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Mon père me prend en mains

Chapitre 10

Sur un nuage

Inceste
Je vais ranger ce qui est resté sur la terrasse puis je remonte. Il est 19 heures et je pense que mon père ne devrait plus tarder.Je repense à ma pipe de ce matin et à ma sodomie d’hier soir.
Ça me dégoûte presque. Je suis devenue en trois jours une salope soumise et dégradée, qui se fait traiter de pute par mon propre père qui voit juste de ma transition une paire de grosses fesses et une bouche pulpeuse pour se vider les couilles et une poupée sexuelle pour satisfaire ses perversités.
Mais ces idées ne me repoussent pas. Au contraire, elles m’excitent.J’en veux plus, je veux aller plus loin, je veux vivre au rythme de ses coups de bite là où bon lui semble et de ma soumission à son autorité paternelle malsaine.
Je ressens une bouffée de chaleur. Je décide de l’accueillir dignement. J’enfile un ensemble string-ficelle soutien-gorge en coton noir qui remonte haut sur mes hanches et que je trouve super sexy et j’ajoute des chaussettes hautes noires qui montent jusqu’à mi-cuisse.
Je mets des baskets pour compléter le look, je décide de tirer mon carré pour me faire une queue de cheval et je me maquille beaucoup.
Mon père n’est toujours pas là.Je suis broyée par l’excitation. Je décide de lui envoyer un message pour lui demander si je peux aller à la soirée de Thomas. Je prends également une photo de mes lèvres maquillées, en les mordant légèrement pour donner un effet sexy, et en mettant comme texte "PS : je t’attends".
Il me répond que je peux aller à la soirée de Thomas mais que je dois attendre qu’il rentre et qu’il a encore une surprise pour moi. Je lui demande quand et je n’obtiens pas de réponse. J’attends sur le canapé, Thomas est très content de la nouvelle.Il me dit que tous ses potes ont hâte de me rencontrer.
La porte s’ouvre.
Je regarde mon papa entrer, incapable de me lever tétanisée par l’excitation. Il marche jusqu’à moi en sifflant, un sac à la main.
— Je vois que ma fille a été bien sage en m’attendant !
Il se met face à moi et me caresse la joue.
— Lève-toi Cindy.
J’obéis, pouvant à peine me redresser et en étant obligée de me coller à lui.Il recule un peu et pose le sac sur la table du salon.
— Je t’ai apporté ta tenue de soirée.— Qu’est-ce que c’est ?— Va voir.
Je me dirige vers le sac. Je l’ouvre, ce sont des vêtements. Mon père pose sa main sur mes fesses.Je découvre des collants à mailles larges, des cuissardes, une mini-jupe noire et un body-string bustier dont l’arrière est doté d’une boule de poil blanc.
Je comprends qu’il s’agit d’une tenue de lapine en voyant le serre-tête à oreilles au fond.
— Mais papa... je ne vais pas mettre ça ce soir ? Ça fait trop...— Trop salope ?— Oui...— C’est donc parfait pour toi ! Tu vas faire bander tout le monde.— Mais Thomas veut être mon copain, il va pas aimer...— Est-ce qu’il a aimé que tu gobes la bite de Fred dans la salle de bain ?— Il ne le saît pas... Et comment tu sais ?— Tu crois que Fred est venu se faire sucer par hasard ? C’est moi qui lui ai dit. Et pour ton copain, il doit accepter ta nature et la manière dont tu t’habilles sinon tu le quittes tout de suite.— D’accord Papa, j’irais comme ça mais ses potes ne vont peut être pas aimer. — Cindy, ses potes ce sont des mâles aussi. Je te garantis qu’ils vont beaucoup aimer. — Je crois pas qu’ils me regarderont, ça se fait pas trop de mater la copine de son ami.— Tu as beaucoup à apprendre des hommes ma belle ! Crois-moi, le premier qui verra tes fesses sous son nez en aura rien à foutre que tu sois la copine de son pote.
Je souris et je pose les vêtements sur la table. Mon père pose sa deuxième main sur mes seins et me fait un bisou dans le cou. Je sens sa main passer entre mes fesses en appuyant fort.
Il passe dans mon dos et appuie pour que je m’allonge sur la table. Je le sens très excité se coller à mes fesses, puis les gifler comme à son habitude.
— T’es bandante. Je t’ai dis que je me réservais ton cul pour ce soir, tu me l’as gardé ? — Oui Papa, Thomas a voulu mettre un doigt mais j’ai dit non.
Il me met une fessée comme pour me récompenser.
— Bonne fille. Tu as bien mérité ce que je te réservais.
Je le sens caresser mes fesses avec insistance et il s’agenouille derrière moi. Ses doigts écartent la ficelle de mon string et ses mains tirent mes fesses.
Il crache sur mon anus directement, me faisant sursauter, et embrasse chacune de mes fesses. Soudain, je pousse un gémissement en sentant sa langue directement sur mon petit trou. Mon père me fait un anulingus et la sensation est exquise. Je ne peux que couiner sous sa langue et ses lèvres qui arpentent mon cul en déposant de la salive dessus.
Il s’amuse à faire frétiller sa langue à mon entrée puis l’enfonce en moi. Il s’arrête un instant et baisse mon string sur mes genoux puis reprend ses coups de langue.
Je suis sur un nuage, le visage de mon père est entre mes fesses et sa bouche est collée à mon intimité, mon corps entier vibre de plaisir.
Il me mord les fesses, puis commence à appuyer bien plus fort avec sa langue, en faisant des vas et viens dans mon trou.Il se redresse, et j’ai à peine le temps de le réaliser qu’il enfonce son index en moi. Il le remue, puis ajoute son majeur qui écartèle mon entrée.
Il me tient plaquée contre la table par la hanche et se met à me doigter de plus en plus vite et fort, le plus profondément possible. Mes gémissements deviennent des cris, mon corps entier tremble. Mon père s’arrête pour me lécher à nouveau, puis crache encore sur mon trou.
Je l’entends défaire ses vêtements et je sens son sexe frotter mon entrée. Sa bite tape lourdement sur mes fesses, mon anus me fait mal, je suis à peine lubrifiée, pourtant je brûle d’impatience de le sentir en moi.Mon string est toujours sur mes genoux, et mon père passe ses pieds entre les miens pour que j’écarte un peu les cuisses.
Il plaque mon visage sur la table en me tenant par la nuque puis pousse son sexe dont le gland rentre avec difficulté.Je m’attends à ce qu’il soit brusque mais il est patient et me laisse m’habituer.
Il me giffle les fesses.
— Regarde moi ce gros cul de femme mure que tu te trimballes ! Je peux te dire que mettre ma bite dedans c’est un vrai bonheur ma chérie. — Merci papa...— Enculer ma propre fille.. c’est le pied... tu as bien fait d’en devenir une parce que vu comme j’aime le cul j’aurais sauté toutes tes copines si tu en avais ramené à la maison.— Haan... tu aurais préféré que je sois une vraie fille ?— Non, c’est encore plus excitant de savoir que tu as choisi de devenir une pute prête à vider les couilles de tous les hommes qu’elle croise. Toi tu veux être traitée comme une salope et tu es pas une petite chieuse arrogante. Oh bordel !
Je pousse un souffle long de douleur en sentant qu’il progresse en moi. Je suis encore en état de trance, complètement remplie par sa bite qui me paralyse.
— Tu prends tout dans ton cul ! Je suis fier de toi ma puce, c’est pas évident de prendre ma bite jusqu’à la garde ! — Tu aimes ? — Tu le sens pas que j’aime avec ce que tu prends ? — Ooooh... si papa, tu es tout dur...— Je vais t’enculer comme une chienne en prenant bien mon temps. Tu vas boîter ce soir.
À ces mots, il commence à faire des vas-et-viens en moi. Ses mains caressent mon dos puis empoignent mes fesses. Il est lent mais régulier, faisant bouger tout mon corps à chacun de ses coups de bite.Il me prend par les hanches et accélère le mouvement.
Les frottements me brûlent, mais je prends plus en plus de plaisir. Je prends conscience de la situation et elle m’excite terriblement.Mon père dépose des filets de salive sur une de ses mains qu’il passe sur sa bite et les bords de mon anus.
Il sort de moi entièrement et je tente de reprendre mon souffle.
Je le sens reculer et écarter mes fesses à deux mains.
— Même toute ouverte tu es serrée ! C’est dingue. Tu es faite pour faire du bien aux hommes on dirait.
Il se penche, et écarte mes fesses au maximum.
— Pousse sur ton cul pour qu’il soit bien ouvert ma chérie.
J’obéis, et il crache en plein milieu, puis passe à nouveau sa langue sur mon trou. Il pousse sa salive en moi à l’aide de ses doigts, puis passe sa main sur ma gorge pour me redresser et me cambrer en même temps. Je m’appuie sur la table avec mes mains, un peu etranglée par la sienne.
Il rentre en moi d’un coup, ce qui m’arrache un cri de surprise, mais la salive rend la sensation plus agréable. Il n’a pas du tout débandé.Il me prend par les cheveux et commence à me piloner, faisant vibrer toute la table qui avance un peu.
Je pousse des jouissements qui font écho à ses râles de plaisir. La douleur cède sa place à une boule de chaleur qui me traverse et me fait trembler complètement. Je hurle d’extase pendants plusieurs dizaines de secondes. Mon père rentre entièrement en moi et s’immobilise, me laissant profiter de mon orgasme anal. Je suis prise de spasmes de plaisir et je pense que je tomberai si il ne me maintenait pas fermement par les cheveux et par les hanches.
Je me remets de mes émotions, et il me fait poser la cuisse droite sur la table pour que mes fesses soient plus en arrière.
Il reprend ses coups de bite, encore plus rapides que les précédents.
— Oh bordel ! Je vais gicler ! — Oh... Tu... Tu veux jouir dedans ?— Non, tu vas avaler !
Il se retire et me tire en arrière tandis que je lui fait un grand sourire. J’ai envie de son sperme.
— Reste debout ! Penche toi en avant.
Je pose mes mains sur mes genoux en me cambrant et j’approche ma bouche de sa bite couverte de salive.Je dépose un bisou sur son gland pendant qu’il se branle.Il s’interrompt et approche son sexe de mes lèvres. Je le prends en bouche sans hésiter.
Il pose les deux mains sur ma tête et me baise la bouche de plus en plus rapidement. Il se contracte en poussant un râle et se décharge dans ma bouche. Je suis forcée d’en avaler un peu tant il y en a, mais j’en garde le plus possible. Il se retire et tapote son sexe sur mes lèvres.
— Putain ! Qu’est-ce que c’était bon ! Olala... tu as bien mérité ta sortie de ce soir.
Je me redresse, la bouche pleine, et je l’ouvre pour lui montrer son travail avec un petit sourire coquin. Un peu de sperme s’échappe sur le bord de mes lèvres et j’avale le reste avant de lui montrer ma bouche propre. Il passe son index autour de ma bouche et le présente à mes lèvres.Je prends son poignet à deux mains et je suce longuement son doigt.
— Merci Papa, c’était trop bon... — Je vais te mettre ça tout le temps ma belle, tu es une salope sacrément addictive.— Tu veux qu’on se douche ensemble ? — Je vais aller piquer une tête, vas-y et prépare-toi pour ta soirée.
Je lui fais un grand sourire alors qu’il m’ascène une dernière fessée, je prends le sac et je vais me doucher.
J’enfile les vêtements. Ils sont extrêmement provocants. Avec le maquillage, je fais à nouveau vraiment pute. Pourtant je me sens bien, je marche facilement dans les cuissardes à talons aiguilles, j’aime sentir l’air entre les mailles des collants et le body string enserrer ma poitrine et passer entre mes fesses.
Je redescends et je vais voir mon père dans le jardin. Je suis accueillie par un sifflement.
— Wahou ! Je suis presque déçu de pas en profiter ! Mais tu vas faire des heureux ce soir. — Tu penses que Thomas va aimer ? — Non seulement il va aimer mais ses potes aimeront aussi !— Haha, merci Papa.— Tourne-toi Cindy.
J’obéis sans hésiter. Mon père tire sur ma jupe pour la lever, puis me claque les fesses, m’arranchant un petit rire.
— Ton cul est encore plus magnifique dans ces collants. Déjà qu’il me fait bander raide chaque fois que je le vois, là j’ai la gaule instantanément.
Je jette un œil à son sexe. Il dit vrai et ça me flatte. Je ne peux m’empêcher de m’approcher un peu.
— Oulà ! Recule tout de suite coquine. Si tu fais un pas de plus je vais être obligé de te mettre ma bite dans la bouche et tu iras jamais à ta soirée.— Hahaha, je sais pas si ça ne me plairait pas. — Bien sûr que ça te plairait. Mais c’est bien que tu sortes aussi. Par contre avec ces talons tu vas galérer ! Je vais t’emmener.
Je suis aux anges. Mon père s’habille et nous prenons sa voiture. Je sens le stress prendre le dessus au fur et à mesure que nous nous rapprochons. Le trajet est très court, à peine 5 minutes, mais je suis heureuse de ne pas avoir eu à les faire en marchant en talons et dans ma tenue.Il me dépose devant la porte de Thomas.
— Je passerai te chercher si tu en as besoin ma chérie.
Je le remercie et je reste seule. Des voix semblent s’échapper du jardin et j’entends de la musique.Je me sens ridicule avec mon costume et mon serre-tête, j’ai peur d’être moquée.
J’approche en tremblant, et je frappe à la porte.
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