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Mon patron fait de ma femme son jouet sexuel

Chapitre 4

Avec plusieurs hommes
Mon patron fait de ma femme son jouet sexuel Ch. 04
Wife Deborah Is Taken By The Boss Ch. 04
Coulybaca / wifelvrmanC


Déborah qui venait de se faire baiser par Dan et Steve alors que j’étais forcé de regarder, alla se doucher et vint se coucher silencieusement.
Nous nous demandions tous deux ce que Dan avait en tête lorsqu’il lui avait dit qu’elle deviendrait une véritable pute ce vendredi.

Le lendemain, un jeudi, se passa normalement.
Déborah alla au boulot vêtue d’une jupe courte, sans petite culotte et d’un chandail qui s’ouvrait sur le devant, sans soutien-gorge.
Ce n’était pas vraiment la tenue apparente d’une très conservatrice enseignante de collège.


Lorsqu’elle me quitta pour rentrer dans le collège, elle me demanda à quoi elle ressemblait, je savais qu’elle avait besoin de se rassurer, que je lui dise qu’elle ne ressemblait pas trop à une salope.
Elle portait une jupe noire, de longueur moyenne, un chandail prune, très finn avec un large décolleté, des chaussures noires avec des hauts talons et c’était tout.
— "Correcte! ... Ta tenue est correcte" la rassurai-je promptement.
— "Je dois déboutonner mon décolleté quand je parle avec un adulte! ..." me précisa-t-elle éperdue, soucieuse, elle me quitta sur ces mots.
Ses opulentes miches étaient clairement visibles sous son chandail, on distinguait clairement les aréoles de ses nibards, et si elle se penchait, on les voyait se balancer mollement.
Sa jupe moulait ses fesses attirant les regards. Dan choisissait lies vêtements qu’elle devait mettre, j’espérais seulement que cela ne l’excite pas trop.

Fatalement le vendredi se ponta, nous n’en avions pas parlé ces derniers jours, vers 17 heures 30 elle reçut un coup de fil de Dan.
Elle se maquilla lourdement, entièrement nue, tandis que je la regardais faire, puis elle enfila une mini jupe noire que Dan lui avait achetée et un chemisier blanc qu’il avait trouvé dans son armoire.
Elle enfila ses chaussures avec les talons les plus hauts, une paire de talons aiguilles dorée qu’elle avait acheté pendant les vacances quelques années plus tôt et partit à sa rencontre dans le parking d’un motel à trente de minute de notre maison.
Elle ressemblait vraiment à une pute lorsqu’elle me quitta, je reçus un coup de fil de Dan trois quarts d’heure plus tard.
— "Magne-toi de nous rejoindre! ..." s’exclama-t-il hilare.
Je les rejoignis au motel dan la demi-heure qui suivit.
Je vis la voiture de Dan dans le parking, il me fit signe de le rejoindre.
Je me rangeais et montais dans sa voiture sur le siège passager.
J’avais remarqué la voiture de Déborah elle aussi rangée dans le parking.
— "Chambre 22 à l’étage! ... Déborah ne va plus tarder! ..."
Nous attendions silencieux, yeux braqués sur la porte, je pensais que Dan voulait savourer mes réactions.
Un petit moment plus tard, moment qui me sembla durer une éternité, Déborah sortit.
Elle descendit les escaliers et alla frapper à une autre porte de chambre.
La porte s’ouvrit, elle entra dans la chambre.
Dan me précisa alors :
— "Ta femme vient de baiser avec un complet inconnu pour 100 $, elle va faire la même chose avec un autre dans cette chambre! ..."
— "Retourne dans ta voiture attends et regarde, elle n’en a pas fini! ..." je me relevais
— "Je vais m’acheter une bière, veux-tu quelque chose à boire? ...." me dit-il rigolard.
— "Non... Ou peut-être un verre d’eau".
Je ne sais pas si j’aurai pu avaler autre chose.
Trois quarts d’heure plus tard, Déborah ressortit et descendit les escaliers, elle n’avait pas entièrement reboutonné son corsage ses nichons se balançaient voluptueusement au rythme de ses pas.
Elle frappa à une porte de chambre et à nouveau entra.
Dan arriva alors et me donna trois bouteilles d’eau.
- "Elle sortira lorsque son client en aura fini avec elle! ... Approche-toi de la chambre et essaye de les épier au travers de la vitre! ... Et reste-y le temps qu’elle sorte! ...."
J’obéis docilement.
J’avais du mal à voir ce qui se passait, cependant je constatais que Déborah était assise entièrement nue sur le lit et suçait la bite de son client.
Je le vis ensuite clairement s’installer entre ses cuisses, je m’approchais de la porte, je n’entendais que des sons étouffés et les couinements du lit.
Il devait la baiser à couilles rabattues.
Je sais que je devais ressembler à un pervers épiant les ébats de baiseurs, mais Dan, assis dans sa voiture, me surveillait.
Enfin, Déborah sortit, je me rejetais dans l’ombre, mais elle me vit. .
— "Je ne parviens pas à le croire ! .." gémit-elle misérablement
— "Je dois remonter à l’étage! ..."
Elle me quitta sur ces mots, son corsage était entièrement déboutonné, elle ne semblait absolument pas s’en préoccuper.
Je ressentis profondément son dédain et notre humiliation.
Je retournais à ma voiture. Dan vint me rejoindre.
A l’étage Déborah frappait à une porte.
— "Une paire d’étudiants! ..." me confia Dan hilare.
— "Je leur ai apporté quelques canettes de bière, ils brûlent d’envie de baiser ta salope de petite femme! ..."
Il m’intima de rester dans ma voiture, car Déborah risquait de rester dans cette chambre un bon moment; leurs copains devaient les rejoindre lorsqu’ils en auraient fini avec elle! ..."
Dan dégrafa sa braguette et sortit sa bite. Il me dit d’en faire autant et de laisser tomber mon caleçon sur mes chevilles.
— "Ne t’en fais pas! ..." me tranquillisa-t-il.
— "Je ne suis pas une tapette! ..."
— "Mais tu peux pourtant me sucer la bite! ... Et lorsque je juterai, avale tout, où c’est Déborah qui paiera pour ta désobéissance! ..."
Je me penchais et embouchais servilement sa grosse bite, je n’avais jamais fait de pipe à qui que ce soit, et j’hésitais, mais je savais pertinemment qu’en fait, je n’avais pas le choix, je ne pouvais pas me dérober.
— "Déborah doit gagner 1000 $ cette nuit! ... " m’avisa Dan alors que je le suçais servilement.
— "Elle restera dans cette chambre tant qu’elle ne les aura pas gagnés! .... Je ne sais pas combien ces étudiants ont ameuté de potes, ni combien d’entre eux vont venir, cela ne me concerne pas! ... Je veux toucher mon argent en fin de soirée! ... Je vais jouir! ..."
Il me tint la nuque tandis qu’il se vidait dans ma bouche. Son sperme était salé, crémeux, je n’en perdis pas une goutte.
Dan sortit de ma voiture et se dirigea vers la chambre., Quelques minutes plus tard il revenait une liasse de billets en main.
Il compta 10 billets de 100 $ et me les donna
— "Tu ferais mieux d’attendre qu’elle sorte, je pense qu’elle aura peut-être besoin de ton aide pour descendre les escaliers;
J’attendis et vis d’abord deux puis trois ados gagner la chambre.
Dan avait raison, ma femme était une vraie prostituée maintenant.....
Le 17 juillet 2007
Traduction en français de Coulybaca, Dominique.dubuissez@orange.fravec l’autorisation de l’auteur wifelvrman (Literotica)
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