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Mon père

Chapitre 9

Bruno dans ma bouche

Inceste
LA VISION DU PERE Tiens, tiens, il s’est passé quelque chose dans la cuisine. Alexia, décoiffée, a les joues toutes roses et mon pote n’a pas l’air vraiment à l’aise.
 - Ça va les gars ? - Oui oui (Bruno) - Oui oui (Alexia)
 Nous passons à table. Le dîner se passe à merveille. Alexia est ébouriffante comme toujours et je sens mon désir revenir avec force lorsque je vois ses seins tressauter à chaque fois qu’elle rit. Bruno n’est pas en reste et joue de tout son charme pour plaire à ma fille. Il est drôle, espiègle, coquin. Nous évoquons à nouveau nos frasques de jeunesse et Alexia n’en perd pas une miette. Puis nous décidons de prendre des digestifs dans le salon. Alexia se rassoit dans le grand canapé, moi à ses côtés, tandis que Bruno se replace dans le fauteuil qui lui fait face. Ma petite chérie me semble légèrement débraillée, à force d’avoir ri. Et c’est mon ami, du coup, qui n’en perd pas une miette. En regardant sur le côté, j’aperçois sa jupette qui est bien remontée sur ses cuisses et je vois nettement la lisière de ses bas-résille, et même un peu au-dessus, là où la chair est blanche. Elle est très excitante ainsi, je le sais, et je le constate personnellement.
 ALEXIA Je lui plais, c’est une évidence ! Bruno me dévore littéralement des yeux. Et je dois avouer deux choses. Il me plait aussi. Et je joue de mon charme, en le laissant apercevoir … ce qu’il y a à apercevoir. Je croise, je décroise, je ris, et ces actions font en sorte que ce n’est plus un secret pour personne que je porte des bas. Papa ne peut pas se retenir et pose sa main sur une de mes cuisses, la caressant avec douceur et lenteur. Cette action a également pour effet de relever ma jupette plus haut encore. Je glisse discrètement à mon petit papa, profitant de ce que son ami se sert à nouveau à boire :
 - Ne remonte pas ma jupette trop haut, je n’ai pas remis ma culotte
 Je vois le regard de mon père totalement surpris, mais il sourit plutôt que de se fâcher. Et curieusement, au lieu d’arrêter ses caresses discrètes, il les reprend de plus belle, allant jusqu’à les accentuer sous les yeux de son ami dont les yeux commencent à sortir de leur orbite. Et ce qui devait arriver arrive : ma jupette est remontée si haut que Bruno, à présent, peut observer mon petit abricot tout lisse.
 - Et bien, ça répond à ma question
 J’éclate de rire. Mon père, d’abord surpris, éclate de rire à son tour.
 - Ah bon, parce que comme ça, ce sujet a déjà été évoqué ? J’étais sûr qu’il s’était passé quelque chose dans la cuisine !
 Bruno rit doucement, mais ses yeux ne quittent plus mon entrejambes, maintenant que j’ai écarté mes jolies cuisses sans pudeur aucune. La main de papa quitte ma cuisse et se dirige vers mon minou surchauffé. Et surtout très humide. Je ferme les yeux et savoure cette caresse que j’attendais tant. Lorsque je les ouvre à nouveau, Bruno est là, à quelques centimètres, debout, manifestement en érection vu l’état de sa braguette. Il nous observe dans cette danse sensuelle. Il finit par s’accroupir à mes pieds.  Mes jambes s’écartent encore un peu plus. Je me trouve extrêmement bandante. Ça doit également être l’avis de Bruno, qui demande à mon père, tout simplement :
 - Je peux ?
 Mon père ne dit rien, mais se contente d’acquiescer en silence. Alors Bruno avance sa main droite vers mon petit minou et le touche du bout des doigts. Je me sens totalement électrisée par ce toucher timide. Avec son index, l’ami de mon papa commence à titiller mon bouton, si sensible déjà. Je commence à couler sur ses doigts, tandis que papa me caresse la poitrine avec tendresse. Et les joues.
 - C’est bien ma chérie, détends-toi. Tu verras, Bruno est très doux avec les femmes
 Les femmes ! Il a bien dit les femmes ! Je suis donc une femme pour lui maintenant ! Oh comme je me sens fière !!!! LA VISION DE BRUNO Pendant toute la soirée, je n’ai eu d’yeux que pour Alexia. Elle est si sexy, si mûre pour son jeune âge. J’ai senti quelque chose de vraiment sexuel chez elle, au-delà de sa seule féminité. Et me voilà à présent accroupi entre ses jambes fuselées, touchant de mes doigts sa jolie petite chatte trempée. Sa petite chatte si lisse et douce. Elle coule sur mes doigts tandis que je titille son clitoris assez proéminent. Elle bande pendant que je la caresse. D’ailleurs, moi aussi je bande. Cela fait même maintenant plusieurs heures que je bande, presque douloureusement. Son décolleté et ses seins opulents, ses rires, ses mimiques de petite femme, ses cuisses longues et gainées de bas-résille, tout m’attire. Et elle s’offre à mes doigts, devant son père.
 Je ne sais pas ce qu’il s’est passé entre eux, mais c’est louche. Quelle fille oserait ainsi exhiber ses parties intimes devant son père s’il ne s’était pas passé quelque chose ? Et il n’a pas l’air d’être choqué du tout, ni opposé à ce qu’il se passe sous ses yeux.  Puisque tout le monde est d’accord, je profite de cet avantage pour la doigter plus fortement, comme j’aime si bien le faire. Mon majeur a entièrement pénétré dans ses chairs les plus intimes, se resserrant autour de mon doigt que j’agite en elle à la recherche de son point G. Alexia se tortille de plus belle, laissant échapper plusieurs soupirs qui en disent plus que de longues phrases. Ma queue est de plus en plus à l’étroit dans mon pantalon. Je bande comme un taureau, même si je sais, au fond de moi, que je devrais tout arrêter tout de suite. D’ailleurs Alexia ressent ce léger flottement, car, au lieu de se laisser aller passivement, avance son bassin, faisant en sorte que mes doigts se retrouvent plus profondément enfoncés encore. ALEXIA Oh putaaaaaaaaaaaaaaain c’est boooooon !!! Comme il me doigte bien ce salaud !!! Je ne peux réfréner mes gémissements. Ni l’humidité qui doit lui couler sur les phalanges. Je me sens trempée et l’odeur de ma petite chatte, le matin même investie par mon père, semble flotter littéralement dans le salon. Mais j’en veux plus. Je ne sais pas si Bruno et papa y sont prêts, mais je veux sa queue à l’intérieur de moi. Pendant qu’il me doigte sans pitié, j’essaie de l’imaginer, sa queue. S’il avait beaucoup de succès auprès des femmes, je ne peux que supposer qu’elle est belle. Et relativement volumineuse. D’ailleurs, tout à l’heure, j’ai vu que la bosse qui était apparue dans son pantalon semblait prometteuse.
 Il me doigte, il me doigte. Pendant ce temps-là, papa en profite pour faire passer mon top par-dessus ma tête et ce sont mes seins qui surgissent sous le regard de ces deux mâles. Car à cet instant, il n’y a plus de papa et son meilleur ami. Il y a juste deux mâles qui ont envie de la femelle se trouvant près d’eux. J’en veux plus. Toujours plus. Alors je dis, entre deux gémissements :
 - Je peux toucher ta bite, Bruno ?
 Les deux hommes se regardent, mon père a un air un peu ahuri. En revanche, sur le visage de Bruno je ne vois que de l’excitation. Une grande excitation même. Il se tourne vers papa, lequel opine du chef en silence, les yeux écarquillés.
 - Oui, ma petite Alexia. Découvre-là toi-même.
 Il se redresse, difficilement, et se place debout devant moi. Son pantalon est déformé. Il bande et ça me plait. Je défais sa ceinture avec précipitation, dézippe sa braguette. Son pantalon tombe sur le sol. Il est en boxer. Je ne sais pas s’il est très moulant ou si son sexe est très volumineux, mais ce que je vois devant mes yeux me donne une envie folle, déraisonnable. J’approche mon visage et attrape sa queue avec mes lèvres, sans la sortir de sa protection. Je le suce de cette façon, le tissu soyeux formant encore une barrière. Très symbolique. Il y a de la chair là-dessous, je le sens avec ma bouche. Mais comme j’en veux plus, toujours plus. Cet homme me plait et je ne veux pas le décevoir. Alors je mets les deux mains sur les élastiques du haut du boxer, et le descends d’un coup. Sa queue jaillit devant moi, comme un diable de sa boîte ! Mon dieu … cette queue … si celle de papa me semblait grosse, ce n’était rien à côté de celle de son ami Bruno. Son gland est parfait. Enorme et violacé. Sa tige est parcourue de dizaines de veines très saillantes. Elle est longue, et épaisse. Une touffe de poils se dresse sur son pubis, contrairement à papa qui a un sexe tout lisse. Mais ce qui m’impressionne surtout, c’est la grosseur et la rondeur parfaite de ses bourses. Deux belles couilles certainement emplies de foutre. D’un foutre que j’essaierai coûte que coûte de faire gicler en moi ou sur mon corps. Bruno, en bon mâle qui se respecte, semble fier de son engin et c’est avec un sourire satisfait sur le visage qu’il observe ma réaction de stupeur et de contentement à sa vue. Les hommes sont ainsi faits, je commence à le comprendre : ils sont contents de leur grosse queue. Seulement moi je sais déjà que ça ne suffit pas à une femme pour jouir. Et je suis déjà sûre que Bruno ne se servira pas que de sa bite pour me faire jouir. Il vient de me le prouver avec ses doigts, longs et très habiles.
 Allez ! Un regard vers papa, et j’avance mes mains. Je soupèse ses couilles, puis approche mon visage de sa queue sublime. J’ouvre ma bouche, savourant dans un premier temps la seule présence de son gland contre ma langue, puis l’enfourne du mieux que je peux en entier. Enfin en entier … une bonne partie en tout cas. Et comme je l’ai vu faire dans les films pornos, je le fixe droit dans les yeux en le suçant. Je le sens, je le vois, troublé. Troublé, mais bandant. Et c’est tout ce que je demande.
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