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Mon père

Chapitre 6

Progression

Inceste
ALEXIA
Le sentir, sentir le sperme de mon petit papa, s’écouler en moi, est une sensation difficile à décrire.
C’est ce même sperme qui m’a engendrée quand il s’est écoulé dans le sexe de maman.
Et cet interdit est délicieux.
Je sens les jets de foutre atteindre mon utérus et se répandre dans toute ma petite chatte.
Et je jouis, je jouis, comme je n’ai jamais joui auparavant. Le plaisir s’étend de mes orteils à la pointe de mes cheveux, c’est incroyable. Mon corps tremble de partout, j’en ai les larmes aux yeux.
Je lui crie de me baiser encore et encore, jusqu’à ce que je perde conscience.
Je veux sa belle queue, sa tige d’amour, encore en moi.
Je m’affale sur le lit, mon petit papa toujours planté en moi. Il s’écrase sur mon corps. De tout son poids. La peau de son ventre est chaude contre mon dos. J’aime la sensation de son sexe qui dégonfle peu à peu dans mon con meurtri, trempé. Je souris bêtement. J’ai réussi à l’amener là où je le voulais, en le menant par le bout de la queue. Et j’en suis fière. Il m’a enfin vue comme une belle femelle à conquérir et à saillir comme le beau mâle qu’il est. Il ne dit pas un mot, mais embrasse doucement ma nuque et mes cheveux.
Enfin, il s’extirpe de mon corps dans un bruit mouillé qui m’excite, se retourne et s’allonge à mes côtés, sur le dos. Ses yeux sont fixés au plafond. Il sourit aussi. Mais j’ai un peu peur des premiers mots qu’il va prononcer.
Encore sur le ventre, je tourne ma tête vers lui et l’observe en silence. Je lui adresse mon plus beau sourire. Lui, distraitement, passe ses doigts sur mon dos, sur mes fesses, entre mes fesses. Ma peau est hypersensible, du fait de ma jouissance, et ses caresses me font frissonner. Il caresse aussi mes joues. J’embrasse sa main, qui est si douce et tendre. C’est comme s’il ne m’avait pas baisée en levrette, comme une chienne, à peine cinq minutes plus tôt.
Je sens qu’il a envie de parler, mais qu’il n’ose pas.
J’approche alors mon visage et l’embrasse à pleine bouche. Il ne se refuse pas. Nous avons franchi une limite, que j’espère secrètement définitive. Puis il s’écarte pour parler. Je prie intérieurement ...

LE PERE
Il faut que je dise les mots.
Mais j’en ai si peu envie.
Elle est majeure, c’est vrai, tout juste. Mais c’est tout de même ma fille et ce que nous avons fait est mal. Très mal.
J’hésite.
Alexia en profite pour approcher ses lèvres des miennes et ... je n’y résiste pas.
Sa langue tourne avec passion et amour dans ma bouche, vicieuse, habile, pernicieuse.
L’effet est immédiat : ma queue reprend du volume. Ce qu’elle aperçoit du coin d’un œil amusé.
Sa peau est si douce. Je la veux encore. Et encore ...
Mais non ! Je me secoue ! Je la repousse, gentiment, mais fermement.
— Alexia, il faut que nous parlions.— Oui, papa, bien sûr. C’était génial.— Oui c’est vrai ... mais non ! Ma chérie, arrête de m’embrouiller !— Pardon pardon (dit-elle en éclatant de rire, ses jolis seins tressautant par la même occasion, quel supplice)— Ce qui est arrivé aujourd’hui a été unique. Tu voulais être déflorée, c’est chose faite. Normalement, ce n’est pas moi qui aurais dû le faire, mais ton premier amoureux.— Mais j’en ai pas ! Ils sont tous cons et débiles !— Tu en trouveras un, bien sûr.— C’est toi que je veux, papa.— Oui je comprends ... enfin non ... tu vois, tu essayes encore de m’embrouiller l’esprit.— Désolée ... mais c’était tellement bon. Et puis j’ai confiance en toi ... pas dans les autres garçons.— Je sais bien, mais quand tu trouveras le bon, tu auras aussi confiance en lui. Bref, il ne pourra pas te déflorer puisque je viens de le faire, mais il te fera jouir aussi. Et il te fera du bien en dehors même du sexe.— Comme toi ?— Mieux que moi voyons.— Oh mais papa, mon petit papa !!!
En disant cela, elle vient s’allonger de tout son long sur mon corps. Elle est tiède comme un croissant du matin.
Evidemment, je bande à nouveau.
— Tu vois papa, tu bandes ! Tu as encore envie de moi !— Bien sûr que j’ai encore envie de toi, mais ce n’est plus possible. On doit arrêter, je t’assure.
Mais Alexia est habile. Très habile.
Elle se tortille tant et tant que l’entrée de sa petite chatte de jeune fille vient se frotter contre mon gland gonflé.
Je me sens faible, sans volonté.
Elle m’embrasse, me faisant perdre tous mes esprits.
Elle se soulève légèrement et ce qui devait arriver arrive. J’entre en elle, lentement.
Ma queue est aspirée en elle.
Elle bouge sur moi, c’est divin et diabolique en même temps.
Je ne me suis jamais senti si dur.
Ses tétons durcissent contre les miens. Ma queue se trempe. Je la pénètre dans mon propre foutre.
Elle se redresse et je vois ses superbes seins à portée de mes mains. Je n’y résiste pas, à nouveau, et les empaume. Ils sont volumineux, fermes, jeunes, gonflés de désir comme mon sexe est gonflé dans son intimité.
Elle me chevauche maintenant violemment, son pubis claquant contre le mien. Sa tête part en arrière et un large sourire ne quitte pas son visage extatique.
Je donne, moi aussi, des coups de reins de plus en plus puissants pour m’enfoncer plus loin en elle.
Ce n’est plus ma fille que je baise, celle que j’ai engendrée puis élevée, mais une femelle qui ne demande qu’à se laisser faire.
Et je m’applique du mieux que je peux. Tout comme elle.
Je ne sais pas d’où lui viennent toutes ces techniques, mais elle se débrouille très bien.
Elle alterne les mouvements doux et les mouvements violents tout autour de ma queue tendue.
Mes couilles sont écrasées au rythme de ses chevauchées et de ses coups de bassin.
Qu’elle est belle et insolente !
Que j’aime la baiser mon Dieu.
— Dis, papa ...— Oui ma chérie.— J’aimerais vraiment que ...— Que ?— Ben ... j’aimerais que tu me prennes par ... euh ...— Mais parle voyons !— Par mon petit trou ! Là !— Oh.— Tu ne veux pas ? Oh papa dis oui, dis oui, je t’en supplie.— ...— C’est oui ?— Si tu veux (je suis si faible)
Alors elle redouble de vigueur sur mon mât amoureux. Elle fait des bonds sur ma queue comme une femelle en furie.
Puis elle jouit.
Très fort.
J’agrippe violemment ses seins, malmenant ses pointes. Je les malaxe presque brutalement.
Elle jouit. Elle crie. Elle hurle des « papa » à n’en plus finir.
Je la sens couler tout autour de ma queue, sans discontinuer.
Mais je sais que maintenant, elle attend autre chose.
Et je ne sais vraiment pas si je suis prêt à la prendre par là.
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