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Mon Papounet.

Chapitre 1

Papounet et son patron.

Inceste
Mon papounet.
Papounet, son patron. Deux bites pour Justine.
 J’écris cette histoire avec une de mes fidèles lectrices, essayant de faire coïncider nos deux points de vue et de rester cohérents. J’ai dû retoucher son texte pour qu’il corresponde à la charte du site question âge de Justine et d’autres paramètres sans trop le dénaturer. Votre serviteur qui dans cette histoire est Papounet. Moins de trente secondes s’écoulent avant que je n’explose dans une libération extatique de bonheur. Bien que ce soit la deuxième fois que je me vide les couilles en un temps très rapproché pour moi, je déverse encore une sacrée dose de foutre dans la bouche de ma petite chérie puis sur son visage rayonnant. Je suis mort de honte mais que c’est booonnn. Le visage de Justine est grêlé de taches blanchâtres qui se rejoignent en filets avant de finir sur ses seins et son ventre. Elle y trempe des doigts et étale ma crème sur tout son corps avec un plaisir non dissimulé.-Tu es vraiment une salope Justine. Fous-le camp de ma chambre sinon je ne réponds de rien !Elle m’obéit et quitte la pièce en me promettant :-Mon papounet chéri, je n’en ai pas fini avec toi…et ton gourdin. Suite :Justine :Et ce n’est que le début d’une vie remplie d’inceste, d’exhibe de partouze et bien d’autres délicieuses perversions… Dire que j’ai attendu d’avoir 18 printemps avant de connaître un tel trip !!!En entrant dans ma chambre, je suis encore humide de sueur et de liqueur de plaisir, un frisson de bonheur parcourt mon corps. Une envie me vient, je pose mon pied gauche sur mon lit de fille sage.  J’admire mon corps et passe deux doigts au fond de ma petite chatte et les ressorts gluants du sperme de mon papounet avant de les porter à ma bouche, hummm quel délire et quel délice, miam-miam…Après une douche fraîche je me sens toute joyeuse et bien décidée à faire de mon papa le plus heureux et comblé des hommes ! Quelques jours plus tard, je sais qu’Éric son patron doit venir boire l’apéritif et qu’il pratique lui aussi le naturisme comme nous, c’est d’ailleurs comme ça que papa et Éric se sont rencontrés. Cela devrait devenir très intéressant maintenant que j’ai franchi le cap avec papa, j’en frissonne d’avance humm, surtout que ça fait bien deux ans que je n’ai plus vu Éric.En émergeant de mes pensées, je me demande ce que fait papa, est-il aussi excité que moi !?Je me décide à gambader dans le jardin sous les rayons du soleil qui réchauffe mon jeune corps d’ado heureuse.Je vais préparer l’apéritif au bord de la piscine, papa sera content de mon initiative et qui sait, peut-être aurait je droit à une grosse et dure récompense avant l’arrivée d’Éric comme apéritif, ça me fera déjà un bon en-cas, humm… Papounet :Ça faisait longtemps qu’Éric n’était pas venu à la maison. Nous avons le même âge et nous sommes connus dans un camp de naturisme. On s’entend bien et je suis très content de mon travail. Nous allons sur la terrasse ou Justine a judicieusement installé un apéro assez copieux. Nous sommes en pleine discussion quand Justine qui s’était absentée revient complètement nue et se jette au cou de mon patron, les jambes relevées. Elle l’embrasse sur les deux joues, se frottant sans vergogne contre lui avant de le lâcher et de se mettre devant lui les jambes écartées et les mains sur les hanches.— Bonjour Éric.  Comment vas-tu ? Ça fait bien deux ans que je ne t’ai pas vu.-Euh. Bonjour Justine. Oui depuis le camp de naturisme de xxxxxxx.  Tu as drôlement changé dis donc, tu es devenue un beau brin de fille avec ce qu’il faut où il faut. Tu dois faire des heureux. Justine y va fort, elle l’aguiche comme le ferait l’entraîneuse d’un bordel.  Éric finit par ne plus savoir où se mettre. Je vois bien que le comportement de ma fille a de l’effet sur lui car une bosse commence à déformer le devant de son pantalon.-Justine… un peu de pudeur quand même, va te couvrir !
-Pourquoi mon papounet ? Ce n’est pas la première fois qu’Éric me voit toute nue, et en tant que majeure, je fais ce que je veux maintenant.-Oui. Mais tu n’es plus la petite fille insouciante du camp de naturisme. On ne se comporte pas comme ça avec ses invités quand on est une jeune « adulte ».Justine se tourne alors vers Éric et lui demande en se caressant les seins :-J’ai bien changé hein Éric, il y a deux solutions à ce problème, ou je me rhabille, ou alors on fait comme au camping et on profite de la piscine, complètement nus. Éric me regarde, je hausse les épaules et il prend ça comme un encouragement. Il retire tous ses vêtements et s’assoit dans un fauteuil de jardin. Justine :Je suis arrivée plus facilement que je le croyais à mon but. Papa ne peut suivre que le mouvement et je me retrouve ainsi entre deux mâles. Avant je ne portais que peu d’intérêt au sexe des personnes qui faisaient du naturisme. Mais mon comportement a beaucoup changé depuis quelques temps. Je compare sans vergogne les attributs de l’un et de l’autre. La verge d’Éric est demi-molle mais même comme ça, elle est encore largement moins grosse et longue que celle de papa qui pend entre ses cuisses. Je les laisse discuter bien une dizaine de minutes avant de revenir à la charge. Je suis entre eux deux, je ferme les yeux et me caresse lascivement, discrètement au début, puis de plus en plus appuyé. Je me caresse sans vergogne devant ces deux hommes magnifiques, mon papa et son patron Éric, je ne tarde pas à voir l’effet que je fais à Éric en assistant à l’excitation qui gorge sa bite de sang, humm… Papa détourne son regard et ferme les yeux.Éric se caresse lentement la bite et cela fait dégouliner ma petite chatte le long de mes cuisses. Je sais qu’ils s’en sont donnés à cœur joie avec les femmes du camp de naturisme mais d’après ce que je sais, jamais les deux ensembles.Je me lève et tourne autour d’eux sensuellement.— Alors papa, elle est dure la bite d’Éric ? Et toi Éric, que penses-tu de la teub de mon papa ? Vous m’excitez tous les deux, Éric, tu peux branler papa ? Je le ferais bien mais je suis sa fille…  -Excuse-moi Éric, me coupe mon papounet, je n’arrive plus à la tenir depuis quelques temps. Éric lui sourit mais obéit à ma supplique au grand étonnement de mon père, tend son bras droit pour saisir la verge encore flasque de papa et entreprend de la branler. Papa essaie de résister mais je caresse son joli cul musclé et pousse le vice en me mettant à genoux pour lui lécher l’anus pendant qu’il se fait tripoter et j’attire l’attention d’Éric sans en avoir l’air en m’exclamant : -Oh putain papa ! C’est délicieux mmmhhh, et tu bandes comme jamais ! Ton chibre est deux fois plus gros que celui d’Éric, comment c’est possible ?-Je ne t’ai jamais vu en érection et je dois dire que ta fille a raison. Tu es monté sacrément costaud, constate Éric. Papounet :Justine passe sa langue de mon anus jusqu’à mes grosses couilles qu’elle gobe avec gourmandise.— Mmmhhh… ça ne te dérange-pas Éric, que je goûte ce fruit défendu avant le tien ? C’est la première fois que je suis confrontée à une telle poutre.Justine relâche l’étreinte de ses doigts quelques secondes le temps de changer de position pendant qu’Éric observe mon sexe bandé en branlant le sien. Elle repose sa main sur ma queue, puis se penche sur mon pieu pour l’enfoncer dans sa bouche. Mon gland glisse entre ses lèvres puis sa langue commence délicatement à tourner autour avant de m’abandonner et de faire de même avec le pénis d’Éric et de s’exclamer ensuite. -Ça y est, je viens de réaliser mon fantasme. J’ai branlé puis sucé le sexe de mon père, avec en plus un deuxième chibre à ma disposition. Ne te fâche pas Éric, mais la comparaison entre vous deux est édifiante. Je peux prendre toute ta queue dans ma bouche alors qu’avec mon papounet je ne peux en goûter que la gueule et ton crayon ne fait pas le poids à côté d’un tel gourdin.  Elle nous branle, nous suce, nous lèche avec détermination et les premiers gémissements d’Éric l’incite à s’appliquer davantage. Soudain il se met à grogner :-Oh oui c’est bon Justine, continue…Sur ces mots d’encouragement, elle reprend sa fellation avec plus de vigueur sur sa lance. Il pose une main dans les cheveux de Justine et enfonce de plus en plus son sexe dans sa bouche pendant qu’elle continue de me masturber et que je lui caresse ses seins aux pointes érigées. Ses gémissements sont étouffés par le sexe d’Éric qui adore ce qu’elle lui fait.Soudain entre deux râles il nous avertit qu’il va jouir. Je devine sa verge en train de se gonfler et le premier jet de sperme jaillir dans la bouche de ma fille. Elle n’a pas de mal à tout garder en bouche mais elle gonfle les joues pour faire ressortir la semence qui coule entre ses lèvres.Elle le délaisse alors pour s’occuper de moi. Elle s’escrime encore pendant quelques minutes avant que moi aussi j’arrive au moment fatidique sous le regard admiratif de mon patron et ami.-Tu as gagné Justine, moi aussi je vais juter. Mais cette petite garce veut que je me montre en spectacle à Éric. Elle ressort ma verge de sa bouche et me branle avec vigueur de la main droite en me malaxant les couilles de l’autre main pour éviter les grumeaux. Je ne peux plus me retenir et éjacule ma semence avec vigueur en plusieurs jets conséquents, la crépissant de mon foutre des cheveux jusqu’à la poitrine quand les derniers jets perdent de leur puissance, éclaboussant même Éric qui s’était trop rapproché.-Bordel de merde ! s’exclame Éric. Je sais enfin d’où tu tiens ta réputation. La nature t’a vraiment trop gâté, mon salaud ! Tu es un sacré éjaculateur en plus d’avoir une bite magnifique, je dois avouer que cela m’attire énormément et ouvre de nouvelles perspectives très chaudes. Laisse-moi embrasser ta petite salope de gamine et par la même déguster ton sperme. Et cette petite peste de surenchérir.-Tu as raison Éric. J’ai jamais vu ça, quand je dirai à mes copines que papa est monté comme un âne et qu’en plus c’est un sacré éjaculateur, elles vont crever de jalousie et vont me supplier de le leur présenter. Mais je le garderai pour moi toute seule. A suivre…
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