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Mon paternel sur moi

Chapitre 1

Inceste
Depuis mon récent mariage avec Sophie, qu’il trouve à son goût, mon père s’invite plus que d’ordinaire à la maison. Mon épouse se plie en quatre pour lui être agréable et je n’ose lui contester ce pouvoir facile et jouissif qu’il prend à s’immiscer dans notre nouvelle vie de couple fraîchement installé en parfait curieux indiscret. D’autant plus que ma jeune épouse n’y trouve rien à redire, même lorsqu’il prend l’initiative de débarquer chez nous à l’improviste pour lui faire des avances à peine voilées en ma présence. Je dois avouer ma honte, dans ces situations embarrassantes, à y trouver de l’excitation. Je deviens tout rouge, étranglé par l’émotion et ça se voit !
Papa s’est fait d’ailleurs plus présent encore depuis qu’il a été reçu une fois par ma femme en petite tenue. Elle ne portait pas, ce jour-là, de soutien-gorge sous son débardeur en coton noir et ample qui laisse deviner sa belle poitrine bien ferme. Sexy, très attirante, elle l’est encore plus lorsqu’elle s’exhibe en petite culotte : son petit cul est irrésistible, et elle le sait.
Elle lui avait ouvert volontiers sa porte, me sachant au bureau pour la journée. La provocation était trop manifeste ce jour-là et mon père, une fois à l’intérieur, saisit le prétexte des embrassades habituelles pour faire glisser ses lèvres chaudes d’homme mûr et encore séduisant dans son cou de jeune femme. Un roulage de pelles baveuses à pleines bouches fiévreuses s’ensuivit. Une grosse main incestueuse frottait et massait l’entrejambe de ma salope de bonne femme qui ne s’appartenait et ne se contenait déjà plus à l’idée de tromper son mari avec le père de celui-ci. Sa cérébralité ne pouvait résister à une tentation si stimulante. Il faut admettre à ma charge que, jusqu’alors, je n’avais rien fait pour l’en dissuader. Au contraire !
Les caresses et les gestes empressés les conduisirent tous les deux vers le canapé du salon. Papa était sur elle ; ses mains fouillaient son corps et exploraient son intimité moite de femelle offerte et impatiente. Il lui avait écarté les cuisses d’un geste nerveux, impératif, presque brutal, et entreprit de lui branler la vulve, les doigts glissés sous l’élastique distendu de sa culotte. Il repoussait le tissu pour la lui sucer. Sa langue s’agitait dans son intimité trempée et il dégagea les grandes lèvres vaginales pour les lui branler et lui suçoter le clitoris. Elle gémissait et soupirait d’aise, furieusement excitée. La bouche maculée de mouille, Papa alternait les succions vaginales et les coups de langue dans l’orifice buccal de Sophie.– Oh, putain, comme tu m’excites, toi ! lui murmurait-il de temps à autre à l’oreille.
N’y tenant plus, fou de désir pour celle qu’il venait de chauffer sérieusement, il se redressa d’un bond afin d’ôter son bas de survêtement, dans l’urgence et la précipitation. Une grosse queue magnifique, épaisse et d’une taille impressionnante, au gland champignonesque et suintant, se dressait fièrement au-dessus du nombril paternel. D’énormes testicules pendouillaient sous l’appareil génital ; Sophie tendit aussitôt la main pour soupeser le tout.– Ouah, Monsieur B… Quel morceau ! Elle est encore plus imposante que celle de votre fils...
Papa vint alors exhiber ses attributs sous le nez de Sophie, qui se redressa pour pouvoir l’emboucher lascivement et plus à son aise. L’engin lui déformait la bouche. Elle pompait lentement, amoureusement en lui massant les couilles à sa demande. Elle dégustait tendrement la grosse tétine du père qui se décida bien vite à lui baiser plus vigoureusement la bouche. Il lui tint alors la tête fermement par les tempes à deux mains et s’activa bientôt en elle jusqu’à l’étouffer et la faire tousser.– Bouge-pas, sale petite garce, et ouvre bien grand tout ça que je puisse me régaler à te troncher la gueule !
Le ton avait brusquement changé : Papa se réservait maintenant le droit d’être plus brutal dans ses manières. Mais devant l’absence de réaction hostile et la docilité de ma femme maintenant très éprise de lui, il se laissa aller à être véritablement lui-même. Les femmes, il les aimait chiennes et soumises. Quant à Sophie, elle ignorait encore à l’époque qu’il était bisexuel, tout comme moi-même...

(suite au prochain épisode)
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