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Mon papa

Chapitre 1

Gay
Cela s’est passé quand j’avais 19 ans.Pour déposer le tableau, j’ai été élevé et j’ai vécu uniquement avec mon père, un homme admirable, doux, gentil, toujours à mon écoute et à mes petits soins. J’étais son chéri et il était mon Dieu vivant. Il avait à l’époque 43 ans et était coach sportif en natation, ce qui lui valait un corps à la plastique parfaite et pour mon grand malheur, un visage digne des plus beaux hommes du monde: cheveux très noirs aux yeux bleus, même les hommes hétéro se retournaient sur son passage. Et lorsque je dis "pour mon malheur", c’est que j’ai vite découvert vers mes 16-17 ans que mes yeux se portaient sur les maillots de bain des hommes que je voyais à l’entraînement, car mon père me faisait également nager deux heures par jour pendant ses cours.
Vers mes 18½-19 ans, je m’apercevais que j’étais de plus en plus troublé par la beauté de mon père et que je pensais de plus en plus à lui pendant que je me masturbais. Jusqu’au jour où j’ai passé le cap en commençant systématiquement à aller tous les soirs avant de me coucher, chercher le slip et les chaussettes du jour de mon père et dans mon lit, les frotter sur moi et les sentir pour finir avec son slip sur le visage et ma queue dans une chaussette à l’astiquer jusqu’à soulagement. Je remettais le tout discrètement le lendemain dans la machine et j’adorais cela.
Jusqu’au jour où je prenais une douche et il me sembla voir mon père immobile dans la pénombre du couloir, car la douche est vitrée et je pouvais le voir dans la glace d’en face, car la porte était comme toujours ouverte. Je n’y tins pas compte jusqu’au moment où je m’aperçus qu’il était là, pratiquement à chacune de mes douches et je compris qu’il devait croire que je ne le voyais pas et j’en fus troublé. Toujours en faisant comme de rien, je me séchais et sortis de celle-ci. Bien sûr, il n’était plus là et j’entrepris d’allumer le couloir et de faire tomber ma serviette à l’endroit où il se tenait et là, je vis une tache mouillée sur le sol et en la touchant, je pus m’apercevoir que c’était du sperme, ce qui, de toute évidence voulait dire que mon père se branlait en me matant !
Alors le lendemain dans la douche, dès que je le vis, je me suis mis à bien faire mousser mon bas-ventre qui bandait déjà grave rien que de savoir qu’il se touchait et j’entamai une masturbation en me caressant tout le corps et je ne tardais pas à tout cracher. J’étais fier de moi et me rinçai.
Le lendemain, j’annonçais à mon père que j’allais me doucher alors que je ne le disais jamais et dans la douche, j’entrepris mes attouchements. Je faisais glisser mes mains sur mon ventre, mon torse et affolais mes tétons. Ma bite était bien raide et je mis une main sur le mur et entrepris de me caresser les fesses puis en me cambrant, de me lisser la rondelle avec un doigt et j’entrouvris la bouche pour laisser échapper un léger murmure de plaisir. Je me mis du gel douche et me lissais de plus en plus en tortillant mon cul pour montrer mon plaisir, l’eau coulant sur mon cul et le rinçant. J’entrepris d’y mettre de la salive et de m’introduire légèrement un doigt en gémissant et laissant échapper doucement, mais suffisamment un "Oui papa chéri !" Je faisais bouger mon doigt et redis "Oh papa chéri, c’est bon !" Et là, il entra dans la salle de bain en slip blanc et la bite sortie bien raide. Je me redressai d’un coup, feignant la surprise et l’embarras. Et il me dit vite:
— Je vois que toi aussi tu es très excité! N’en sois pas gêné, regarde dans l’état dans lequel je suis aussi ! Il semblerait que ta petite rosette t’apporte du plaisir ? J’aimerais la caresser pendant que l’on se soulage. Cela ne nous fera pas de mal...
Et sur ce, je sortis de la douche et il me mit une main sur les fesses en lâchant un "HUMM" de plaisir. Il me plaça devant l’évier et il entreprit de me passer un doigt sur la rondelle pendant que je me touchais la bite en gémissant ; lui aussi se branlait. Soudain, il vint s’agenouiller derrière moi et me passa la langue sur l’anneau. Je lâchai ma queue et me cambrai en gémissant. Il se mit à me lécher la raie comme un fou, je haletais comme un fou et là, il entreprit d’entrer sa langue dans mon trou qui se dilatait de plus en plus. Il me baisait avec sa langue ! Puis il y mit doucement un doigt. Je devenais fou ! Il se redressa et me dit de venir dans sa chambre où nous serions mieux. Je le retins par le bras et en l’enlaçant par la taille, colla ma bouche sur la sienne et nous nous sommes embrassés comme des fous.
Dans sa chambre, il ôta rapidement son slip et s’allongea sur moi. Sa queue frottait la mienne et là, j’entrepris de le faire basculer sur le côté et de me jeter sur son dard pour le pomper. Je le dévorais littéralement et je pouvais le voir me regarder le pomper. Il avait la bouche entrouverte en gémissant. Soudain, je le sentis se contracter en lâchant un "ATTEN..." Je le cramponnai et il m’inonda la bouche de son foutre épais et abondant. J’avalais tout et me laissai glisser sur le côté, la tige pointant au plafond. Il me dit: "Oh, mon chéri, quel plaisir tu m’as donné. Mais toi, tu n’as pas joui !", ceci en me prenant la queue et là je l’arrêtai en lui disant que j’allais pisser alors que c’était pour aller dans la cuisine pour me faire couler de l’huile sur les doigts et me les enfiler dans mon anus pour bien finir de le lubrifier, car j’avais un vide monumental en moi. Je m’essuyai les mains et fonçai le rejoindre.
Oh, joie ! Il se remit à bander lorsque je me suis mis sur le lit et il entreprit de me branler en me mordillant un téton. C’en était trop pour moi et je pris l’initiative de le chevaucher en prenant bien soin de placer son gros dard entre mes deux lobes fessiers et je faisais des allées et venues dessus et en gémissant, il me dit qu’il adorait mon cul que cela faisait un bon moment qu’il le faisait triquer. Alors je me baissais pour l’embrasser et je me retrouvai avec son gland pile sur mon anus dilaté. Je remuais un peu le cul et entamai une légère poussée sur le bas, ce qui laissa, non sans peine, mais avec succès, entrer le gland de sa bite en moi avec un grand râle de plaisir de ma part et de lui aussi, bien que je ressentais une gêne de sa part. Alors j’entrepris de bouger un peu et en me redressant, de toute l’engloutir et à rapidement faire basculer mon bassin d’avant en arrière en couinant de plaisir.
Il se mit à gémir alors que le désir montait de plus en plus dans mon ventre et sur mon anus et là, je posai mes pieds sur les côtés et je me soulevais pour me laisser retomber violemment, et cela de plus en plus vite.
Plus je hurlais de plaisir, plus il gémissait en me disant: "Oui mon chéri !" Il m’attrapa la queue et soudain dans un cri, nous avons déchargé l’un et l’autre d’une puissance inimaginable.Ce fut la première fois et il y en eut bien d’autres, et de plus en plus chaudes.
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