si elle s’était montrée un peu gênée au début, en fait, elle était trop contente. Il voulait gâter sa mère... Et moi, ma grand-mère... !!
Pendant que je rangeais tout ça, il n’a pas pu s’empêcher de me mettre la main au cul, incrustant bien sa barre entre mes fesses, pour me montrer qu’il n’était pas contre un petit plaisir avant de partir pour Marseille.
— Weg... Heraus... !!!
Je parlais allemand couramment et les ordres dans cette langue me paraissaient, comment dire... Plus fermes... !!! En vain, bien sûr.
— J’ai envie chéri, et j’aime pas conduire les couilles pleines... !!!
Il a profité que je me penchais pour ranger les courses dans le frigo pour écarter mon short et introduire d’un trait, son fabuleux membre dans mon calice accueillant, encore lubrifié par ses visites matinales. Mais j’ai fait quoi au Bon Dieu pour avoir un Oncle pareil, devenu mon amant et doté d’un appétit sexuel aussi exacerbé... !!! Il est vrai aussi qu’il n’avait jamais connu ça auparavant, que sa frustration et son manque dataient depuis de si longues années...
Couilles vidées, il a enfin pris la voiture pour Marseille, et après une rapide toilette, il me remplissait tellement à chaque fois, je me suis mis aux fourneaux. Je ne vais pas vous décrire la préparation du repas, mais seulement le résultat dont j’en étais hyper-fier. Voilà seulement le menu :
— Salade de tomates à la mozzarella (Hyper-rare à l’époque, mais que Claude en avait trouvé) parsemée juste d’huile d’olive, d’un peu d’ail, de sel et de basilic frais.— Loup grillé au fenouil avec les branches que j’avais repérées dans la garrigue.— Petit gratin de fenouil, mais aussi de pommes de terre. (Je ne savais pas si Mamie aimait le fenouil).— Fromages que nous avions ramenés de Nice.— Et Ile flottante que je réalisais d’une manière particulière. Crème anglaise assez épaisse grâce à pas mal de jaunes d’œufs, d’un soupçon de Maïzena, avec lait entier, crème fraîche, gousse de vanille, et les blancs cuits au four, un peu comme une meringue, pour les rendre plus fermes.

Tout était prêt, le loup marinant, attendait leur arrivée pour passer au barbecue, dont Claude allait s’occuper, lorsque, à peine sorti de la douche pour ôter cette odeur de cuisine sur moi, j’ai entendu le moteur de la voiture. J’ai serré les poings, mes ongles me faisant presque mal, et me reprenant, je n’avais qu’un mot en tête... L’Avenir... !!!Claude est sorti en premier, ouvrant la porte à sa mère, montrant par ce geste le respect qu’il lui portait, mais elle restait en retrait, hésitante. Qu’elle était belle... Qu’elle que soit la haine que pouvait vouer ma mère à la sienne, elle ne pouvait certainement pas la renier, tant elles se ressemblaient.
Après une ou deux minutes de flottement, où aucun de nous n’osait bouger tellement cet instant paraissait inimaginable, sans le moindre regard envers Claude, pour lui montrer que ce choix était le mien, le mien seul, je me suis approché vers elle et je l’ai serrée fort dans mes bras.
— Je suis content que tu sois là Mamie, avec nous, seuls avec Claude et moi. — Marc... Tu ne sais pas le bonheur que tu me procures... — D’accord Mamie, c’est moi qui ai tout cuisiné, j’espère que tu vas apprécier, mais j’accepte toutes les critiques aussi... — Tu sais Marc... — Non, Mamie... je veux pas savoir... Je veux juste profiter du plaisir d’être tous les trois ensemble.
Il faisait un temps magnifique. J’avais installé la table sur la terrasse, que Mamie présidait, avec d’un côté son fils, et de l’autre son petit-fils. Comme j’allais m’affairer en cuisine, Claude, d’un regard, m’a fait comprendre que je devais rester assis à côté de Mamie. Il avait sorti une sorte de sac isotherme du coffre et s’était affairé à mettre en route le barbecue. Pendant ce temps, Mamie enlevait de son sac quelques morceaux de tissus qu’elle avait brodés elle-même, tous plus beaux les uns que les autres. J’aurais tellement eu envie de les garder, tant ils étaient magnifiques, soit très simples, soit couverts de fils d’or et d’argent avec des pierres finement incrustées.
— Ça te plaît, Marc ? Tu aimes mon travail ? — Mais c’est magnifique Mamie... Tu as des doigts de fée... — Alors, si tu les aimes, c’est pour toi, garde-les et je t’en ferais d’autres si tu veux.
Je n’ai pas eu le temps de lui répondre quand j’ai vu Claude arriver avec un plateau, un seau et des coupes. Il avait amené du Champagne, du vrai, et nous a servi quasi religieusement tous les trois.
La journée s’était super bien passée, Mamie avait adoré mon repas, me complimentant, ignorant les talents culinaires de son petit-fils, et après une promenade digestive, thé et café pris sur la terrasse, elle a demandé à Claude de la ramener chez elle. Avant ça, elle a voulu me parler à part, seuls tous les deux. Elle avait tellement souffert elle aussi, qu’elle savait être très directe.
— Je suis heureuse d’avoir passé cette journée avec vous deux... — Moi aussi Mamie, vraiment... — Tu l’aimes ? — Bien sûr, c’est mon oncle à présent... — Marc... je te connais peu, mais je connais mon fils... et sa vie... — Je sais Mamie, il m’en a parlé.— Alors, je te répète ma question... Tu l’aimes ? — Pourquoi tu me poses cette question ? — Parce qu’il ne te regarde pas comme un neveu, mais comme son amant. — Non seulement je l’aime, mais je l’adore et je le vénère tant... — Vous avez couché ensemble ?
Elle était effectivement très directe, alors, pourquoi lui mentir...
— Oh que oui Mamie, depuis le lendemain de notre rencontre, et c’est encore et encore... Même juste avant qu’il aille te chercher... A trois reprises d’ailleurs.— Tu es conscient qu’il est ton oncle ? Que c’est de l’inceste... !!! — J’en ai rien à foutre Mamie... Il y a quelques semaines, je ne savais même pas qu’il existait, du moins, en tant que mon Oncle. — Tu l’aimes vraiment alors ? — Comme un fou... Alors je ne sais pas ce que Lui va décider, mais sache que tu sois ma grand-mère et sa mère, ça ne change rien à ce que j’éprouve pour lui.— J’ai vu pendant cette journée comme il te couvait des yeux... — Tu fais ce que tu veux Mamie, mais c’est Lui et Lui seul qui décidera.
Ils sont montés dans la voiture et après que sa mère soit installée sur le siège passager, il en est sorti, m’a pris dans ses bras et m’a embrassé à pleine bouche.— A tout à l’heure mon Amour.
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