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Mon père me prend en mains

Chapitre 1

De garçon à fille

Inceste
Je m’appelle Lilian mais je me sens femme depuis mon adolescence.
Au moment de la puberté, je réalise que je ne grandis pas comme les autres garçons. Je reste complètement imberbe, mes traits de visage sont très féminins, je développe une gynécomastie, mon sexe reste petit et je me mets à stocker le gras dans les hanches, les cuisses et principalement les fesses.
Je suis moqué, mais jamais harcelé. En paralèlle de ce rôle de petite chose vulnérable, je me rends compte que je traine plus avec les filles qu’avec les garçons.
Je me mets rapidement à les regarder plus que je ne regarde les filles, et je remarque qu’eux aussi commence à me regarder. Je commence à me maquiller légèrement, à me faire des coupes de cheveux de filles, et à porter des jeans de femmes et des culottes.
Ma mère accepte mes changements sans me questionner.C’est une femme d’affaire, active et séparée de mon père depuis pratiquement ma naissance. Je ne vois pas souvent mon père, ancien policier reconverti dans la sécurité de nuit.
Conscient de mes atouts et du fait que je suis destiné à plaire aux hommes, je me suis renseigné et j’ai réussi à faire en sorte que mes parents se retrouvent pour m’emmener chez un endocrinologue afin de pouvoir prendre des inhibiteurs hormonaux.
Je veux être désiré par les hommes dont les regards et les corps me plaisent, peu importe que je devienne entièrement une femme ou non.
Le traitement se passe très bien. Mon sexe reste chétif, mes poils ne poussent pas, mes fesses grossissent et je développe même une petite poitrine, de bonnet A avec de jolis tétons roses.
Je rentre au lycée et je prends confiance en moi.Désormais je me fais appeler Cindy et je me fais genrer au féminin. Je porte des strings et des vêtements de femmes et je me fais draguer par des hommes même si je ne passe jamais le pas avec un d’entre eux.
Pendant que je passe le bac, ma mère se met à fréquenter Marc, un homme d’une quarantaine d’année, noir, grand et avec un peu de ventre.
J’ai 18 ans juste après l’examen, et Marc vient de plus en plus à la maison, profiter de la piscine.
J’en profite aussi, et je sens de plus en plus son regard sur moi, surtout lorsque je me déhanche au bord de l’eau dans des maillots de bains sexy pendant qu’il bronze.
Il me fait rire, et je remarque des bosses qui déforment parfois son slip. Ça me plait de lui faire de l’effet, mais me gêne beaucoup vis à vis de ma mère.
Il se met à me proposer de me mettre de la crème solaire pendant nos séances de bronzage, à avoir des mains baladeuses sur mes cuisses où mes fesses pendant les baignades ou à me mettre des petites mains quand on se croise dans la maison. Je n’ose pas l’en empêcher, appeurée par son statut de mâle et appréciant honteusement de me sentir désirée.
Je fantasme beaucoup sur lui, et sur les gémissements sonores de ma mère lorsqu’ils font l’amour. Je sens grandir mon désir de m’offrir à un homme de jour en jour.Je me mets à regarder des films pornos interraciaux, des vidéos expliquant comment faire des fellations, ou comment recevoir une sodomie. Je m’achète une poire à lavements, bien qu’ayant une hygiène naturelle très chanceuse de ce côté, et aussi mon premier petit plug dans un sex-shop.
Mes premiers doigts et insertions du plug me font comprendre que j’en veux plus.
N’ayant que Marc à portée de mains, je commence presque malgré moi à adopter des comportements ambigus. Sourires coquins à chaque attouchement, regards fixes sur les bosses de ses jeans ou de ses slips, démarche très déhanchée, vêtements moulants ou exhibition en string...Marc rentre dans mon jeu en étant très réceptif à mes démonstrations, mais ma mère finit par remarquer mon manège.
Un jour où Marc n’est pas là, elle me prend à parti :— Cindy, je ne sais pas ce que tu essaies de faire avec Marc, mais c’est pas parce que tu aimes les hommes que tu as le droit de jouer l’allumeuse avec le mien. Je ne peux plus supporter ton petit jeu sous mon nez et ça me rend malade de te laisser seule avec lui tous les jours. Je veux que tu partes et que tu ailles vivre chez ton père, le temps que ça te passe.
J’en reste abasourdie. Ma mère me vire de chez elle par jalousie. Mais elle a toujours été là pour moi, et je sais au fond de moi et malgré mon déni que ce n’est qu’une question de jours avant que Marc ne finisse par m’attraper.
J’accepte donc de partir de chez elle, non sans remarquer que Marc masque sa déception.
Le jour de mon départ, je sors de ma chambre en même temps que Marc sort de la salle de bain. Il est entièrement nu. Mes yeux se baissent instantanément sur son sexe, qu’il ne cherche pas à cacher. J’ai alors une vue parfaite sur son membre noir et épais au repos avec un gland marron et luisant, orné d’une énorme paire de testicules, composant un ensemble qui me fait frissoner.Marc s’en va en entendant ma mère monter à l’étage, mais cette vision de bonheur me fait amèrement regretter mon départ.
Ma mère se met à pleurer sur le trajet jusqu’à chez mon père, triste de sa décision, mais je ne pense qu’au sexe de Marc et au fait qu’elle a raison de m’éloigner de lui.
Mon père n’est pas là à notre arrivée. Il vient de déménager dans une petite maison que je n’ai encore jamais visitée.Il a laissé ses clés sous le paillasson pour que je puisse rentrer.
Ma chambre est prête. Ma mère s’en va en m’embrassant. Je me retrouve seule, et en profite pour déballer mes affaires et faire le tour de la maison. Plus petite que celle de ma mère, et pas de piscine creusée mais une petite piscine de jardin ainsi qu’un jaccuzzi gonflable. Mon père m’a laissé un mot sur le plan de travail :
"Fais comme chez toi parce que c’est chez toi ! Sers-toi dans le frigo, baigne-toi ou bronze si tu veux ! Bisous"
Je me sers un verre de coca. Ma cellulite va détester mais j’ai une taille de guêpe et mes fesses rebondies me rendent fière, donc je ne m’en veux jamais de les faire grossir encore un peu.
J’enfile un string de bain, sans haut pour faire du topless. Après m’être rafraîchie de la chaleur de Juillet dans la piscine de jardin, je m’allonge sur une chaise longue et m’endors au soleil de fin d’après-midi.
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